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Condensez le texte à l'essentiel :Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle.
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. " Maintenant, rédiger un court résumé.
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. " Maintenant, rédige un court résumé.
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. " Maintenant, rédigez un court résumé.
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Article : "Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. "/n Résumé :
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. Comment reformuler cela en quelques mots ?
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Résumer ce document : "Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. " Résumé :
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Résume ce document : "Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. " Résumé :
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Résumez ce document : "Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. " Résumé :
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
"Un nid de ces insectes prédateurs des abeilles a été découvert en plein centre de la capitale, au Jardin des plantes (5e arrondissement) courant juillet, a annoncé lundi 25 juillet le Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). Il a été détruit.La présence du frelon asiatique - ou Vespa Velutina Nigrithorax - en Île-de-France était attestée depuis 2012, mais c'est la première fois qu'un nid est découvert. Arrivé en France il y a une dizaine d'années en provenance de la Chine, le frelon asiatique ne cesse de progresser sur le territoire, au détriment d'autres espèces autochtones, notamment les abeilles. Nigrithorax est en effet devenu un ennemi public, classé en 2012 "espèce exotique, envahissante et nuisible à l'apiculture", justifiant une dérogation fin 2013 pour l'usage du controversé dioxyde de soufre. Mais le frelon va bien. Il a colonisé plus de 60% du territoire, a été signalé en Espagne, au Portugal, en Italie, ponctuellement en Belgique. Soit via "bourgeonnement" classique - un front progressant de 60 à 70 km par an -, soit par "sauts de puce", aidé fortuitement par l'homme.Pour la communauté scientifique, le frelon asiatique est en "phase d'explosion", au détriment d'espèces autochtones ; une phase par laquelle passe toute "espèce invasive quand elle trouve un environnement adéquat". "Il est bien implanté, il est en train d'entraîner des problèmes", résume Éric Darrouzet, biologiste à l'Institut de recherche sur la biologie de l'insecte (IRBI) de Tours (Indre-et-Loire). Et pas seulement pour l'abeille domestique, dont il est friand (jusqu'à 50-60% de son menu).Prédateur, le frelon est adaptable, se nourrit de toutes sortes d'insectes, guêpes, diptères, coléoptères, des pollinisateurs sauvages. "Donc il peut survivre quasiment partout". "On a énormément parlé de l'impact du frelon sur l'abeille et oublié un peu de s'intéresser à son impact sur la biodiversité", relève Franck Muller, chargé de recherches "frelon" au Muséum d'histoire naturelle. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
- Arrivé en France en 2004 dans des poteries importées de Chine, le frelon asiatique, qui inquiète les apiculteurs, envahit peu à peu toute la France. -Ce n'est pas une surprise, mais c'est désormais officiel : le frelon asiatique est bel et bien installé à Paris.
Résumer le texte suivant : "La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit. "
"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
Résume le texte suivant : "La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit. "
"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
Résumez le texte suivant : "La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit. "
"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit. "
"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
Résume le texte suivant en quelques mots : "La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit. "
"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit. "
"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
Condenser le texte à l'essentiel :La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit.
"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
Condense le texte à l'essentiel :La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit.
"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
Condensez le texte à l'essentiel :La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit.
"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
"La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
"La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
"La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit. " Maintenant, rédiger un court résumé.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit. " Maintenant, rédigez un court résumé.
"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
Article : "La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit. "/n Résumé :
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Résumer ce document : "La présidente de la Commission européenne a estimé dimanche que les personnes âgées en Europe allaient devoir rester isolées encore plusieurs mois pour échapper au coronavirus. "Sans vaccin il faut limiter autant que possible les contacts des seniors", notamment ceux qui vivent dans les maisons de retraite, a déclaré Ursula von der Leyen dans le quotidien allemand Bild. "Je sais que c'est difficile et que l'isolement pèse mais c'est une question de vie ou de mort, nous devons rester disciplinés et patients", a-t-elle dit."Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées et celles avec des antécédents médicaux", a dit la dirigeante allemande de l'exécutif européen, disant "espérer" le développement d'un vaccin par un laboratoire européen "vers la fin de l'année"."Pour qu'on puisse ensuite rapidement vacciner nous sommes déjà en discussion avec des fabricants sur des capacités de production mondiales", a-t-elle dit. " Résumé :
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"Les enfants et les jeunes jouiront plus tôt de davantage de liberté de mouvement que les personnes âgées", a prévenu Ursula von der Leyen.
Résumer le texte suivant : "Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." "
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
Résume le texte suivant : "Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." "
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." "
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
Condenser le texte à l'essentiel :Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue."
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
Condense le texte à l'essentiel :Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue."
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
Condensez le texte à l'essentiel :Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue."
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." " Maintenant, rédiger un court résumé.
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." " Maintenant, rédige un court résumé.
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." " Maintenant, rédigez un court résumé.
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
Article : "Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." "/n Résumé :
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." Comment reformuler cela en quelques mots ?
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
Résumer ce document : "Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." " Résumé :
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
Résume ce document : "Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." " Résumé :
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
Résumez ce document : "Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." " Résumé :
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
"Daniel Cohn-Bendit s'est confié cette semaine à Guillaume Durand dans les colonnes de L'Opinion. L'écologiste y parle notamment d'Emmanuel Macron, qu'il soutient depuis le premier tour de l'élection présidentielle. "Macron, c'est un Spontex. Parfois personne n'y comprend plus rien mais son tempérament est d'être Jupiter et les Tontons flingueurs à la fois", décrit l'ancien député européen qui ne doute pas que le chef de l'État "fera un second mandat".Il balaye par ailleurs les prédictions de ses détracteurs qui estiment que la macronie est en perdition depuis l'affaire Alexandre Benalla, ce collaborateur présidentiel filmé en train de molester deux manifestants le 1er mai à Paris. Selon lui, cette affaire qui a alimenté les médias tout l'été "est d'une simplicité incroyable.""Les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger""Pendant toute la campagne, c'est l'homme à tout faire dans le bon sens du terme. Il portait les valises, il organisait tout", explique-t-il avant d'ajouter : "Un lien d'affection s'était installé, d'où les sous-entendus les plus ignobles qui ont été écrits sur le trio avec Brigitte. À lire certains papiers, tu te demandais si Benalla n'avait pas une liaison avec l'un ou l'autre. Non seulement c'est totalement faux mais Macron a découvert que ce mec avait totalement déconné. Comme il était en Australie et qu'il l'aimait bien, il n'a pas voulu l'enfoncer."Selon Le Parisien Brigitte Macron l'aurait elle évincé bien plus tôt afin de mettre un terme à la polémique. Face aux rumeurs sur une liaison supposée avec son époux, la première dame aurait même décidé de se rendre discrètement au Touquet pour rejoindre sa fille et ses petits-enfants. Pourtant, elle appréciait Alexandre Benalla révèle Daniel Cohn-Bendit. "Le soir où j'ai décidé de ne pas être ministre, j'étais à l'Élysée, Brigitte est passée. On a discuté une heure et elle m'a dit : 'Tu comprends, il nous aidait à garder un minimum de vie privée, pour aller au théâtre, au cinéma, déjeuner tranquillement avec une copine'", explique-t-il à Guillaume Durand. Selon l'écologiste, "les Macron ont débarqué dans un univers qui leur était totalement étranger trois ans avant. Normal que ça tangue." Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Dans L'Opinion, Daniel Cohn-Bendit confie que l'ex-collaborateur du président de la République était d'une aide précieuse pour la première dame. Il l'aidait notamment à garder un minimum de vie privée.
Résumer le texte suivant : "Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. "
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Résume le texte suivant : "Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. "
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Résumez le texte suivant : "Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. "
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. "
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. "
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. "
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Condenser le texte à l'essentiel :Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Condense le texte à l'essentiel :Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Condensez le texte à l'essentiel :Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il.
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. " Maintenant, rédige un court résumé.
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Article : "Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. "/n Résumé :
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Résumer ce document : "Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. " Résumé :
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Résume ce document : "Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. " Résumé :
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
Résumez ce document : "Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. " Résumé :
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.
"Alors que le pays tourne à peine la page de la crise sanitaire et affronte de plein fouet la crise économique qui en découle, Emmanuel Macron pourrait bien être tenté d'opérer un remaniement ministériel pour se donner un nouveau souffle. S'il se décide - et l'hypothèse est plausible selon de nombreux observateurs -, le président de la République pourra compter sur les conseils de Gilles Le Gendre. D'après le journal Marianne, le chef des députés à l'Assemblée nationale a fait parvenir une note de travail à l'Elysée. Il y dresse la liste des candidats crédibles à chaque ministère. Qui pour investir le plus important de tous, Matignon ? Pour prendre la succession d'Edouard Philippe au poste de Premier ministre, Gilles Le Gendre a deux favoris : Jean-Yves Le Drian et Bruno Le Maire. D'après lui, le premier cité "envoie le bon signal politique ; saura gérer la majorité, dans la complexité actuelle de sa composition ; offre un contraste de générations avec toi (Emmanuel Macron, NDLR) qui n'est pas inintéressant". Seul bémol, pour le chef des députés LREM, Jean-Yves Le Drian "appuiera peu l'élan que nous souhaitons donner". Le Maire et son "faible charisme"Bruno Le Maire, le deuxième candidat idéal, est quant à lui décrit comme un homme aux "pensées et discours limpides" mais ayant un "faible charisme". Malgré ça, Gilles Le Gendre rend son verdict : "Tout à fait possible (pour devenir Premier ministre, NDLR)." Olivier Véran, Marc Fesneau et Didier Guillaume, trois membres du gouvernement actuel d'Edouard Philippe, sont également cités dans la note comme candidats crédibles au poste.D'autres actuels ministres sont évoqués pour changer de portefeuille. Si Emmanuel Macron suivait les propositions de Gilles Le Gendre, Christophe Castaner quitterait ainsi le ministère de l'Intérieur pour prendre celui de la Défense et Gérald Darmanin, actuel ministre du Budget, irait au ministère des Affaires sociales.Manuel Valls, un "cas complexe"Mais des petits "nouveaux" pourraient aussi faire leur entrée au gouvernement. Trois noms issus de la société civile sont évoqués selon Marianne : Eric Lombard, le patron de la Caisse des dépôts, Frédéric Mion, le directeur de Sciences-Po Paris, et Marie-Ange Debon, la directrice générale de Suez. Cependant, c'est celui d'un visage bien connu du monde de la politique qui est sans doute le plus marquant de cette note : Manuel Valls. L'ancien Premier ministre, "un cas complexe" et "clivant pour la majorité", est envisagé par le patron des députés LREM pour les Affaires étrangères. "Nous n'avons pas tant d'atouts dans notre jeu pour négliger ce poids lourd", justifie-t-il. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Le chef des députés LREM à l'Assemblée nationale a adressé une note de travail à Emmanuel Macron, révèle Marianne. Gilles Le Gendre y dresse notamment son "casting" parfait pour un éventuel remaniement.