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"Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
"Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
"Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Résumer ce document : "Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. " Résumé :
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Résume ce document : "Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. " Résumé :
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Résumez ce document : "Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. " Résumé :
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
"Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
"Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
"Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
"Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
"Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
"Il était une légende de la bande dessinée américaine. Le scénariste américain Stan Lee, co-créateur notamment de Hulk, des X-Men ou encore de Spider-Man, est mort lundi matin dans un hôpital de Los Angeles selon le site TMZ et le Hollywood Reporter. "Mon père aimait tous ses fans", a déclaré sa fille J.C. à TMZ.Une révolution dans le "comic-book"Nonagénaire au regard rieur derrière ses verres fumés, Stan Lee a plongé dans l'univers des comics par le plus grand des hasards, loin de s'imaginer qu'il ferait rêver plusieurs générations de fans de super-héros. Dans les années 60, avec Marvel, le scénariste avait révolutionné le "comic-book", la bande-dessinée américaine, et par répercussion la culture populaire mondiale. Ses personnages, de Iron Man à Black Panther, sont devenus les figures de proues de l'industrie cinématographique américaine et ont fait rêver plusieurs générations de fans. Ce New-Yorkais, fils d'immigrés roumains, a commencé à travailler pour Timely Comics, l'ancêtre de Marvel, en 1939. Il a su donner au genre super-héroïque un nouveau souffle, en créant des personnages dont les pouvoirs étaient contrebalancés par un humanisme poignant, assurant leur popularité auprès d'un public capable de s'identifier. Connu pour ses lunettes de soleil et son pull vert, il s'était assuré une popularité sans faille auprès des fans de bande dessinée et de "pop culture". Le grand public le reconnaissait grâce à ses apparitions dans les films Marvel. Une de ses marques de fabrique: donner les mêmes initiales aux prénoms et aux noms de ses personnages. Peter Parker, Reed Richards, Bruce Banner et Matt Murdock n'échapperont pas à la règle. Dans les années 60, Stan Lee devient l'homme-orchestre de la maison d'édition, rebaptisée "Marvel". Il cumule les fonctions de scénariste, d'éditeur et de directeur de la publication. Génie du marketing, il crée un "univers Marvel". Tous ses super-héros évoluent dans un même monde et se retrouvent dans les pages des différents magazines du groupe: tout est fait pour que les fans aient le sentiment d'appartenir à une communauté. Plusieurs décennies plus tard, Hollywood a toujours recours à la même technique dans ses adaptations sur grand écran des aventures de super-héros. L'ambassadeur des comicsL'éditeur devient l'ambassadeur des comics aux Etats-Unis, multipliant les conférences dans les universités et les apparitions dans les conventions de fans, qui le considèrent parfois comme un demi-Dieu. Grand admirateur de Walt Disney, il supervise des adaptations des héros Marvel pour la télévision et le cinéma, prenant l'habitude de faire de courtes apparitions dans tous les films mettant en scène ses personnages.Après avoir brièvement dirigé l'ensemble de la société, il quitte Marvel à la fin des années 90. Malgré un long procès avec Marvel, racheté en 2009 par Disney pour 4 milliards de dollars, Stan Lee est toujours resté étroitement lié à la société, dont il était toujours président émérite et symbole éternel. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Stan Lee, le scénariste américain qui a notamment créé pour l'éditeur Marvel Comics des personnages iconiques comme Spider-Man ou Hulk, est décédé lundi à l'âge de 95 ans.
Résumer le texte suivant : "Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". "
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Résume le texte suivant : "Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". "
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Résumez le texte suivant : "Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". "
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". "
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". "
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". "
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Condenser le texte à l'essentiel :Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs".
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Condense le texte à l'essentiel :Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs".
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Condensez le texte à l'essentiel :Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs".
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
"Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
"Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
"Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". " Maintenant, rédiger un court résumé.
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". " Maintenant, rédige un court résumé.
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". " Maintenant, rédigez un court résumé.
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Article : "Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". "/n Résumé :
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
"Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". Comment reformuler cela en quelques mots ?
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
"Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
"Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Résumer ce document : "Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". " Résumé :
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Résume ce document : "Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". " Résumé :
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Résumez ce document : "Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". " Résumé :
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
"Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
"Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
"Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
"Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
"Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
"Thomas Sotto en avait visiblement gros sur le cœur. Ce mardi 31 mars, au moment d'entamer son traditionnel journal de 18 Heures sur RTL, le journaliste-présentateur a tenu à déroger quelque peu à ses habitudes en poussant un coup de gueule. Dans son collimateur : toutes ces personnes, de plus en plus nombreuses, depuis le début de la crise du coronavirus, qui demandent à leurs voisins soignants de déménager par crainte d'être contaminées. "Je voudrais, pour une fois, adresser un message personnel. Un message adressé à tout ceux qui ont découvert subitement qu'une médecin, un infirmier ou une aide-soignante vivait dans la même cage d'escalier qu'eux, et qui se croient autorisés, via des petits mots d'une lâcheté infinie, scotchés sur un hall d'immeuble ou glissés sous un essuie-glace, à leur demander de s'installer ailleurs, de déguerpir", a-t-il lancé, la mine grave.Demain, "ils sauveront la vie de vos parents ou de vos enfants""C'est de Lacombe Lucien aux petits pieds, comme dirait l'autre, qui ne réalisent pas qu'aujourd'hui, ces soignants sont nos anticorps face à l'épidémie, que ces gens mettent leur vie en péril pour sauver les nôtres. Vous qui n'avez pas compris que, demain, ce sont vos voisins de palier en blouse-blanche, ceux-là même que vous voulez chasser comme des malpropres, qui peut-être sauveront la vie de vos parents, ou de vos enfants, et ils ne vous demanderont même pas un petit mot de remerciement", a conclu le journaliste.Si les soignants reçoivent de nombreux témoignages de soutien depuis début de la crise sanitaire traversée par notre pays, comme ces salves d'applaudissements quotidiennes à 20 heures, la peur pousse également certaines personnes à traiter le personnel hospitalier comme des véritables parias. Depuis plusieurs jours, les témoignages de professionnels de la santé sur les réseaux sociaux affluent. Dimanche 22 mars, une aide-soignante toulousaine partageait par exemple le message qu'elle avait retrouvé scotché sur sa porte. Sur un bout de papier, son voisin lui demandait "de ne plus toucher les portes communes" et "d'essayer de se loger ailleurs". Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Thomas Sotto s'en est pris ce mardi soir à toutes les personnes qui exigent un déménagement de leurs voisins soignants. À l'antenne, le journaliste de RTL n'a pas mâché ses mots.
Résumer le texte suivant : "Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. "
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Résume le texte suivant : "Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. "
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Résumez le texte suivant : "Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. "
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. "
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Résume le texte suivant en quelques mots : "Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. "
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Résumez le texte suivant en quelques mots : "Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. "
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Condenser le texte à l'essentiel :Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019.
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Condense le texte à l'essentiel :Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019.
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Condensez le texte à l'essentiel :Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019.
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
"Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
"Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
"Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. " Maintenant, rédige un court résumé.
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Article : "Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. "/n Résumé :
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
"Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
"Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
"Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Résumer ce document : "Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. " Résumé :
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Résume ce document : "Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. " Résumé :
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Résumez ce document : "Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. " Résumé :
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
"Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
"Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer :
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
"Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer :
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
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Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
"Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
"Nick Cordero a passé des mois en soins intensifs où il était traité pour le coronavirus. Il avait été amputé d'une jambe en raison de complications dues à la maladie. Il est décédé dimanche 5 juillet, a annoncé son épouse. "Mon cher mari nous a quittés ce matin. Il était entouré de sa famille aimante, qui a chanté et prié alors qu'il quittait doucement cette terre", a écrit Amanda Kloots sur Instagram. "Je suis incrédule et je souffre partout. Mon cœur est brisé car je ne peux pas imaginer notre vie sans lui." Son combat raconté sur les réseaux sociaux "Il nous manquera dans tout ce que nous faisons chaque jour, à Elvis et moi", a-t-elle poursuivi, faisant référence à leur fils d'un an. Amanda Kloots racontait raconté le combat de son mari contre la maladie sur les réseaux sociaux, fédérant de nombreux fans. Elle a précisé qu'il était souffrant depuis 95 jours. Jambe amputée Après presque trois semaines en soins intensifs, les médecins de Nick Cordero avaient dû lui amputer la jambe droite car un caillot empêchait sa circulation sanguine - une des complications graves du coronavirus.Le comédien était placé dans le coma depuis des mois, mais il avait repris conscience début mai. Il ouvrait les yeux et communiquait à travers eux. Il était en attente d'une greffe des poumons Selon son épouse, il avait perdu 29 kg en raison d'une atrophie musculaire et n'était pas capable de bouger ou parler mi-juin. Il était en attente d'une double transplantation pulmonaire quand il est décédé. Nick Cordero était connu pour ses rôles dans les comédies musicales "Waitress", "A Bronx Tale" et "Bullets Over Broadway," pour laquelle il avait été nommé pour un Tony award. Il a joué dans plusieurs sériex télévisées, notamment "New York, unité spéciale", de 2015 à 2019. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Le comédien canadien, célèbre pour ses rôles à Broadway et à la télévision ("New York, unité spéciale"), avait 41 ans. Il est mort après des mois de souffrance.
Résumer le texte suivant : "C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. "
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
Résume le texte suivant : "C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. "
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
Résumez le texte suivant : "C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. "
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. "
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
Résume le texte suivant en quelques mots : "C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. "
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
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Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
Condenser le texte à l'essentiel :C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26.
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
Condense le texte à l'essentiel :C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26.
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
Condensez le texte à l'essentiel :C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26.
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
"C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. Rédiger un résumé du texte ci-dessus :
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
"C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. Rédige un résumé du texte ci-dessus :
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
"C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
Premièrement, lire le texte ci-dessous. "C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. " Maintenant, rédiger un court résumé.
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
Premièrement, lis le texte ci-dessous. "C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. " Maintenant, rédige un court résumé.
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
Premièrement, lisez le texte ci-dessous. "C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. " Maintenant, rédigez un court résumé.
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
Article : "C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. "/n Résumé :
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
"C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. Comment reformuler cela en quelques mots ?
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
"C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ?
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
"C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ?
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
Résumer ce document : "C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. " Résumé :
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Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
"C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer :
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"C'est ce que l'on appelle une grosse boulette. Comme le révèle RTL, Alexandre Benalla et Vincent Crase, deux des protagonistes d'une affaire qui secoue la République depuis l'été dernier, ont pu être en contact pendant une bonne heure le 19 février dernier, alors qu'ils se trouvaient au palais de justice de Paris. Les deux hommes, qui n'ont logiquement pas le droit d'entrer en contact l'un avec l'autre, étaient convoqués par un juge des libertés pour avoir enfreint une première fois cette interdiction, comme l'avaient révélé des enregistrements rendus publics par le site d'information indépendant Mediapart. Mardi 19 février, en début d'après-midi, les deux protagonistes d'une affaire qui a débuté par des violences sur des manifestants le 1er mai 2018 et qui a ensuite donné lieu à une série de révélations qui semble sans fin, étaient convoqués par la justice en vue de leur éventuel placement en détention provisoire. Alors qu'ils sont supposés ne pas pouvoir se parler, une erreur de transmission des consignes aux policiers qui les accompagnent a abouti à leur installation dans un box commun où ils ont pu, pendant une heure, échanger à leur guise.Vers 15 heures, comme l'explique RTL, les magistrats se sont rendu compte de la grosse erreur qui avait été commise et ont fait séparer les deux hommes, qui ont fini comme attendu leur journée en prison. Ce nouveau cafouillage, dans une affaire qui n'en manque pas, risque encore une fois de faire beaucoup parler. Alexandre Benalla et Vincent Crase, incarcérés depuis la semaine dernière, ont vu leur premier recours rejeté vendredi 22 février. Un nouvel appel de leur placement en détention provisoire sera examiné mardi 26. Rédigez un résumé du texte ci-dessus :
Le 19 février dernier, alors qu'ils étaient sur le point d'être entendus par le juge des libertés, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont pu partager un box commun sans interdiction de communiquer, comme le raconte RTL.
Résumer le texte suivant : "En décembre 2006, Benjamin Castaldi et Flavie Flament officialisaient leur séparation. Après quatre ans de mariage et la naissance de leur fils Enzo en 2004, les deux animateurs ont rompu, et leur divorce a été prononcé en juillet 2008. Les deux collègues s'étaient rencontrés en 2000 sur le plateau des Petits Princes, une émission de divertissement diffusée sur TF1. "Le jour de notre rencontre, je suis venue à la vie une deuxième fois. Avant, c'était 27 années d'errance" avait déclaré Flavie Flament sur le plateau de Salut les terriens en 2015.Dans Touche pas à mon poste ce mardi 20 mars, Benjamin Castaldi a révélé des informations croustillantes sur les dessous de sa rupture avec l'animatrice. Avouant qu'il n'a jamais été vraiment irréprochable dans leur histoire d'amour, l'animateur du Loft et de Secret Story a confié s'être fait larguer par SMS : "En fait, je faisais la matinale sur RTL2, et je partais assez tôt le matin. Je revenais après l'émission et je faisais une petite sieste parce que j'étais fatigué. Et j'ouvre mon téléphone, et je vois ce texto qui me dit que c'est fini''.4 mariages pour une lune de mielLa vie sentimentale de Benjamin Castaldi n'a de cesse d'être raillée par Cyril Hanouna dans TPMP. Le chroniqueur et animateur de C8 s'est remarié une quatrième fois en août 2016 avec Aurore Aleman, une directrice de casting qui a notamment travaillé pour Secret Story. Outre Flavie Flament, Benjamin Castaldi avait aussi divorcé en 2001 de Valérie Sapienza, mère de ses deux aînés Simon et Julien, et de Vanessa Broussouloux en 2016. "
Dans Touche pas à mon poste ce mardi 20 mars, Benjamin Castaldi a donné quelques informations surprenantes sur les dessous de sa rupture avec l'animatrice Flavie Flament il y a onze ans.
Résume le texte suivant : "En décembre 2006, Benjamin Castaldi et Flavie Flament officialisaient leur séparation. Après quatre ans de mariage et la naissance de leur fils Enzo en 2004, les deux animateurs ont rompu, et leur divorce a été prononcé en juillet 2008. Les deux collègues s'étaient rencontrés en 2000 sur le plateau des Petits Princes, une émission de divertissement diffusée sur TF1. "Le jour de notre rencontre, je suis venue à la vie une deuxième fois. Avant, c'était 27 années d'errance" avait déclaré Flavie Flament sur le plateau de Salut les terriens en 2015.Dans Touche pas à mon poste ce mardi 20 mars, Benjamin Castaldi a révélé des informations croustillantes sur les dessous de sa rupture avec l'animatrice. Avouant qu'il n'a jamais été vraiment irréprochable dans leur histoire d'amour, l'animateur du Loft et de Secret Story a confié s'être fait larguer par SMS : "En fait, je faisais la matinale sur RTL2, et je partais assez tôt le matin. Je revenais après l'émission et je faisais une petite sieste parce que j'étais fatigué. Et j'ouvre mon téléphone, et je vois ce texto qui me dit que c'est fini''.4 mariages pour une lune de mielLa vie sentimentale de Benjamin Castaldi n'a de cesse d'être raillée par Cyril Hanouna dans TPMP. Le chroniqueur et animateur de C8 s'est remarié une quatrième fois en août 2016 avec Aurore Aleman, une directrice de casting qui a notamment travaillé pour Secret Story. Outre Flavie Flament, Benjamin Castaldi avait aussi divorcé en 2001 de Valérie Sapienza, mère de ses deux aînés Simon et Julien, et de Vanessa Broussouloux en 2016. "
Dans Touche pas à mon poste ce mardi 20 mars, Benjamin Castaldi a donné quelques informations surprenantes sur les dessous de sa rupture avec l'animatrice Flavie Flament il y a onze ans.
Résumez le texte suivant : "En décembre 2006, Benjamin Castaldi et Flavie Flament officialisaient leur séparation. Après quatre ans de mariage et la naissance de leur fils Enzo en 2004, les deux animateurs ont rompu, et leur divorce a été prononcé en juillet 2008. Les deux collègues s'étaient rencontrés en 2000 sur le plateau des Petits Princes, une émission de divertissement diffusée sur TF1. "Le jour de notre rencontre, je suis venue à la vie une deuxième fois. Avant, c'était 27 années d'errance" avait déclaré Flavie Flament sur le plateau de Salut les terriens en 2015.Dans Touche pas à mon poste ce mardi 20 mars, Benjamin Castaldi a révélé des informations croustillantes sur les dessous de sa rupture avec l'animatrice. Avouant qu'il n'a jamais été vraiment irréprochable dans leur histoire d'amour, l'animateur du Loft et de Secret Story a confié s'être fait larguer par SMS : "En fait, je faisais la matinale sur RTL2, et je partais assez tôt le matin. Je revenais après l'émission et je faisais une petite sieste parce que j'étais fatigué. Et j'ouvre mon téléphone, et je vois ce texto qui me dit que c'est fini''.4 mariages pour une lune de mielLa vie sentimentale de Benjamin Castaldi n'a de cesse d'être raillée par Cyril Hanouna dans TPMP. Le chroniqueur et animateur de C8 s'est remarié une quatrième fois en août 2016 avec Aurore Aleman, une directrice de casting qui a notamment travaillé pour Secret Story. Outre Flavie Flament, Benjamin Castaldi avait aussi divorcé en 2001 de Valérie Sapienza, mère de ses deux aînés Simon et Julien, et de Vanessa Broussouloux en 2016. "
Dans Touche pas à mon poste ce mardi 20 mars, Benjamin Castaldi a donné quelques informations surprenantes sur les dessous de sa rupture avec l'animatrice Flavie Flament il y a onze ans.
Résumer le texte suivant en quelques mots : "En décembre 2006, Benjamin Castaldi et Flavie Flament officialisaient leur séparation. Après quatre ans de mariage et la naissance de leur fils Enzo en 2004, les deux animateurs ont rompu, et leur divorce a été prononcé en juillet 2008. Les deux collègues s'étaient rencontrés en 2000 sur le plateau des Petits Princes, une émission de divertissement diffusée sur TF1. "Le jour de notre rencontre, je suis venue à la vie une deuxième fois. Avant, c'était 27 années d'errance" avait déclaré Flavie Flament sur le plateau de Salut les terriens en 2015.Dans Touche pas à mon poste ce mardi 20 mars, Benjamin Castaldi a révélé des informations croustillantes sur les dessous de sa rupture avec l'animatrice. Avouant qu'il n'a jamais été vraiment irréprochable dans leur histoire d'amour, l'animateur du Loft et de Secret Story a confié s'être fait larguer par SMS : "En fait, je faisais la matinale sur RTL2, et je partais assez tôt le matin. Je revenais après l'émission et je faisais une petite sieste parce que j'étais fatigué. Et j'ouvre mon téléphone, et je vois ce texto qui me dit que c'est fini''.4 mariages pour une lune de mielLa vie sentimentale de Benjamin Castaldi n'a de cesse d'être raillée par Cyril Hanouna dans TPMP. Le chroniqueur et animateur de C8 s'est remarié une quatrième fois en août 2016 avec Aurore Aleman, une directrice de casting qui a notamment travaillé pour Secret Story. Outre Flavie Flament, Benjamin Castaldi avait aussi divorcé en 2001 de Valérie Sapienza, mère de ses deux aînés Simon et Julien, et de Vanessa Broussouloux en 2016. "
Dans Touche pas à mon poste ce mardi 20 mars, Benjamin Castaldi a donné quelques informations surprenantes sur les dessous de sa rupture avec l'animatrice Flavie Flament il y a onze ans.