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Résumer le texte suivant : "L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. "
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Résume le texte suivant : "L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. "
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Résumez le texte suivant : "L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. "
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. "
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Résume le texte suivant en quelques mots : "L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. "
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. "
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Condenser le texte à l'essentiel :L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Condense le texte à l'essentiel :L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Condensez le texte à l'essentiel :L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital.
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. " Maintenant, rédige un court résumé.
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Article : "L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. "/n Résumé :
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Résumer ce document : "L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. " Résumé :
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Résume ce document : "L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. " Résumé :
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Résumez ce document : "L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. " Résumé :
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"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
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Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
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"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
"L'épidémie avance moins vite, mais elle continue d'avancer, a expliqué, lors de son point quotidien du mardi 7 avril, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon. 30.000 personnes sont hospitalisées en France, soit 305 de plus au cours des 24 dernières heures. 7.131 cas nécessitent, en raison de leur gravité, un placement en service de réanimation, soit 518 cas supplémentaires en une journée. Il y a malgré tout un motif d'espoir dans ces nombres, a indiqué Jérôme Salomon.Le besoin de nouvelles places augmente moins rapidement. Le solde, sorties de services de réanimation et admissions est toujours positif, +59, mais il est passé sous la barre des 100 pour la première fois depuis plusieurs jours."Cependant il est positif, a rappelé le directeur général de la Santé, et l'épidémie continue sa progression."Le nombre de morts a, quant à lui, fortement augmenté, en raison d'un "retard de saisie" dans certains établissements. Dans les hôpitaux 7.091 décès ont été reportés, soit une augmentation de 597 en 24 heures. Dans les Ehpad, ce sont 820 décès qui ont été enregistrés, portant le total à 3.237.Mortalité en hausse de 30%Des nombres appelés à évoluer, 4.553 établissements médico-sociaux ayant rapporté un épisode de Covid-19. Au total, dans les hôpitaux et les Ehpad, 10.328 décès ont été à déplorer depuis le 1er mars. La mortalité a, quant à elle, augmenté de 30% en France en semaine 13, du 22 au 28 mars. Principales régions touchées, le Grand-Est, l'Île-de-France, la Bourgogne Franche-Comté, les Hauts-de-France, et le Centre-Val-de-Loire. Quelques départements sont confronté à une mortalité exceptionnellement haute : le Haut-Rhin, Paris, la Seine-Sain-Denis, et le Val d'Oise. Motif d'espoir malgré tout, 19.337 patients ont été déclarés guéris à l'hôpital. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Lors de son point quotidien, le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, a indiqué que l'épidémie avançait moins rapidement en France. Cependant, 10.328 décès on été à déplorer depuis le 1er mars.
Résumer le texte suivant : "Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. "
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Résume le texte suivant : "Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. "
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Résumez le texte suivant : "Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. "
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. "
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. "
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. "
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Condenser le texte à l'essentiel :Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique.
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Condense le texte à l'essentiel :Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique.
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Condensez le texte à l'essentiel :Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique.
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
"Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
"Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
"Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. " Maintenant, rédige un court résumé.
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Article : "Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. "/n Résumé :
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
"Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
"Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
"Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Résumer ce document : "Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. " Résumé :
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Résume ce document : "Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. " Résumé :
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Résumez ce document : "Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. " Résumé :
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
"Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
"Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
"Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
"Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
"Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
"Onze personnes ont été interpellées dimanche en marge du déplacement du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin à Saint-Étienne-du-Rouvray. "Onze personnes ont été interpellées et auditionnées, quatre sont en garde à vue pour outrage, et toutes sont verbalisées pour manifestation interdite", a précisé la préfecture de Seine-Maritime."Darmanin sale violeur"En plein discours d'hommage au prêtre Jacques Hamel, les mots "Darmanin sale violeur" ont été proférés par un ou plusieurs individus. Selon la préfecture le secteur où avaient lieu les hommages n'était pas fermé. "Même s'il y avait une interdiction de manifester, le secteur était ouvert au public", a rappelé la préfecture. Les personnes qui "ont interpellé le ministre ont été exfiltrées". Elles sont "connues pour leur appartenance à la mouvance gilets jaunes et ultra gauche", et les mots proférés ne sont pas le fait de féministes.La préfecture rappelle néanmoins "qu'il est scandaleux de profiter d'une cérémonie de recueillement" pour commettre ce type de manifestation."Culture du viol en marche"Depuis sa nomination à l'Intérieur, Gérald Darmanin, qui fait l'objet d'une accusation de viol, est la cible d'associations féministes. Dénonçant "la culture du viol en Marche", il y a deux semaines, plusieurs milliers de manifestants avaient protesté à Paris et dans plusieurs villes contre la présence de M. Darmanin au gouvernement.Dans son discours dimanche, M. Darmanin a rendu hommage au père Hamel "mort sous les coups de la barbarie la plus infâme et la plus aveugle". Son assassinat "n'a pas touché que les chrétiens. Il a touché toute la France en son cœur et en son esprit", a dit le ministre. "Mettre à mort un prêtre (...) c'est tenter d'assassiner une partie de l'âme nationale" a souligné M. Darmanin.Assassiné par deux terroristes"Quatre années après, nous nous souvenons de son action. De ce drame. Et nous n'oublions pas", a dit M. Darmanin, souhaitant que la vie et la mort du prêtre puissent "être la fois un exemple pour ceux qui croient et un vœu d'espérance de fraternité républicaine pour tous".Le 26 juillet 2016, le père Jacques Hamel, prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), a été égorgé dans son église par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui ont été tués par la police. L'assassinat avait été revendiqué par l'organisation État islamique. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Le ministre de l'Intérieur rendait ce dimanche hommage au père Hamel, assassiné il y a quatre ans à Saint-Étienne-du-Rouvray.
Résumer le texte suivant : "La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. "
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
Résume le texte suivant : "La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. "
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
Résumez le texte suivant : "La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. "
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. "
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
Résume le texte suivant en quelques mots : "La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. "
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. "
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
Condenser le texte à l'essentiel :La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade.
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
Condense le texte à l'essentiel :La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade.
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
Condensez le texte à l'essentiel :La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade.
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
"La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
"La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
"La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. " Maintenant, rédige un court résumé.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
Article : "La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. "/n Résumé :
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
"La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Un homme de 55 ans a été grièvement blessé le vendredi 27 juillet à Beaucaire (Gard) après avoir été percuté par un taureau lors d'un encierro dans les rues de la ville.
"La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
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Résumer ce document : "La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. " Résumé :
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Résumez ce document : "La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. " Résumé :
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"La victime a été prise en charge par les secouristes de la Croix Rouge, vers 20h30 puis transportée "dans un état grave" à l'hôpital de Carémeau de Nîmes. L'homme, originaire de Mas-Thibert, souffre d'"un grave traumatisme crânien", selon La Provence."Une imprudence à l'origine du drame"Les circonstances précises de l'accident, survenu lors d'un lâcher de taureaux, étaient encore inconnues samedi soir. Selon le question régional, pas moins de "100 taureaux" auraient été lâchés lors de cet encierro. Le quotidien explique qu'"une imprudence est à l'origine du drame". L'homme aurait passé les barrières de sécurité pour prendre une photo. En novembre à Uzès (Gard), une spectatrice d'une vingtaine d'années avait également été blessée lors d'une course de taureaux. La victime se trouvait au milieu du parcours des bovins, à un endroit très dangereux, selon les organisateurs de la manade. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
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Résumer le texte suivant : "Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. "
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Résume le texte suivant : "Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. "
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Résumez le texte suivant : "Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. "
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. "
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. "
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. "
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Condenser le texte à l'essentiel :Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel.
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Condense le texte à l'essentiel :Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel.
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Condensez le texte à l'essentiel :Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel.
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
"Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
"Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
"Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. " Maintenant, rédige un court résumé.
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Article : "Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. "/n Résumé :
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.