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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
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Maintenant, rédiger un court résumé. | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
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Maintenant, rédige un court résumé. | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
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Maintenant, rédigez un court résumé. | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Article : "Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
"/n Résumé : | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Résumer ce document : "Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
" Résumé : | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Résume ce document : "Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
" Résumé : | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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Résumez ce document : "Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
" Résumé : | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Après une fermeture de ses frontières pendant près de trois mois en raison du coronavirus, Chypre va de nouveau accueillir des touristes à partir de mardi, offrant de couvrir leurs frais de santé en cas de contamination sur l'île méditerranéenne.
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"Avec 3,97 millions de visiteurs par an, pour un peu moins d'un million d'habitants, ce pays membre de l'Union européenne est fortement tributaire du tourisme (15% de son PIB).Mais en raison de la maladie Covid-19, l'île attend jusqu'à 70% moins de touristes. "Personne ici ne s'attend à gagner des sous cette année", a déclaré jeudi à l'AFP le vice-ministre du Tourisme Savvas Perdios.Les aéroports de Larnaca et Paphos rouvriront mardi leurs pistes aux avions en provenance de 19 pays, dont la Grèce, l'Allemagne, Israël, Malte, la Suède et la Pologne. - "Plans B et C" -Les voyageurs devront cependant montrer patte blanche, avec un test de Covid-19 négatif réalisé dans les 72 heures avant leur départ. A partir du 20 juin, seules les personnes arrivant des pays de la liste jugés un peu plus à risque sur le plan épidémiologique devront s'y soumettre.Ni la Russie, ni le Royaume-Uni, dont les ressortissants constituent plus de la moitié des touristes à Chypre, ne font partie des pays considérés comme "sûrs" par le gouvernement chypriote, qui a promis d'actualiser régulièrement cette liste.Avec moins de 1.000 cas, dont 17 décès, la République de Chypre --dont les autorités ne contrôlent que les deux tiers sud de l'île divisée-- a su limiter la propagation du virus sur son sol.Mais si jamais un touriste devait tomber malade pendant son séjour, les autorités promettent de prendre en charge les coûts liés à son hospitalisation, ses soins ou encore ses repas."Ce que nous offrons et vendons, ce n'est pas juste le soleil et la mer, c'est l'hospitalité et ceci est une prolongation de notre hospitalité", assure M. Perdios.En plus des 100 lits d'hôpital dédiés aux touristes malades du virus, des hôtels quatre étoiles fourniront 500 chambres pour les proches des malades devant observer une quarantaine. Leur hébergement et repas seront aussi pris en charge par l'Etat.De nombreuses autres mesures --protocoles de désinfection, prise de la température des voyageurs à leur arrivée-- visent à rassurer les touristes, mais aussi les locaux."Nous avons parcouru en long et en large les choses qui pouvaient mal tourner et nous tentons d'envisager des plans B et C", assure le vice-ministre.Jusque-là toujours en vigueur, des restrictions telles que la fermeture des piscines et des clubs de gym doivent être d'ici peu levées.- Les Britanniques en juillet ? -Et Chypre envisage d'ajouter sur la liste des pays dont les habitants sont autorisés à venir sur l'île, le Royaume-Uni "vers la mi-juillet", ainsi que la Russie "un peu plus tard, peut-être quelques semaines" après.La crise du nouveau coronavirus permettra peut-être au pays --qui sort tout juste la tête de l'eau après une grave crise économique en 2013-- de diversifier son marché touristique. La compagnie hongroise low-cost Wizz Air a ainsi annoncé ouvrir de nouvelles lignes aériennes avec Chypre.Si l'île rouvre progressivement ses frontières, les check-points de la "ligne verte" divisant le pays restent eux fermés jusqu'à nouvel ordre. Seuls les étudiants et quelques autres cas spécifiques sont autorisés à aller dans le sud de l'île depuis la République turque de Chypre-Nord (RTCN), uniquement reconnue par Ankara.Mais M. Perdios l'assure: lorsque les touristes seront autorisés à traverser cette ligne de démarcation, s'ils tombent malade en RTCN du nouveau coronavirus et reviennent ensuite en République de Chypre, l'engagement du gouvernement chypriote de prendre en charge leurs frais liés au virus sera toujours valide."Non seulement nous allons continuer à protéger nos citoyens, mais nous allons en plus prendre soin de toute personne venant sur l'île en vacances", promet le vice-ministre."Si nous avons eu cette idée, c'est parce que nous pouvons nous le permettre, mais surtout parce que nous pensons qu'il s'agit là d'une chose juste", estime-t-il.
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Résumer le texte suivant : "L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
" | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Résume le texte suivant : "L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
" | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Résumez le texte suivant : "L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
" | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
" | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
" | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
" | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Condenser le texte à l'essentiel :L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
| Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Condense le texte à l'essentiel :L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
| Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Condensez le texte à l'essentiel :L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
| Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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"L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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"L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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"L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
"
Maintenant, rédiger un court résumé. | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
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Maintenant, rédige un court résumé. | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
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Maintenant, rédigez un court résumé. | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Article : "L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
"/n Résumé : | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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"L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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"L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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"L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Résumer ce document : "L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
" Résumé : | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Résume ce document : "L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
" Résumé : | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Résumez ce document : "L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
" Résumé : | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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"L'un d'eux est gravement blessé à la tête. Dimanche 21 juin, deux enfants de neuf ans ont été percutés par un poids lourd alors qu'ils circulaient à vélo dans la commune du Haut Valromey, dans l'Ain, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes."Les enfants étaient à vélo, ils ont dévalé une pente mais n'ont pas réussi à freiner à une intersection, et au même moment un camion de type bétaillère est passé", ont indiqué les gendarmes. Un des enfants héliporté à Lyon L'un des enfants, blessé gravement à la tête, a été héliporté à Lyon. Son pronostic vital n'est pas engagé, ont précisé les gendarmes.L'autre, blessé légèrement à la jambe, a été transporté vers la commune d'Oyonnax, dans l'Ain.L'intervention des pompiers a commencé peu après 15h30. Les gendarmes étaient encore sur place fin d'après-midi.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Les deux enfants circulaient à vélo, et ne sont pas parvenus à freiner à une intersection lorsqu'un poids lourd est passé.
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Résumer le texte suivant : "Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
" | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Résume le texte suivant : "Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
" | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Résumez le texte suivant : "Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
" | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
" | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
" | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
" | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Condenser le texte à l'essentiel :Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
| Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Condense le texte à l'essentiel :Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
| Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Condensez le texte à l'essentiel :Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
| Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
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Maintenant, rédiger un court résumé. | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
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Maintenant, rédige un court résumé. | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
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Maintenant, rédigez un court résumé. | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Article : "Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
"/n Résumé : | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Résumer ce document : "Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
" Résumé : | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Résume ce document : "Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
" Résumé : | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Résumez ce document : "Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
" Résumé : | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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"Retrouvé par la police entre 07H00 et 08H00, ce corps serait celui d'un homme de 28 ans, a indiqué à l'AFP Philippe Sabatier, le procureur adjoint de Boulogne-sur-Mer.Un document de transport mentionnant une date de naissance en 1992 et comportant une photo a en effet été retrouvé et le jeune migrant soudanais y a reconnu son compagnon, selon M. Sabatier. L'adolescent secouru, âgé de 16 ans et de nationalité soudanaise, "a indiqué qu'il avait tenté la traversée de la Manche en compagnie d'une autre personne", a détaillé M. Sabatier.Le parquet a ouvert une enquête en "recherche des causes de la mort".Les secours étaient intervenus dès 01H du matin, découvrant le jeune rescapé soudanais "en hypothermie" sur la plage, selon un communiqué de la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord. Il avait alors expliqué que son compagnon de voyage ne savait pas nager.Les autorités avaient donc engagé d'importants moyens de recherche, dont un patrouilleur, un canot de la station nationale de sauvetage en mer (SNSM) et un hélicoptère de l'armée de l'air belge, stoppant les recherches aux alentours de 04H00 pour se concentrer sur d'autres opérations, car "plusieurs embarcations" se trouvaient dans la zone.Selon plusieurs sources judiciaires, il s'agirait du premier migrant retrouvé mort sur le littoral du Nord-Pas-de-Calais en 2020. En 2019, quatre migrants avaient, eux, été retrouvés morts en mer et sur une plage française."Ce drame insupportable nous mobilise encore + avec @GDarmanin contre les passeurs qui profitent de la détresse d'êtres humains !", a réagi sur Twitter Marlène Schiappa, ministre déléguée chargée de la citoyenneté.La ministre de l'Intérieur britannique Priti Patel a ensuite commenté ce tweet, déplorant la "perte douloureuse et tragique d'une jeune vie", qui "rappelle brutalement l'existence des odieux gangs criminels et passeurs de clandestins qui exploitent les personnes vulnérables. En travaillant ensemble, nous sommes déterminés à les arrêter", a-t-elle écrit.Depuis le 1er janvier, plus de 1.000 migrants (1.014) ont été interceptés par les autorités françaises après avoir tenté de traverser la Manche à l'aide d'embarcations de fortune ou à la nage, selon un décompte de l'AFP. Des enfants figurent régulièrement parmi les naufragés. Samedi, les autorités ont par exemple secouru 31 migrants dont trois enfants et un nourrisson de 18 mois. En 2019, 2.758 migrants tentant ces traversées avaient été secourus par les autorités françaises et britanniques, soit quatre fois plus qu'en 2018, selon la préfecture maritime.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Le corps d'un homme a été retrouvé mercredi matin sur une plage de Sangatte (Pas-de-Calais), après le sauvetage d'un jeune migrant soudanais, naufragé d'une embarcation pneumatique, qui a déclaré son compagnon de voyage disparu, a-t-on appris de source judiciaire.
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Résumer le texte suivant : "Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
" | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Résume le texte suivant : "Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
" | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Résumez le texte suivant : "Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
" | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
" | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
" | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
" | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Condenser le texte à l'essentiel :Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
| La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Condense le texte à l'essentiel :Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
| La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Condensez le texte à l'essentiel :Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
| La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
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Maintenant, rédiger un court résumé. | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
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Maintenant, rédige un court résumé. | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
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Maintenant, rédigez un court résumé. | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Article : "Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
"/n Résumé : | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Résumer ce document : "Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
" Résumé : | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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Résume ce document : "Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
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Résumez ce document : "Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
" Résumé : | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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"Le maire de Langouët, en Ille-et-Vilaine, commune de 602 habitants, comparaît jeudi 22 août devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel", selon le texte de cinq pages consulté par l'AFP. Cette distance peut être ramenée à 100 mètres, notamment si une haie permet d'éviter la dispersion des pesticides. Arrêté anti-pesticides : un large soutien au maire de Langouët (Ille-et-Vilaine)par Ouest-France.frDaniel Cueff, qui assurera seul sa défense jeudi, souligne dans son arrêté qu'un maire "a le devoir et la responsabilité de prendre au titre de son pouvoir de police toutes mesures de nature à prévenir et à faire cesser toutes pollutions sur le territoire de sa commune". Interrogé par l'AFP, il rappelle que Langouët "est engagée depuis 20 ans dans la transition écologique", avec une cantine 100% bio et locale depuis 2004, l'arrêt du désherbage chimique dès 1999, deux éco-hameaux et un gros travail sur la réduction de l'empreinte carbone du village. "Tous ces efforts sont atténués par le fait qu'une partie des agriculteurs n'a pas pris la mesure de la nécessité de se passer des pesticides de synthèse", constate M. Cueff, assurant pouvoir compter sur le soutien des habitants, qui ont d'ailleurs créé un collectif "Nous voulons des coquelicots".Du côté des agriculteurs, ceux qui n'ont pas pris le virage du bio ne cachent pas leur colère. "La décision du maire a été prise sans concertation", juge ainsi Dominique Hamon, éleveur bovin depuis 1981. "C'est comme si on vous enlevait votre ordinateur et qu'on vous disait d'aller téléphoner à la cabine à 15 kilomètres", ironise-t-il. "J'ai 35 ha de maïs pour nourrir mes bêtes. On est obligé de traiter pour éviter les mauvaises herbes. Je sais que ça pollue mais en 40 ans, on a drôlement changé nos façons de travailler et on n'est plus des apprentis sorciers", plaide-t-il."Aucun péril imminent" selon le préfetEn France, plus d'une dizaine de maires ont pris depuis deux ans des arrêtés antipesticides. Dans un courrier demandant l'annulation en référé de celui de Langouët, la préfète d'Ille-et-Vilaine indique que le tribunal administratif de Lyon a déjà annulé en 2012 un arrêté semblable, estimant le maire incompétent pour statuer dans un domaine dévolu à l'État. Elle juge également qu'il n'existe "aucun péril imminent" à Langouët, rappelant que les produits chimiques utilisés disposent d'une autorisation de mise sur le marché et que l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) est seule fondée à agir en cas d'éléments scientifiques nouveaux, comme la présence de nanoparticules dans ces produits ou l'existence de perturbateurs endocriniens, arguments invoqués par le maire. De son côté, Daniel Cueff, soutenu par un collectif d'une vingtaine d'associations écologistes, entend démontrer sa compétence et a produit en réponse un mémoire de "plusieurs dizaines de pages" et fait valoir une "carence de l'État"."Il n'existe pas de réglementation en France sur la concentration des pesticides dans l'air ni de zone tampon entre les champs traités et les habitations alors que l'Organisation mondiale de la Santé a classé en 2015 le glyphosate comme cancérigène probable", soutient-il. Et d'ajouter que le Conseil d'État a partiellement annulé le 26 juin un arrêté réglementant l'utilisation des pesticides au motif qu'il ne protégeait pas suffisamment la santé des riverains.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | La préfecture estime que seul le ministère de l'agriculture est habilité à réguler l'usage des pesticides.
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