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Magnifique épopée, une belle histoire, touchante avec des acteurs qui interprètent très bien leur rôles (Mel Gibson, Heath Ledger, Jason Isaacs...), le genre de film qui se savoure en famille! :)
Magnifique épopée, une belle histoire, touchante avec des acteurs qui interprètent très bien leur rôles (Mel Gibson, Heath Ledger, Jason Isaacs...), le genre de film qui se savoure en famille! :)
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Je n'ai pas aimé mais pourtant je lui mets 2 étoiles car l'expérience est louable. Rien de conventionnel ici. Une visite E.T. mais jonchée d'idées /- originales. Le soucis, tout ceci avait-il vraiment sa place dans un film de S.F. tirant sur l'horreur ? Voici un film qui, à l'inverse de tant d'autres qui y ont droit, mériterait peut-être un remake.
Je n'ai pas aimé mais pourtant je lui mets 2 étoiles car l'expérience est louable. Rien de conventionnel ici. Une visite E.T. mais jonchée d'idées /- originales. Le soucis, tout ceci avait-il vraiment sa place dans un film de S.F. tirant sur l'horreur ? Voici un film qui, à l'inverse de tant d'autres qui y ont droit, mériterait peut-être un remake.
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Un dessin animé qui brille par sa féerie et ses chansons.
Un dessin animé qui brille par sa féerie et ses chansons.
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Si c'est là le renouveau du cinéma français, c'est tout de même foutrement chiant. Si l'objet est très stylisé et la tension palpable, le film paraît plutôt creux.
Si c'est là le renouveau du cinéma français, c'est tout de même foutrement chiant. Si l'objet est très stylisé et la tension palpable, le film paraît plutôt creux.
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Et pourtant on s’en Doutait !Second volet très mauvais, sans fraîcheur et particulièrement lourdingue. Quel dommage.
Et pourtant on s’en Doutait !Second volet très mauvais, sans fraîcheur et particulièrement lourdingue. Quel dommage.
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Vous reprendrez bien un peu d'été ? Ce film je le voyais comme un mélange de Rohmer et de Rozier, un film de vacances, j'adore ça, un truc beau et pur qui dit des choses sur la vie, l'amour, les filles, les vacances. Un film qui se regarde en sirotant une boisson fraîche en écoutant les grillons ! Sauf qu'en fait non ! On a un film foutraque au possible qui reprend les codes justement de Rohmer voir Godard, enfin la Nouvelle Vague en général dans sa première partie (jusqu'à même finir sur une partie qui ressemblerait à du Kusturica), mais en beaucoup plus léger et décalé. Le film n'en a rien à foutre de rien, il ose tout, n'a peur de rien et ça c'est bon. C'est sans doute le film le plus drôle de 2013, mais tout simplement l'un des meilleurs tout court. Le film qui nous sort des dialogues qui pourraient sortir d'un mauvais Godard (oxymore) sur un ton what the fuckesque… raconte des anecdotes débiles au souhait face caméra… et pourtant, il y a quelque chose dans ce film survolté. Il y a du beau. Ces scènes dans la neige, c'est tendre, c'est beau, ça tranche avec le reste et ça donne du coeur à l'amourette, ça aide à le faire paraître comme une évidence. Et puis on a cette scène que je trouve sublime qui m'a profondément émue, cette scène où le docteur Placenta devient tout à coup sérieux et parle de cette date où chaque année il repense à cette fille et au fait qu'une année de plus le sépare d'elle. C'est horrible comme concept et pourtant tellement vrai et sincère. C'est vraiment troublant. Et encore une fois la scène d'avant est très drôle et là, un petit moment de douceur avant de repartir sur le train effréné ! Et il y a ces fesses… Et le plus beau c'est qu'à la fin Vimala Pons a un petit air d'Anna Karina ! Film fout, étonnant, percutant, drôle, beau, triste ! C'est foutrement cool !
Vous reprendrez bien un peu d'été ? Ce film je le voyais comme un mélange de Rohmer et de Rozier, un film de vacances, j'adore ça, un truc beau et pur qui dit des choses sur la vie, l'amour, les filles, les vacances. Un film qui se regarde en sirotant une boisson fraîche en écoutant les grillons ! Sauf qu'en fait non ! On a un film foutraque au possible qui reprend les codes justement de Rohmer voir Godard, enfin la Nouvelle Vague en général dans sa première partie (jusqu'à même finir sur une partie qui ressemblerait à du Kusturica), mais en beaucoup plus léger et décalé. Le film n'en a rien à foutre de rien, il ose tout, n'a peur de rien et ça c'est bon. C'est sans doute le film le plus drôle de 2013, mais tout simplement l'un des meilleurs tout court. Le film qui nous sort des dialogues qui pourraient sortir d'un mauvais Godard (oxymore) sur un ton what the fuckesque… raconte des anecdotes débiles au souhait face caméra… et pourtant, il y a quelque chose dans ce film survolté. Il y a du beau. Ces scènes dans la neige, c'est tendre, c'est beau, ça tranche avec le reste et ça donne du coeur à l'amourette, ça aide à le faire paraître comme une évidence. Et puis on a cette scène que je trouve sublime qui m'a profondément émue, cette scène où le docteur Placenta devient tout à coup sérieux et parle de cette date où chaque année il repense à cette fille et au fait qu'une année de plus le sépare d'elle. C'est horrible comme concept et pourtant tellement vrai et sincère. C'est vraiment troublant. Et encore une fois la scène d'avant est très drôle et là, un petit moment de douceur avant de repartir sur le train effréné ! Et il y a ces fesses… Et le plus beau c'est qu'à la fin Vimala Pons a un petit air d'Anna Karina ! Film fout, étonnant, percutant, drôle, beau, triste ! C'est foutrement cool !
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Bon c'est pas un grand film mais on passe un bon moment avec ses ado à la recherche de l'orgasme. Y'a que les Allemands pour faire des films aussi barge ! :-)
Bon c'est pas un grand film mais on passe un bon moment avec ses ado à la recherche de l'orgasme. Y'a que les Allemands pour faire des films aussi barge ! :-)
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Terrible histoire que ces êtres sans amour, ces êtres lisses et frustres qui passent à côté de leur vie. Quelle leçon Monsieur Brizé! Vous avez tout dit, tout filmé jusqu'au moindre détail. tout est beau et terrifiant jusqu'à la scène finale qui nous liquéfie, un Vincent Lindon regardant la vie fixement sans oser la toucher ni la prendre dans ses bras, une Hélène Vincent qui attend, qui attend... Mon Dieu Monsieur Brizé, continuez....
Terrible histoire que ces êtres sans amour, ces êtres lisses et frustres qui passent à côté de leur vie. Quelle leçon Monsieur Brizé! Vous avez tout dit, tout filmé jusqu'au moindre détail. tout est beau et terrifiant jusqu'à la scène finale qui nous liquéfie, un Vincent Lindon regardant la vie fixement sans oser la toucher ni la prendre dans ses bras, une Hélène Vincent qui attend, qui attend... Mon Dieu Monsieur Brizé, continuez....
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Un très joli film, qui ressemble à un téléfilm mais qui a le mérite d'être émouvant et proche de ses personnages. Magimel est vraiment très bon et l'histoire est touchante
Un très joli film, qui ressemble à un téléfilm mais qui a le mérite d'être émouvant et proche de ses personnages. Magimel est vraiment très bon et l'histoire est touchante
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Mais comment certaines personnes ont pus lui mettre 5/5 et donc dire indirectement que c'est un chef-d'œuvre ??? Et comment a-t-il fait pour sortir au cinéma et non en DTV ??? C'est pas un film que l'on regarde dans une salle obscur ça, pour moi ça ressemble plus à un téléfilm que l'on visionne un dimanche pluvieux pour que les enfants arrête de nous casser les pieds ! Et puis, le scénario avec le chien que devient le meilleur ami du gosse, c'est du vu et revu (un cliché) ! L'acteur principal est quant à lui aussi agaçant que son personnage ! Les suites ont l'air aussi mauvaises que Buddy Star des Paniers étant donné que l'histoire est quasiment la même (pour moi ça c'est pas des suites, c'est plutôt une succession de petits reboots inutiles). Reste regardable pour les moins de 10 ans (et encore, même moi à 6 ans, je n'aurais pas aimé).
Mais comment certaines personnes ont pus lui mettre 5/5 et donc dire indirectement que c'est un chef-d'œuvre ??? Et comment a-t-il fait pour sortir au cinéma et non en DTV ??? C'est pas un film que l'on regarde dans une salle obscur ça, pour moi ça ressemble plus à un téléfilm que l'on visionne un dimanche pluvieux pour que les enfants arrête de nous casser les pieds ! Et puis, le scénario avec le chien que devient le meilleur ami du gosse, c'est du vu et revu (un cliché) ! L'acteur principal est quant à lui aussi agaçant que son personnage ! Les suites ont l'air aussi mauvaises que Buddy Star des Paniers étant donné que l'histoire est quasiment la même (pour moi ça c'est pas des suites, c'est plutôt une succession de petits reboots inutiles). Reste regardable pour les moins de 10 ans (et encore, même moi à 6 ans, je n'aurais pas aimé).
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LE film de mon enfance , il a un peu vieilli maintenant , mais l'ours reste toujours impressionnant, il est bien réel contrairement au film 'the Revenant" . Ce n'est surement pas un chef-d'œuvre mais je le trouve bien réalise , captivant , beaux et accompagné d'une superbe musique. Le gros points noir c'est la facilité qu'ils ont a créer des peaux , des pièges , et rester longtemps sans manger....mais on oublie assez vite ces erreurs grâce a un casting sympathique et aux décors naturels. Un vieux film mais qui reste toujours un bon film.
LE film de mon enfance , il a un peu vieilli maintenant , mais l'ours reste toujours impressionnant, il est bien réel contrairement au film 'the Revenant" . Ce n'est surement pas un chef-d'œuvre mais je le trouve bien réalise , captivant , beaux et accompagné d'une superbe musique. Le gros points noir c'est la facilité qu'ils ont a créer des peaux , des pièges , et rester longtemps sans manger....mais on oublie assez vite ces erreurs grâce a un casting sympathique et aux décors naturels. Un vieux film mais qui reste toujours un bon film.
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La Vie de David Gale est vraiment un excellent film , maitrisé et redoutablement efficace , un film qui ma agréablement surprit . La réalisation et la mise en scène avec les flash back est très efficace et donne beaucoup de rythme et d'ampleur au film . Un scénario très bien travaillé , très intéressant a suivre et très soigne au niveau de l'écriture et surtout une intrigue qui est vraiment captivant du début jusqu'à la fin , on est vraiment scotché par cette intrigue : remplit de suspense et de rebondissement et aussi de mystère , mystère qui sera dévoile au dernier minute du film . Donc un twist final qui est vraiment énorme et inattendu , et très surprenant qui ma bien bluffé et surprit . Bravo . L'interprétation des acteurs qui est juste parfaite , vraiment les acteurs sont très convaincant dans leur rôle . Les personnages sont recherché et bien approfondit . La BO du film est vraiment énorme et ajoute de a l'ambiance qui est déjà excellent . Rythmé , intense , scénario captivant et bien ficelé , acteurs vraiment excellent : voila ce qui vous attend dans ce film qui est vraiment magistrale . A voir absolument . Un pur chef oeuvre .
La Vie de David Gale est vraiment un excellent film , maitrisé et redoutablement efficace , un film qui ma agréablement surprit . La réalisation et la mise en scène avec les flash back est très efficace et donne beaucoup de rythme et d'ampleur au film . Un scénario très bien travaillé , très intéressant a suivre et très soigne au niveau de l'écriture et surtout une intrigue qui est vraiment captivant du début jusqu'à la fin , on est vraiment scotché par cette intrigue : remplit de suspense et de rebondissement et aussi de mystère , mystère qui sera dévoile au dernier minute du film . Donc un twist final qui est vraiment énorme et inattendu , et très surprenant qui ma bien bluffé et surprit . Bravo . L'interprétation des acteurs qui est juste parfaite , vraiment les acteurs sont très convaincant dans leur rôle . Les personnages sont recherché et bien approfondit . La BO du film est vraiment énorme et ajoute de a l'ambiance qui est déjà excellent . Rythmé , intense , scénario captivant et bien ficelé , acteurs vraiment excellent : voila ce qui vous attend dans ce film qui est vraiment magistrale . A voir absolument . Un pur chef oeuvre .
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On ne comprend que guère l'espace et le temps dans ce grand récit un peu foutoir. Ce qui est dit est bien plus intéressant que ce qui nous est donné à voir. Les Soft focus, l'alternance couleur/Noir&Blanc est une déconvenue alambiquée sur l'histoire qui rétrograde ce film, qui fini grandement par lasser. La première heure contient les meilleures intentions.
On ne comprend que guère l'espace et le temps dans ce grand récit un peu foutoir. Ce qui est dit est bien plus intéressant que ce qui nous est donné à voir. Les Soft focus, l'alternance couleur/Noir&Blanc est une déconvenue alambiquée sur l'histoire qui rétrograde ce film, qui fini grandement par lasser. La première heure contient les meilleures intentions.
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Film rare. Les acteurs sont formidables, ils jouent juste, surtout les acteurs principaux. L'histoire est touchante, émouvante pour qui a un cœur, bien filmé, bons plans et musique en accord.
Film rare. Les acteurs sont formidables, ils jouent juste, surtout les acteurs principaux. L'histoire est touchante, émouvante pour qui a un cœur, bien filmé, bons plans et musique en accord.
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Je ne m'en souviens plus mais j'ai la vague impression que c'était le vide astral et chiant en plus, et vous, vous en souvenez-vous ?
Je ne m'en souviens plus mais j'ai la vague impression que c'était le vide astral et chiant en plus, et vous, vous en souvenez-vous ?
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un tres mauvais documentaire pro cannabis, qui fait passé en dérision une drogue. La betise american d'un état qui commercialise de la drogue comme médicament, et s'enrichissement au passage. Une documentaire creux, fade, qui ne mérite meme pas le detour.
un tres mauvais documentaire pro cannabis, qui fait passé en dérision une drogue. La betise american d'un état qui commercialise de la drogue comme médicament, et s'enrichissement au passage. Une documentaire creux, fade, qui ne mérite meme pas le detour.
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Eli Roth est un réalisateur intéressant et redoutable d'efficacité. Bruce Willis fidèle à lui-même, le film ne révolutionne pas le genre mais il a son charme et pose de bonnes questions.
Eli Roth est un réalisateur intéressant et redoutable d'efficacité. Bruce Willis fidèle à lui-même, le film ne révolutionne pas le genre mais il a son charme et pose de bonnes questions.
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Starship Troopers continue sa descente aux enfers, ce troisième épisode nous livre une histoire complètement tordue et surtout des effets spéciaux qui frôlent le nanar.
Starship Troopers continue sa descente aux enfers, ce troisième épisode nous livre une histoire complètement tordue et surtout des effets spéciaux qui frôlent le nanar.
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Le récit d'une fable où le sort d'un éléphant, l'hélicoptère ici, peut vous prendre toute une vie. Malgré quelques maladresses, le film tient ses promesses : décrire l'Amérique des migrants. A voir.
Le récit d'une fable où le sort d'un éléphant, l'hélicoptère ici, peut vous prendre toute une vie. Malgré quelques maladresses, le film tient ses promesses : décrire l'Amérique des migrants. A voir.
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(...) chaque petite lueur d’espoir engendrée par une séquence intéressante sera soufflée sans sommation par un dégueulis de haine à peine masqué et malvenu. Critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/critiques/critique-drame/critique-les-hommes-libres/
(...) chaque petite lueur d’espoir engendrée par une séquence intéressante sera soufflée sans sommation par un dégueulis de haine à peine masqué et malvenu. Critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/critiques/critique-drame/critique-les-hommes-libres/
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Le dernier Marvel exploite la franchise Spider-Man avec lourdeur : scénario inconsistant, effets spéciaux ringards, musique mièvre ou assourdissante, teen movie ridicule, jeunes acteurs cabotins... Seul Tom Holland tire son épingle du jeu dans ce pétard mouillé vendu comme le blockbuster de l'été.
Le dernier Marvel exploite la franchise Spider-Man avec lourdeur : scénario inconsistant, effets spéciaux ringards, musique mièvre ou assourdissante, teen movie ridicule, jeunes acteurs cabotins... Seul Tom Holland tire son épingle du jeu dans ce pétard mouillé vendu comme le blockbuster de l'été.
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Mon dieu ils n'ont pu s'empêcher de venir souiller notre capitale (et ont eu le culot de mal placer Lyon sur la carte de France). Restera certaines séquences de street dance passables pour nous sortir de cette niaiserie malvenue.
Mon dieu ils n'ont pu s'empêcher de venir souiller notre capitale (et ont eu le culot de mal placer Lyon sur la carte de France). Restera certaines séquences de street dance passables pour nous sortir de cette niaiserie malvenue.
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Alors oui on est loin du "Parrain" très loin de "Apocalypse Now" mais on le regarde en partie parce que c'est Coppola à la réalisation. Sans s'attendre à un chef d'oeuvre, on en reste pas moins conquit par ce film. L’esthétique de Poe (Notamment sa nouvelle "la Maison Usher") mêlé à la mélancolie Baudelerienne nous fait oublié le pas pataud et hésitant de Val Kilmer miné par quelques kilos en trop ( Bien que sont jeu d'acteur reste tout a fait correct). Coppola revient à une atmosphère plus gothique comme l'était sa vision très personnel du Dracula de Bram Stoker, non s'en emprunté des prises de vues qui rappellerait Burton ou même Lars Von Trier. Sans prendre de risque dans le scénario qui laisse une grande interprétation au spectateur, Coppola change une nouvelle fois de route après les très étrange "L'Homme sans Age" et "Tetro". Bref sa fonctionne et ce film est à découvrir.
Alors oui on est loin du "Parrain" très loin de "Apocalypse Now" mais on le regarde en partie parce que c'est Coppola à la réalisation. Sans s'attendre à un chef d'oeuvre, on en reste pas moins conquit par ce film. L’esthétique de Poe (Notamment sa nouvelle "la Maison Usher") mêlé à la mélancolie Baudelerienne nous fait oublié le pas pataud et hésitant de Val Kilmer miné par quelques kilos en trop ( Bien que sont jeu d'acteur reste tout a fait correct). Coppola revient à une atmosphère plus gothique comme l'était sa vision très personnel du Dracula de Bram Stoker, non s'en emprunté des prises de vues qui rappellerait Burton ou même Lars Von Trier. Sans prendre de risque dans le scénario qui laisse une grande interprétation au spectateur, Coppola change une nouvelle fois de route après les très étrange "L'Homme sans Age" et "Tetro". Bref sa fonctionne et ce film est à découvrir.
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Il y a maintenant presque 50ans, un petit cinéaste, quasiment oublié aujourd'hui, du nom de Fritz Lang (auteur de quelques séries B tel que "Métropolis", "M Le Maudit" ou le génial "Fury" avec Spencer Tracy) réalisa un film noir du nom de "L'Invraisemblable Vérité" au sujet assez étrangemment voisin du film ici présent. Un petit bijou noir, plein de rebondissements, non démonstratif dans son propos, volontiers ambigu et laissant pourtant un goût amer dans la bouche, même lorsque la vérité venait conforter la sanction. Alan Parker, immense cinéaste, glorieux réalisateur de films tels "Midnight Express" (et oui, les prisons turcs c'est pas géré par les mecs d'Amnesty International aù cas où vous seriez pas au courant), "Birdie" (et oui, pas facile de voler comme un aigle royal quand on est un bipéde à station verticale et qu'on a pas d'ailes), et "Angel Heart" (là pour le coup, je serais faux-cul d'en dire trop de mal), se lance dans la démonstration avec virulence avec comme cible le pas gentil système répressif américain, qui tue des innocents. Car, et là vous tenez un scoop, il paraît qu'on condamne parfois des innocents à la peine capitale. Nous voilà renseignés. Et donc, le sieur Parker réussit la double gageure de pondre un film à la fois horriblement démonstratif (au moins, un tract ne demande pas de perdre deux heures de sa vie) et parfaitement malhonnète, prenant le spectateur pour un crétin (ce qu'il est parfois, soit) en le bombardant de rebondissements et de zones d'ombre comme on le ferait de publicités et tout ça pour aboutir à des évidences. La question terrible qui subsiste à la fin de ce maelstrom est la suivante: quand il y a un message, ne faudrait-il pas qu'il y ait un propos?
Il y a maintenant presque 50ans, un petit cinéaste, quasiment oublié aujourd'hui, du nom de Fritz Lang (auteur de quelques séries B tel que "Métropolis", "M Le Maudit" ou le génial "Fury" avec Spencer Tracy) réalisa un film noir du nom de "L'Invraisemblable Vérité" au sujet assez étrangemment voisin du film ici présent. Un petit bijou noir, plein de rebondissements, non démonstratif dans son propos, volontiers ambigu et laissant pourtant un goût amer dans la bouche, même lorsque la vérité venait conforter la sanction. Alan Parker, immense cinéaste, glorieux réalisateur de films tels "Midnight Express" (et oui, les prisons turcs c'est pas géré par les mecs d'Amnesty International aù cas où vous seriez pas au courant), "Birdie" (et oui, pas facile de voler comme un aigle royal quand on est un bipéde à station verticale et qu'on a pas d'ailes), et "Angel Heart" (là pour le coup, je serais faux-cul d'en dire trop de mal), se lance dans la démonstration avec virulence avec comme cible le pas gentil système répressif américain, qui tue des innocents. Car, et là vous tenez un scoop, il paraît qu'on condamne parfois des innocents à la peine capitale. Nous voilà renseignés. Et donc, le sieur Parker réussit la double gageure de pondre un film à la fois horriblement démonstratif (au moins, un tract ne demande pas de perdre deux heures de sa vie) et parfaitement malhonnète, prenant le spectateur pour un crétin (ce qu'il est parfois, soit) en le bombardant de rebondissements et de zones d'ombre comme on le ferait de publicités et tout ça pour aboutir à des évidences. La question terrible qui subsiste à la fin de ce maelstrom est la suivante: quand il y a un message, ne faudrait-il pas qu'il y ait un propos?
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Lors de ses dernières prestations en tant qu'acteur, ben affleck nous a habitué à de mauvais choix assaisonnés d'un charisme de loukoum (mou et qui colle aux dents...). Heureusement c'est loin d'être son cas en matière de réalisation, ni de son frère qui se révèle de plus en plus incontournable (des choix de carrière judicieux et toujours interprétés de manière irréprochable). Ben nous bluffe avec une caméra douce et sensible; il aime ses acteurs et sait les mettre en valeur. Les personnages sont émouvants et le scénario suffisamment retors pour maintenir en haleine et nous surprendre. Bref, pour sa première, Ben Affleck nous réserve une excellente surprise... Reçu, et avec mention!
Lors de ses dernières prestations en tant qu'acteur, ben affleck nous a habitué à de mauvais choix assaisonnés d'un charisme de loukoum (mou et qui colle aux dents...). Heureusement c'est loin d'être son cas en matière de réalisation, ni de son frère qui se révèle de plus en plus incontournable (des choix de carrière judicieux et toujours interprétés de manière irréprochable). Ben nous bluffe avec une caméra douce et sensible; il aime ses acteurs et sait les mettre en valeur. Les personnages sont émouvants et le scénario suffisamment retors pour maintenir en haleine et nous surprendre. Bref, pour sa première, Ben Affleck nous réserve une excellente surprise... Reçu, et avec mention!
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Ce film est superbe. J'ai hésité à le regarder à cause des critiques qui parlaient du fait que tout le monde parlait anglais et tout. Mais finalement j'ai aimé. La réalisatrice a parlé du problème de la langue, elle a dit qu'ils s'étaient rongé les sangs pour savoir dans quelle langue le tourner. Cate Blanchett n'aurait eu que 2 mois pour apprendre un français impeccable sans accent, et comme dit la réalisatrice, dans ce cas tout le monde aurait critiquer son français. Je trouve cette actrice super dans ce film, donc ça me va qu'il ait fallu le tourner en anglais, il faut s'y faire et ça va (je l'ai regardé en vost). Tous les figurants dans le film, pour les actions tournées en France sont français. Les décors sont superbes. Et il y a un certain sens du détail qui me plait.
Ce film est superbe. J'ai hésité à le regarder à cause des critiques qui parlaient du fait que tout le monde parlait anglais et tout. Mais finalement j'ai aimé. La réalisatrice a parlé du problème de la langue, elle a dit qu'ils s'étaient rongé les sangs pour savoir dans quelle langue le tourner. Cate Blanchett n'aurait eu que 2 mois pour apprendre un français impeccable sans accent, et comme dit la réalisatrice, dans ce cas tout le monde aurait critiquer son français. Je trouve cette actrice super dans ce film, donc ça me va qu'il ait fallu le tourner en anglais, il faut s'y faire et ça va (je l'ai regardé en vost). Tous les figurants dans le film, pour les actions tournées en France sont français. Les décors sont superbes. Et il y a un certain sens du détail qui me plait.
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Gentil et distrayant, n'a d'ailleurs pas d'autre prétention. On sourit assez souvent même si on décroche un peu par moments. Happy end bien américaine mais quelques beaux paysages font couler le film tranquillement.
Gentil et distrayant, n'a d'ailleurs pas d'autre prétention. On sourit assez souvent même si on décroche un peu par moments. Happy end bien américaine mais quelques beaux paysages font couler le film tranquillement.
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Heureusement qu'il y a la mer, le ciel bleu et de jolies photos... Pour le reste, rien à sauver. Le sujet, certes scabreux, aurait dû, aurait pu donner lieu à une réflexion mais il n'en est rien et on s'ennuie ferme et on s'agace de tant de mièvreries et de dialogues indigents.
Heureusement qu'il y a la mer, le ciel bleu et de jolies photos... Pour le reste, rien à sauver. Le sujet, certes scabreux, aurait dû, aurait pu donner lieu à une réflexion mais il n'en est rien et on s'ennuie ferme et on s'agace de tant de mièvreries et de dialogues indigents.
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Lorsque la légende des comics américains rencontre les populaires mangas japonais on obtient quelque chose de carrément dégueulasse. Baptisé "Batman: Gotham Knight" et dirigé par Bruce W. Timm et Futoshi Higashide, ce long-métrage d'animation se caractérise au premier abord par une division en chapitres à la manière d'un Tarantino. Ne servant pas à grand chose, si ce n'est à perdre le spectateur en passant d'un Bruce Wayne pré-pubère à un autre moins ridicule, ce système montre ses limites lorsqu'il est utilisé entre de mauvaises mains. Passant d'une aventure à l'autre sans transitions dignes de ce nom, "Batman: Gotham Knight" ennuie et écœure un public souvent complété par les fans de l'homme chauve-souris. On appréciera cependant de rencontrer certains ennemis rarement vus dans les autres adaptations du genre tels que Deadshot ou Killer Croc. Mais la volonté et la talent nécessaire à la réalisation d'un bon film n'y étaient pas et le résultat s'en ressent très fortement.
Lorsque la légende des comics américains rencontre les populaires mangas japonais on obtient quelque chose de carrément dégueulasse. Baptisé "Batman: Gotham Knight" et dirigé par Bruce W. Timm et Futoshi Higashide, ce long-métrage d'animation se caractérise au premier abord par une division en chapitres à la manière d'un Tarantino. Ne servant pas à grand chose, si ce n'est à perdre le spectateur en passant d'un Bruce Wayne pré-pubère à un autre moins ridicule, ce système montre ses limites lorsqu'il est utilisé entre de mauvaises mains. Passant d'une aventure à l'autre sans transitions dignes de ce nom, "Batman: Gotham Knight" ennuie et écœure un public souvent complété par les fans de l'homme chauve-souris. On appréciera cependant de rencontrer certains ennemis rarement vus dans les autres adaptations du genre tels que Deadshot ou Killer Croc. Mais la volonté et la talent nécessaire à la réalisation d'un bon film n'y étaient pas et le résultat s'en ressent très fortement.
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Avec Mary (1931), Alfred Hitchcock réadapte pour le marché Allemand son thriller Anglais Murder (1930), il refera la même chose quelques années plus tard, avec L'Homme qui en savait trop (1934) en réalisant une version Américaine en 1956. Une femme est accusée d’un meurtre, convaincu qu’elle est innocente, un acteur (faisant partie du jury, va tout faire pour prouver son innocence). Si l’histoire est la même, on saluera ici, la mise en scène qui est assez particulière, notamment le montage, très intéressant et aussi, le jeu des acteurs, dont Alfred Abel qui interprète brillement son personnage. Un thriller passionnant et qui nous tient en halène jusqu’à la toute fin du film, notamment la dernière scène sous le chapiteau du cirque !
Avec Mary (1931), Alfred Hitchcock réadapte pour le marché Allemand son thriller Anglais Murder (1930), il refera la même chose quelques années plus tard, avec L'Homme qui en savait trop (1934) en réalisant une version Américaine en 1956. Une femme est accusée d’un meurtre, convaincu qu’elle est innocente, un acteur (faisant partie du jury, va tout faire pour prouver son innocence). Si l’histoire est la même, on saluera ici, la mise en scène qui est assez particulière, notamment le montage, très intéressant et aussi, le jeu des acteurs, dont Alfred Abel qui interprète brillement son personnage. Un thriller passionnant et qui nous tient en halène jusqu’à la toute fin du film, notamment la dernière scène sous le chapiteau du cirque !
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Classique dans la forme mais efficace dans la démarche : difficile pour moi de ne pas me laisser prendre par cette référence du cinéma d’investigation made in USA. Le petit plus qui fait en plus de ce film un petit régal, le casting cinq étoiles qui fait passer ce film comme du petit lait. Des classiques de ce type là, j’en redemanderais encore.
Classique dans la forme mais efficace dans la démarche : difficile pour moi de ne pas me laisser prendre par cette référence du cinéma d’investigation made in USA. Le petit plus qui fait en plus de ce film un petit régal, le casting cinq étoiles qui fait passer ce film comme du petit lait. Des classiques de ce type là, j’en redemanderais encore.
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En tant que "stand alone", ce film aurait pu péniblement décrocher 2 étoiles. Etant le successeur de "Blair witch", ce film devient une arnaque totale, une honte incarnée. On prend le public pour des pigeons! Tout ce qui faisait le charme et la réussite du premier film est passé à la trappe. Tout tout tout! Fuyez!
En tant que "stand alone", ce film aurait pu péniblement décrocher 2 étoiles. Etant le successeur de "Blair witch", ce film devient une arnaque totale, une honte incarnée. On prend le public pour des pigeons! Tout ce qui faisait le charme et la réussite du premier film est passé à la trappe. Tout tout tout! Fuyez!
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Ma grosse claque du moment. Je n'imaginais pas que ce film me passionnerait à ce point. L'intérêt principal réside dans le déroulement des explications pour le spectateur et les protagonistes. Le dénouement est une merveille d'écriture, le scénario est effectivement très bien pensé et très perturbant. Même si ce n'est pas un film précurseur concernant ce genre de retournements de situations, Incendies va bien plus loin que la plupart de ses prédécesseurs avec un final impossible à anticiper. Les acteurs sont parfaits d'un bout à l'autre et le mystère est gardé intact jusqu'à la fin émouvante.
Ma grosse claque du moment. Je n'imaginais pas que ce film me passionnerait à ce point. L'intérêt principal réside dans le déroulement des explications pour le spectateur et les protagonistes. Le dénouement est une merveille d'écriture, le scénario est effectivement très bien pensé et très perturbant. Même si ce n'est pas un film précurseur concernant ce genre de retournements de situations, Incendies va bien plus loin que la plupart de ses prédécesseurs avec un final impossible à anticiper. Les acteurs sont parfaits d'un bout à l'autre et le mystère est gardé intact jusqu'à la fin émouvante.
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Un scénario béton...avec pleins de rebondissements...un film à voir absolument
Un scénario béton...avec pleins de rebondissements...un film à voir absolument
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Le scénario semblait passionnant mais ce film est d'une pauvreté incroyable. Romain Duris joue aussi mal que Marion Cotillard dans Batman, alors que c'est un très bon acteur. Trop de questions restent en suspend et trop d'incohérence. Je ne le recommande pas.
Le scénario semblait passionnant mais ce film est d'une pauvreté incroyable. Romain Duris joue aussi mal que Marion Cotillard dans Batman, alors que c'est un très bon acteur. Trop de questions restent en suspend et trop d'incohérence. Je ne le recommande pas.
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Après avoir eu la chance de voir X JAPAN au zénith de Paris le 1er juillet 2011, il me fallait voir ce documentaire tellement attendu. Documentaire solide, remplis d'émotions, pleins de rêves et de charisme, il ne m'a fallu que très peu de temps pour me mettre dans l'ambiance du plus grand groupe de rock japonais encore en formation. Je conseille vraiment ce documentaire aux fans ainsi qu'aux curieux pour découvrir ou redécouvrir un groupe de musique vraiment extraordinaire, dont la musique a fait le tour du monde et continue de rassembler les fans au et en dehors du Japon.
Après avoir eu la chance de voir X JAPAN au zénith de Paris le 1er juillet 2011, il me fallait voir ce documentaire tellement attendu. Documentaire solide, remplis d'émotions, pleins de rêves et de charisme, il ne m'a fallu que très peu de temps pour me mettre dans l'ambiance du plus grand groupe de rock japonais encore en formation. Je conseille vraiment ce documentaire aux fans ainsi qu'aux curieux pour découvrir ou redécouvrir un groupe de musique vraiment extraordinaire, dont la musique a fait le tour du monde et continue de rassembler les fans au et en dehors du Japon.
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Jan de Bont signe un film d'action survitaminé et terriblement efficace. Le face à face Reeves / Hooper est juste mémorable.
Jan de Bont signe un film d'action survitaminé et terriblement efficace. Le face à face Reeves / Hooper est juste mémorable.
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Voici un Marvel sans scénario. Avec pour seuls intérêts les formes de Jennifer et un des méchants nommé Tatoo. Étant un inconditionnel admirateur des produits Marvel j'ai accepté de sacrifier une heure et demi de ma vie pour vous dire: ne faite pas comme moi : dormez, jouez avec vos enfants ou même faites de la méditation, Mais ne regardez pas un film qui pourrait être résumé en moins de cinq minutes. Pas d'histoire qui tient. Passez votre chemin
Voici un Marvel sans scénario. Avec pour seuls intérêts les formes de Jennifer et un des méchants nommé Tatoo. Étant un inconditionnel admirateur des produits Marvel j'ai accepté de sacrifier une heure et demi de ma vie pour vous dire: ne faite pas comme moi : dormez, jouez avec vos enfants ou même faites de la méditation, Mais ne regardez pas un film qui pourrait être résumé en moins de cinq minutes. Pas d'histoire qui tient. Passez votre chemin
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Les acteurs sont très bons, l'histoire (vraie) est passionnante, ce film est plein d'émotions et ne laisse personne indifférent ! C'était impressionnant de voir les visages des gens à la sortie de la salle ! Merveilleux !
Les acteurs sont très bons, l'histoire (vraie) est passionnante, ce film est plein d'émotions et ne laisse personne indifférent ! C'était impressionnant de voir les visages des gens à la sortie de la salle ! Merveilleux !
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Le duo ne fonctionne pas, le rôle sérieux convenant peu à Will Smith et son fils ne procurant pas d'émotions (la manière de filmer est peut être aussi à incriminer). De plus le scénario est aussi peu crédible qu'il est palpitant. Seules quelques scènes impressionnantes sont à mettre au crédit de ce film de science fiction qui m'a bien déçu.
Le duo ne fonctionne pas, le rôle sérieux convenant peu à Will Smith et son fils ne procurant pas d'émotions (la manière de filmer est peut être aussi à incriminer). De plus le scénario est aussi peu crédible qu'il est palpitant. Seules quelques scènes impressionnantes sont à mettre au crédit de ce film de science fiction qui m'a bien déçu.
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Une belle reconstitution des derniers mois des Indes britanniques mêlant ingénieusement petite et grande histoire. Seul vrai défaut : c'est trop court ! Une mini-série serait bienvenue. Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
Une belle reconstitution des derniers mois des Indes britanniques mêlant ingénieusement petite et grande histoire. Seul vrai défaut : c'est trop court ! Une mini-série serait bienvenue. Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
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Ce film c'est une bombe! Déja que je suis un grand fan de boxe, je ne connaissaitpas bien le grand muhammad ali mais ce film me la fait découvrir et raconte très bien sa vie. Magnifique match a la fin.
Ce film c'est une bombe! Déja que je suis un grand fan de boxe, je ne connaissaitpas bien le grand muhammad ali mais ce film me la fait découvrir et raconte très bien sa vie. Magnifique match a la fin.
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C'est bien gentil de vouloir faire un film sur l'amour ,theme ultra classique au cinéma s'il en est ,mais il faut quand meme veiller a ne pas trop charger la barque car a force de voir degouliner la guimauve sentimentale ,celle ci finit par ecoeurer qu'elle ne captive.Etre le scenariste des dernieres bonnes comedies Anglaises est une chose ,ca aide notament a reunir un casting " musclé " mais realisateur n'en deplaise a Mr Curtis c'est un vrai metier !!! L'idee de melanger toutes ces histoires aurait pu marcher a condition que celles ci soient un tantinet originales et attrayantes alors que la on nous sert des bluettes usées jusqu'a la corde dont on devine la fin des les 1eres images.Reste le talent de comediens mal dirigés essayant de surnager dans cette ocean de mievrerie que la bande son (facon juke box) agacante n'arrange pas.Meme l'humour British ,ingredient majeur des precedents succes du scenariste ,a bien du mal a exister au milieu de toute cette guimauve.Trop c'est trop !!!!
C'est bien gentil de vouloir faire un film sur l'amour ,theme ultra classique au cinéma s'il en est ,mais il faut quand meme veiller a ne pas trop charger la barque car a force de voir degouliner la guimauve sentimentale ,celle ci finit par ecoeurer qu'elle ne captive.Etre le scenariste des dernieres bonnes comedies Anglaises est une chose ,ca aide notament a reunir un casting " musclé " mais realisateur n'en deplaise a Mr Curtis c'est un vrai metier !!! L'idee de melanger toutes ces histoires aurait pu marcher a condition que celles ci soient un tantinet originales et attrayantes alors que la on nous sert des bluettes usées jusqu'a la corde dont on devine la fin des les 1eres images.Reste le talent de comediens mal dirigés essayant de surnager dans cette ocean de mievrerie que la bande son (facon juke box) agacante n'arrange pas.Meme l'humour British ,ingredient majeur des precedents succes du scenariste ,a bien du mal a exister au milieu de toute cette guimauve.Trop c'est trop !!!!
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Plus historique et moins romantique que Robin version Kevin Costner, ce film propose une relecture du mythe et se permet quelques libertés en remontant à ses origines. S'il n'a rien de comparable avec les versions précédentes, c'est un bon film d'époque qui préfère la vraisemblance historique à l'héroïsme, même si l'on a tout de même droit à nos scènes de bravoure et à de belles batailles. La réalisation est magistrale et le scénario passionnant. Russell Crowe porte bien le costume même si l'on ne peut s'empêcher de se demander si l'on assiste à un "Gladiator des Bois"... Le reste de la distribution est exemplaire à l'image d'une Cate Blanchett parfaite en Marianne rebelle.
Plus historique et moins romantique que Robin version Kevin Costner, ce film propose une relecture du mythe et se permet quelques libertés en remontant à ses origines. S'il n'a rien de comparable avec les versions précédentes, c'est un bon film d'époque qui préfère la vraisemblance historique à l'héroïsme, même si l'on a tout de même droit à nos scènes de bravoure et à de belles batailles. La réalisation est magistrale et le scénario passionnant. Russell Crowe porte bien le costume même si l'on ne peut s'empêcher de se demander si l'on assiste à un "Gladiator des Bois"... Le reste de la distribution est exemplaire à l'image d'une Cate Blanchett parfaite en Marianne rebelle.
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J’ai l’impression de me répéter très souvent mais, encore une suite, avec ce que ça comporte de sous entendu. C’est donc : bien moins bien, fade, peu inspiré, ça vogue sur la « réussite » du 1er opus, on repose tout sur la popularité du héros de la BD, et on rajoute des stars pour que les fans accourent, et ça marche toujours… Non à part ça il n’y a pas grand-chose à dire, ce n’est qu’une banale suite comme il en existe des milliers, avec le même concept et les mêmes erreurs. Pour moi la trame est éculée mais visiblement pas assez. J’avoue que le synopsis avait le mérite d’étonner, d’oser, mettre Garfield en prince ça se pose pas mal, par contre le subterfuge du remplacement… Pas grand-chose à dire sur le reste, ça va de nul (l’humour) à potable, même si les images de synthèse sont bien faites, mais il y en a trop et ça m’a gavé (comme dans le 1er). Par contre là où je mets 1 au lieu de 0.5 c’est le casting, même s’il est là pour essayer de combler le reste, ça pourrait presque marcher. Entre Jennifer Love Hewitt qui rempile (mais qu’on voit peu) et les voix de Bill Murray, Tim Curry, Bob Hoskins, Vinnie Jones, Rhys Ifans, Osbourne… ça fait pâlir notre Cauet et Viriginie Efira locaux. Surtout que ces voix sont bien gérées. J’avoue que ça fait très faible comme raison, mais bas et faible sont ce qui résument le mieux ce film.
J’ai l’impression de me répéter très souvent mais, encore une suite, avec ce que ça comporte de sous entendu. C’est donc : bien moins bien, fade, peu inspiré, ça vogue sur la « réussite » du 1er opus, on repose tout sur la popularité du héros de la BD, et on rajoute des stars pour que les fans accourent, et ça marche toujours… Non à part ça il n’y a pas grand-chose à dire, ce n’est qu’une banale suite comme il en existe des milliers, avec le même concept et les mêmes erreurs. Pour moi la trame est éculée mais visiblement pas assez. J’avoue que le synopsis avait le mérite d’étonner, d’oser, mettre Garfield en prince ça se pose pas mal, par contre le subterfuge du remplacement… Pas grand-chose à dire sur le reste, ça va de nul (l’humour) à potable, même si les images de synthèse sont bien faites, mais il y en a trop et ça m’a gavé (comme dans le 1er). Par contre là où je mets 1 au lieu de 0.5 c’est le casting, même s’il est là pour essayer de combler le reste, ça pourrait presque marcher. Entre Jennifer Love Hewitt qui rempile (mais qu’on voit peu) et les voix de Bill Murray, Tim Curry, Bob Hoskins, Vinnie Jones, Rhys Ifans, Osbourne… ça fait pâlir notre Cauet et Viriginie Efira locaux. Surtout que ces voix sont bien gérées. J’avoue que ça fait très faible comme raison, mais bas et faible sont ce qui résument le mieux ce film.
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Nous sommes 3 à avoir beaucoup apprécié ce film. Action réaction du début à la fin. Plutôt bien ficelé même si l'on se doute de certaines choses.
Nous sommes 3 à avoir beaucoup apprécié ce film. Action réaction du début à la fin. Plutôt bien ficelé même si l'on se doute de certaines choses.
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Cécile de France crève l’écran en Marquise de la Pommeray, justicière calculatrice et perfide des offenses faites aux femmes. Et comme avec son patronyme, on l’imagine volontiers descendante de la Couronne du même nom, on la perçoit faite pour le rôle (bien que n’ayant aucun sang bleu). Alice Isaaz en Mademoiselle de Joncquières n’arrive en scène que tardivement et discrètement. Ce n’est pas elle qu’on retiendra le plus, non pas qu’elle démérite (loin de là), mais c’est le scénario qui bien que lui ayant confié le rôle titre ne lui laisse finalement qu’une place somme toute en retrait. Autre personnage intéressant et qui marque (une corde plus à son arc) : Laure Calamy dans le rôle de la grande amie de la Marquise, ce qui n’en fait pas pour autant la complice de ses frasques. Une place centrale d’observatrice dont les commentaires, mises en garde, témoignages et réflexions vont guider le spectateur. Et bien sûr Edouard Baer, tout à fait crédible et sensible en Marquis libertin. Mais ce film est avant tout une histoire de femmes, menée par des femmes. Le scénario est inspiré de Diderot mais il aurait pu être écrit par Eric Rohmer. Un film d’époque, avec des dialogues très châtiés et un style narratif très littéraire, dont le fond de l’histoire traverse… toutes les époques.
Cécile de France crève l’écran en Marquise de la Pommeray, justicière calculatrice et perfide des offenses faites aux femmes. Et comme avec son patronyme, on l’imagine volontiers descendante de la Couronne du même nom, on la perçoit faite pour le rôle (bien que n’ayant aucun sang bleu). Alice Isaaz en Mademoiselle de Joncquières n’arrive en scène que tardivement et discrètement. Ce n’est pas elle qu’on retiendra le plus, non pas qu’elle démérite (loin de là), mais c’est le scénario qui bien que lui ayant confié le rôle titre ne lui laisse finalement qu’une place somme toute en retrait. Autre personnage intéressant et qui marque (une corde plus à son arc) : Laure Calamy dans le rôle de la grande amie de la Marquise, ce qui n’en fait pas pour autant la complice de ses frasques. Une place centrale d’observatrice dont les commentaires, mises en garde, témoignages et réflexions vont guider le spectateur. Et bien sûr Edouard Baer, tout à fait crédible et sensible en Marquis libertin. Mais ce film est avant tout une histoire de femmes, menée par des femmes. Le scénario est inspiré de Diderot mais il aurait pu être écrit par Eric Rohmer. Un film d’époque, avec des dialogues très châtiés et un style narratif très littéraire, dont le fond de l’histoire traverse… toutes les époques.
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Avoir un cesar n'est pas forcement une garantie solide et Insoupçonnable porte assez mal son nom. On peut incriminer un scénario pas crédible, ou une mise en scène ankylosé détruisant tout suspense ou crédibilité. Mais son gros problème c'est son casting et sa direction d'acteur Berling ,pourtant bon acteur, joue faux et Laura Smet est une catastrophe. Chaque scènes ou elle apparait se transforme en naufrage . Le seul qui s'en sort c'est Grondin parfait en écorche vif.
Avoir un cesar n'est pas forcement une garantie solide et Insoupçonnable porte assez mal son nom. On peut incriminer un scénario pas crédible, ou une mise en scène ankylosé détruisant tout suspense ou crédibilité. Mais son gros problème c'est son casting et sa direction d'acteur Berling ,pourtant bon acteur, joue faux et Laura Smet est une catastrophe. Chaque scènes ou elle apparait se transforme en naufrage . Le seul qui s'en sort c'est Grondin parfait en écorche vif.
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Pourquoi dépenser autant d'argent pour une merdasse comme ça , un sous Burton avec références à Freaks! on aurait pu aider à la création de quelques petits films intéressants au lieu de financer cette mauvaise adaptation , aux dialogues aventureux , avec une direction d'acteurs digne d'un hamster , et le gros Gégé qui n'a pas été assez nourri , ça aurait pu être " la vache qui rit ".
Pourquoi dépenser autant d'argent pour une merdasse comme ça , un sous Burton avec références à Freaks! on aurait pu aider à la création de quelques petits films intéressants au lieu de financer cette mauvaise adaptation , aux dialogues aventureux , avec une direction d'acteurs digne d'un hamster , et le gros Gégé qui n'a pas été assez nourri , ça aurait pu être " la vache qui rit ".
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C est drôle, follement drôle car les personnages sont encore plus pathétiques que dans le premier épisode. Jean Claude Dus accumule les déceptions sentimentales, Bernard et Nathalie sont odieux en petits bourgeois, Popeye en dragueur minable ... Comme le père Noel la plupart des dialogues sont passés dans l un inconscient collectif !
C est drôle, follement drôle car les personnages sont encore plus pathétiques que dans le premier épisode. Jean Claude Dus accumule les déceptions sentimentales, Bernard et Nathalie sont odieux en petits bourgeois, Popeye en dragueur minable ... Comme le père Noel la plupart des dialogues sont passés dans l un inconscient collectif !
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Après la Une de "Minute", je ne peux que recommander d'aller voir ce film. Un film comme on devrait en faire plus souvent.
Après la Une de "Minute", je ne peux que recommander d'aller voir ce film. Un film comme on devrait en faire plus souvent.
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Je pense que tout a été dit... Le titre du film a sûrement été choisi comme ça parce que ça sonnait bien, ils ne connaissent même pas le jeu, c'est un hasard en fait (comme quoi il ne fait pas bien les choses XD). Bref, fiche vide, aucune critique presse, on se demande bien pourquoi. Cessez donc de vouloir faire des "films" fantastiques si c'est pour un tel résultat. Même des web-séries, et françaises de surcroît, sont nettement plus intéressantes et les effets spéciaux d'une qualité de loin supérieure avec un budget quasi inexistant. Bref, si vous collectionnez les nanards, ce film est fait pour vous !!! Dommage qu'on ne puisse pas mettre 0 en passant.
Je pense que tout a été dit... Le titre du film a sûrement été choisi comme ça parce que ça sonnait bien, ils ne connaissent même pas le jeu, c'est un hasard en fait (comme quoi il ne fait pas bien les choses XD). Bref, fiche vide, aucune critique presse, on se demande bien pourquoi. Cessez donc de vouloir faire des "films" fantastiques si c'est pour un tel résultat. Même des web-séries, et françaises de surcroît, sont nettement plus intéressantes et les effets spéciaux d'une qualité de loin supérieure avec un budget quasi inexistant. Bref, si vous collectionnez les nanards, ce film est fait pour vous !!! Dommage qu'on ne puisse pas mettre 0 en passant.
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Je mets en garde quiconque souffrant de vertige ou peur du vide en tout genre : ce film risque de vous donner la nausée... Et oui. Comment créer le "rien" à partir du néant, rares sont ceux qui y parviennent, mais là on est en plein dedans. Le premier cercle ou une organisation soit disant mafieuse amateuriste et affligeante, mené par un Jean Reno qui lui même n'y croit pas une seconde. Je me répète mais il n'y a vraiment rien dans ce film, même pas de quoi faire une critique, donc on brode. La vraie bonne idée fut de créer le couple Gaspard Ulliel / Vahina Giocante, le plus bel acteur avec la plus belle actrice française (selon moi). Dommage que l'on ai rien eu de mieux à leur offrir. Finalement j'ai quand même un point positif : seulement une heure et demie de souffrance, ouf! Ça aurait pu être pire en fait... Un 0,5 bien mérité.
Je mets en garde quiconque souffrant de vertige ou peur du vide en tout genre : ce film risque de vous donner la nausée... Et oui. Comment créer le "rien" à partir du néant, rares sont ceux qui y parviennent, mais là on est en plein dedans. Le premier cercle ou une organisation soit disant mafieuse amateuriste et affligeante, mené par un Jean Reno qui lui même n'y croit pas une seconde. Je me répète mais il n'y a vraiment rien dans ce film, même pas de quoi faire une critique, donc on brode. La vraie bonne idée fut de créer le couple Gaspard Ulliel / Vahina Giocante, le plus bel acteur avec la plus belle actrice française (selon moi). Dommage que l'on ai rien eu de mieux à leur offrir. Finalement j'ai quand même un point positif : seulement une heure et demie de souffrance, ouf! Ça aurait pu être pire en fait... Un 0,5 bien mérité.
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Le plus léger des films sur la souffrance mentale, raconté savoureusement par Iggy Pop. Sa rencontre avec Vincent joué par Michel Houellebecq est surréealiste.
Le plus léger des films sur la souffrance mentale, raconté savoureusement par Iggy Pop. Sa rencontre avec Vincent joué par Michel Houellebecq est surréealiste.
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Je vais très rarement voir des films français. Par contre, je suis de près la carrière du comédien Gaspard Ulliel depuis JACQUOU LE CROQUANT. Récemment, je n'avais pas pu aller voir UN BARRAGE CONTRE LE PACIFIQUE, après des critiques castastrophiques, il n'était pas sorti dans mon parc habituel de salles de cinéma à Lyon. Même si LE PREMIER CERCLE, gros polar d'action, est nettement plus attirant, sa sortie est plombée par celles de MARLEY ET MOI et WATCHMEN. La plupart des médias ne signalent pas sa sortie cette semaine (Ils ne l'ont donc pas vu ?) et pour le peu, les critiques sont detestables. Encore un film, malgré un casting éclatant, qui va vite disparaître des écrans. Après un début en trombe, le film est victime de gros problèmes de rythme durant lesquelles on s'ennuie. Les quelques scènes d'action sont superbes mais trop rares ! Et dire qu'on présente le PREMIER CERCLE comme un grand film d'action ... A des moments, on a envie d'une bonne bagarre, mais cela n'arrive pas. Les paysages de la côte d'Azur et de Nice sont réussis, les couleurs des images sont assez belles. Gaspard Ulliel, en cuir et santiags, a pris encore de l'épaisseur physique. Son jeu est plus viril, charismatique et imposant, alors qu'au début de sa carrière, il avait un physique androgyne que je n'aimais pas trop. Ses scènes avec Jean Reno sont intenses mais pas assez approfondies. La fin est inattendue et plutôt émouvante. J'ai passé un bon moment mais tout cela aurait quand même encore mieux....
Je vais très rarement voir des films français. Par contre, je suis de près la carrière du comédien Gaspard Ulliel depuis JACQUOU LE CROQUANT. Récemment, je n'avais pas pu aller voir UN BARRAGE CONTRE LE PACIFIQUE, après des critiques castastrophiques, il n'était pas sorti dans mon parc habituel de salles de cinéma à Lyon. Même si LE PREMIER CERCLE, gros polar d'action, est nettement plus attirant, sa sortie est plombée par celles de MARLEY ET MOI et WATCHMEN. La plupart des médias ne signalent pas sa sortie cette semaine (Ils ne l'ont donc pas vu ?) et pour le peu, les critiques sont detestables. Encore un film, malgré un casting éclatant, qui va vite disparaître des écrans. Après un début en trombe, le film est victime de gros problèmes de rythme durant lesquelles on s'ennuie. Les quelques scènes d'action sont superbes mais trop rares ! Et dire qu'on présente le PREMIER CERCLE comme un grand film d'action ... A des moments, on a envie d'une bonne bagarre, mais cela n'arrive pas. Les paysages de la côte d'Azur et de Nice sont réussis, les couleurs des images sont assez belles. Gaspard Ulliel, en cuir et santiags, a pris encore de l'épaisseur physique. Son jeu est plus viril, charismatique et imposant, alors qu'au début de sa carrière, il avait un physique androgyne que je n'aimais pas trop. Ses scènes avec Jean Reno sont intenses mais pas assez approfondies. La fin est inattendue et plutôt émouvante. J'ai passé un bon moment mais tout cela aurait quand même encore mieux....
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Etait-on en droit d'espérer un réveil de Besson ? Vraisemblablement non aux vues de ce nouveau spectacle bien affligeant que nous propose le ventripotent Luc. Cet "Arthur et les Minimoys" n'est qu'une accumulation bien navrante de poncifs féeriques déjà maintes fois utilisés, reliés par un scénario indigent à la limite de la stupidité. Alors après – c'est sûr – c'est plutôt beau, mais quel intérêt quand c'est au service d'un spectacle aussi misérable ? Il y en aura toujours pour nous dire que les p'tites têtes blondes seront aux anges, - pourquoi pas – mais une chose reste sure, les grands enfants que nous sommes risquent eux de perdre leur temps et leur argent.
Etait-on en droit d'espérer un réveil de Besson ? Vraisemblablement non aux vues de ce nouveau spectacle bien affligeant que nous propose le ventripotent Luc. Cet "Arthur et les Minimoys" n'est qu'une accumulation bien navrante de poncifs féeriques déjà maintes fois utilisés, reliés par un scénario indigent à la limite de la stupidité. Alors après – c'est sûr – c'est plutôt beau, mais quel intérêt quand c'est au service d'un spectacle aussi misérable ? Il y en aura toujours pour nous dire que les p'tites têtes blondes seront aux anges, - pourquoi pas – mais une chose reste sure, les grands enfants que nous sommes risquent eux de perdre leur temps et leur argent.
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Complètement partial.... Oliver Stones a pris ce sujet extremement complexe à la légère. Mis a part ce détail, bon montage, bon image.
Complètement partial.... Oliver Stones a pris ce sujet extremement complexe à la légère. Mis a part ce détail, bon montage, bon image.
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Film poétique sur les errances de marginaux...réalisation magnifique.
Film poétique sur les errances de marginaux...réalisation magnifique.
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Un des meilleurs films qu'ait jamais inspirès le jeu, magistralement mis en scène par Karel Reisz et superbement interprètè par James Caan! Ce dernier incarne avec brio un professeur de littèrature dans une universitè new-yorkaise, passionnè par le jeu! La malchance s'acharnant sur l'acteur de "Rollerball" pendant plusieurs heures, il termine une partie avec une dette affolante, dont son seul salaire ne peut lui permettre d'espèrer de se libèrer! De là l'argument de cette descente aux enfers avec Paul Sorvino, Burt Young et la belle Lauren Hutton dans les seconds plans! Reisz n'ètait pas un amuseur public, un gugusse s'ingèniant à amuser la galerie mais plutôt l'un des brillants cinèastes du Free Cinèma anglais avec quelques oeuvres importantes à mettre à son actif telles que "Saturday Night and Sunday Morning" et "French Lieutenant's Woman". "The Gambler" fait parti de ses plus belles rèussites et gagnerait à être redècouvert! Ne serait-ce pour la prestation formidable de James Caan...
Un des meilleurs films qu'ait jamais inspirès le jeu, magistralement mis en scène par Karel Reisz et superbement interprètè par James Caan! Ce dernier incarne avec brio un professeur de littèrature dans une universitè new-yorkaise, passionnè par le jeu! La malchance s'acharnant sur l'acteur de "Rollerball" pendant plusieurs heures, il termine une partie avec une dette affolante, dont son seul salaire ne peut lui permettre d'espèrer de se libèrer! De là l'argument de cette descente aux enfers avec Paul Sorvino, Burt Young et la belle Lauren Hutton dans les seconds plans! Reisz n'ètait pas un amuseur public, un gugusse s'ingèniant à amuser la galerie mais plutôt l'un des brillants cinèastes du Free Cinèma anglais avec quelques oeuvres importantes à mettre à son actif telles que "Saturday Night and Sunday Morning" et "French Lieutenant's Woman". "The Gambler" fait parti de ses plus belles rèussites et gagnerait à être redècouvert! Ne serait-ce pour la prestation formidable de James Caan...
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je pense qu'Annaud n'est pas fait pour diriger des comédies. Je trouve que le film n'est même pas drôle et que les acteurs en rajoutent beaucoup. Je préfère ce réalisateur dans des sujets plus sérieux ( LA GUERRE DU FEU, DEUX FRERES, STALINGRAD OU L'OURS ), et j'espère qu'il fera mieux pour son prochain long métrage même si pense que cela pourra pas être pire.
je pense qu'Annaud n'est pas fait pour diriger des comédies. Je trouve que le film n'est même pas drôle et que les acteurs en rajoutent beaucoup. Je préfère ce réalisateur dans des sujets plus sérieux ( LA GUERRE DU FEU, DEUX FRERES, STALINGRAD OU L'OURS ), et j'espère qu'il fera mieux pour son prochain long métrage même si pense que cela pourra pas être pire.
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Un concept original mais des gags lourds qui ne font jamais mouches. En gros, "Le Professeur Foldingue" est une comédie plus exaspérante que marrante.
Un concept original mais des gags lourds qui ne font jamais mouches. En gros, "Le Professeur Foldingue" est une comédie plus exaspérante que marrante.
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Pourquoi un tel chef d'oeuvre n'a pas connu un succès à la hauteur de la qualité de ce long métrage ? Une histoire vraie forte intéressante, éprouvante, et pleine d'émotions, avec une mise en scène qui vous tient en haleine jusqu'à la fin du film et des acteurs qui sont tout simplement impressionnants ! Je retiendrais ces noms.
Pourquoi un tel chef d'oeuvre n'a pas connu un succès à la hauteur de la qualité de ce long métrage ? Une histoire vraie forte intéressante, éprouvante, et pleine d'émotions, avec une mise en scène qui vous tient en haleine jusqu'à la fin du film et des acteurs qui sont tout simplement impressionnants ! Je retiendrais ces noms.
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Si le début suscite notre intérêt, la suite ne tarde pas à rejoindre le panthéon des scénarios complètement téléphonés qui s'embourbent dans le mielleux des bons sentiments moraux et pudibonds. L'histoire patine beaucoup trop, handicapée par un script boiteux qui n'arrive pas à lui donner le moindre souffle, la moindre énergie. The Invisible est une débâcle sans nom, sonnant désespérément creux et qui vient rejoindre à l'aise les ratages du genre mais qui devrait néanmoins susciter l'intérêt de tous ceux qui n'ont pas vu de films auparavant.
Si le début suscite notre intérêt, la suite ne tarde pas à rejoindre le panthéon des scénarios complètement téléphonés qui s'embourbent dans le mielleux des bons sentiments moraux et pudibonds. L'histoire patine beaucoup trop, handicapée par un script boiteux qui n'arrive pas à lui donner le moindre souffle, la moindre énergie. The Invisible est une débâcle sans nom, sonnant désespérément creux et qui vient rejoindre à l'aise les ratages du genre mais qui devrait néanmoins susciter l'intérêt de tous ceux qui n'ont pas vu de films auparavant.
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Peter Jackson arrive encore à nous séduire dans cet épisode " Le Hobbit : un voyage innatendue ", 60 ans en arrière dans cette nouvelle trilogie pré-Seigneurs des Anneaux. Des décors et des images sublimes, de l'action époustouflant et une touche d'humour. Ces nains sont très attachants ainsi que Bilbot, Gandhalf et Gollum ! J'attends la suite avec impatience !
Peter Jackson arrive encore à nous séduire dans cet épisode " Le Hobbit : un voyage innatendue ", 60 ans en arrière dans cette nouvelle trilogie pré-Seigneurs des Anneaux. Des décors et des images sublimes, de l'action époustouflant et une touche d'humour. Ces nains sont très attachants ainsi que Bilbot, Gandhalf et Gollum ! J'attends la suite avec impatience !
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Minable. L'acteur principal (frère du réalisateur) joue comme un pied. Les américains qui ont filé un prix à Sundance n'ont pas dû le remarquer mais toutes ses phrases, toutes ses intonations sont fausses. C'est lent, mal réalisé (sauf la scène de la roulette russe) et on n'a jamais peur. Un film coup de poing, ça ? Non mais vous rigolez !
Minable. L'acteur principal (frère du réalisateur) joue comme un pied. Les américains qui ont filé un prix à Sundance n'ont pas dû le remarquer mais toutes ses phrases, toutes ses intonations sont fausses. C'est lent, mal réalisé (sauf la scène de la roulette russe) et on n'a jamais peur. Un film coup de poing, ça ? Non mais vous rigolez !
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Un teen-movie ringard, pas original pour deux sous, avec une morale abêtissante, des clichés énormes, une intrigue décousue et sans grand intérêt, des interprètes très moyens (à quelques exceptions près)... Bref, une comédie sur le regard que l'on porte, des années plus tard, sur ses années lycée, censé faire tilt, et qui au final fait flop. Pas speggel pour un sous.
Un teen-movie ringard, pas original pour deux sous, avec une morale abêtissante, des clichés énormes, une intrigue décousue et sans grand intérêt, des interprètes très moyens (à quelques exceptions près)... Bref, une comédie sur le regard que l'on porte, des années plus tard, sur ses années lycée, censé faire tilt, et qui au final fait flop. Pas speggel pour un sous.
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Un téléfilm français pas honteux pour un sous ! Pas de grand moyen mais un casting très bon avec un bon jeu d'acteur et une bande son qui tient la route. Un sujet d'actualité, un cénario idéaliste mais pas pompeux, un rythme bon, une bonne réalisation... Non, ça mérite clairement un 4, très bien !
Un téléfilm français pas honteux pour un sous ! Pas de grand moyen mais un casting très bon avec un bon jeu d'acteur et une bande son qui tient la route. Un sujet d'actualité, un cénario idéaliste mais pas pompeux, un rythme bon, une bonne réalisation... Non, ça mérite clairement un 4, très bien !
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ce film est pour moi a moitié un documentaire sur la chine rurale des années 90 & les injustice que supportent les femmes de ces régions & a moitié une vraiment belle histoire qui prend son temps mais se laisse finalement regarder. bravo au directeur de la photo qui nous déniche la quelque diaporama digne des plus belles cartes postales.
ce film est pour moi a moitié un documentaire sur la chine rurale des années 90 & les injustice que supportent les femmes de ces régions & a moitié une vraiment belle histoire qui prend son temps mais se laisse finalement regarder. bravo au directeur de la photo qui nous déniche la quelque diaporama digne des plus belles cartes postales.
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Alan Clarke a réalisé Elephant produit pour la BBC de l'Irlande du Nord en 1988. Tourné à Belfast, Elephant décrit une série de 18 meurtres. Aucune explication n'est donnée au spectateur sur les mobiles des meurtres qui sont commis durant les 38 minutes du film. Les seuls protagonistes sont les meurtriers et les victimes et quelques personnages qui sont parfois montrés avec ces derniers mais qui s'échappent après le meurtre. Le film se concentre sur la violence, les meurtres perpétués dans l'anonymat le plus total et dans les lieux ordinaires comme dans une piscine publique, un parking, un entrepot, une station essence...Les assassins surprennent leurs victimes sur leurs lieux de travail ou pendant qu'ils sont en train d'accomplir les tâches du quotidien. De même que les assassins et les victimes sont généralement habillés de manière très ordinaire, portant des jeans, des pull-overs, des manteaux, des tenues de travail ou survêtements. La violence est donc banalisée, les travellings (repris par Gus Van Sant dans son Elephant) font naitre un sentiment de malaise car très longs. Le cycle de violence recommence après chaque meurtre. Alan Clarke à la manière de Gus Van Sant (mais encore plus radicalement) fait des constats, ne donne aucune explication politique, sociale ou économique. Le cycle de la violence est donc incessant (le dernier meurtre en est que plus flagrant).La violence est donc transformée en un vécu ordinaire où la distinction entre meurtriers et victimes est impossible à faire tant ils se ressemblent. Il est important de signaler que Elephant évoque la guerre en Irlande du Nord, la violence incompréhensible et inexplicable. Etonnant.
Alan Clarke a réalisé Elephant produit pour la BBC de l'Irlande du Nord en 1988. Tourné à Belfast, Elephant décrit une série de 18 meurtres. Aucune explication n'est donnée au spectateur sur les mobiles des meurtres qui sont commis durant les 38 minutes du film. Les seuls protagonistes sont les meurtriers et les victimes et quelques personnages qui sont parfois montrés avec ces derniers mais qui s'échappent après le meurtre. Le film se concentre sur la violence, les meurtres perpétués dans l'anonymat le plus total et dans les lieux ordinaires comme dans une piscine publique, un parking, un entrepot, une station essence...Les assassins surprennent leurs victimes sur leurs lieux de travail ou pendant qu'ils sont en train d'accomplir les tâches du quotidien. De même que les assassins et les victimes sont généralement habillés de manière très ordinaire, portant des jeans, des pull-overs, des manteaux, des tenues de travail ou survêtements. La violence est donc banalisée, les travellings (repris par Gus Van Sant dans son Elephant) font naitre un sentiment de malaise car très longs. Le cycle de violence recommence après chaque meurtre. Alan Clarke à la manière de Gus Van Sant (mais encore plus radicalement) fait des constats, ne donne aucune explication politique, sociale ou économique. Le cycle de la violence est donc incessant (le dernier meurtre en est que plus flagrant).La violence est donc transformée en un vécu ordinaire où la distinction entre meurtriers et victimes est impossible à faire tant ils se ressemblent. Il est important de signaler que Elephant évoque la guerre en Irlande du Nord, la violence incompréhensible et inexplicable. Etonnant.
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D'abord intriguant, cet Homme Sans Age finit par lasser et endormir. La faute au rythme, au lumières sombres. Et pourtant on dirait qu'on pourrait être fasciné par ce style mais je suis passé à côté.
D'abord intriguant, cet Homme Sans Age finit par lasser et endormir. La faute au rythme, au lumières sombres. Et pourtant on dirait qu'on pourrait être fasciné par ce style mais je suis passé à côté.
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Un film familial qui, pour une fois, ne prend pas les enfants pour des débiles mentaux. Certains y verront un film d'aventures sur la quête d'une petite fille quand d'autres y verront une reflexion sur la place de la femme et l'évolution de l'image de l'homme. A ce propos, j'ai particulièrement apprécié le personnage du chef qui est incapable d'exprimer ses sentiments et se retranche derrière une froideur et une dureté "jusqueboutiste". Le tout est magnifié par la superbe musique de Lisa Gerrard. Un bon moment de cinéma
Un film familial qui, pour une fois, ne prend pas les enfants pour des débiles mentaux. Certains y verront un film d'aventures sur la quête d'une petite fille quand d'autres y verront une reflexion sur la place de la femme et l'évolution de l'image de l'homme. A ce propos, j'ai particulièrement apprécié le personnage du chef qui est incapable d'exprimer ses sentiments et se retranche derrière une froideur et une dureté "jusqueboutiste". Le tout est magnifié par la superbe musique de Lisa Gerrard. Un bon moment de cinéma
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Film inabouti qui ne vaut que pour son actrice qui fait ce qu'elle peut pour sauver un scénario plat, bourré d'incohérences, à la limite stupide. Les histoires sont sans lien, ne sont pas traitées. Assayas s'est trop concentré sur K. Steward et pas assez sur son public. D'ailleurs, notez la déception des spectateurs lorsque les lumières s'allument. Quel gâchis!
Film inabouti qui ne vaut que pour son actrice qui fait ce qu'elle peut pour sauver un scénario plat, bourré d'incohérences, à la limite stupide. Les histoires sont sans lien, ne sont pas traitées. Assayas s'est trop concentré sur K. Steward et pas assez sur son public. D'ailleurs, notez la déception des spectateurs lorsque les lumières s'allument. Quel gâchis!
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Ce film est une vraie calamité. C'est long, c'est chiant, c'est soporifique, c'est dégoulinant et larmoyant à en donner la nausée.C'est un très mauvais mélo. Cette chose réalise tout de même l'exploit de rendre Gerard Butler énervant et Hilary Swank agaçante. Avec ce film, 2 heures, qu'est ce que c'est long!!!!!!!!! 0/5
Ce film est une vraie calamité. C'est long, c'est chiant, c'est soporifique, c'est dégoulinant et larmoyant à en donner la nausée.C'est un très mauvais mélo. Cette chose réalise tout de même l'exploit de rendre Gerard Butler énervant et Hilary Swank agaçante. Avec ce film, 2 heures, qu'est ce que c'est long!!!!!!!!! 0/5
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73
Véritable relecture du mythe de Faust placé dans une Espagne contemporaine, Fausto est un vrai film d'ambiance qui distille un parfum vénéneux et décadent et nous entraine dans une descente aux enfers quasi-iréelles à la photographie magnifique bien éloignés des cartes postales espagnoles. Le film souffre par moment d'un manque de rythme et se perd un peu en route par moment ( ce qui est peut être du au fait que 3 réalisateurs ont bossés sur le film) mais réussit toujours à captiver et à provoquer un certain malaise.
Véritable relecture du mythe de Faust placé dans une Espagne contemporaine, Fausto est un vrai film d'ambiance qui distille un parfum vénéneux et décadent et nous entraine dans une descente aux enfers quasi-iréelles à la photographie magnifique bien éloignés des cartes postales espagnoles. Le film souffre par moment d'un manque de rythme et se perd un peu en route par moment ( ce qui est peut être du au fait que 3 réalisateurs ont bossés sur le film) mais réussit toujours à captiver et à provoquer un certain malaise.
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Je suis pas très série... mais ce petit bijou visuelle et comique m'a tout de suite plût ! Une sorte de South Park moins offensant et plus porté sur le sexe. Une succession de blagues très noires, si décalé que la lourdeur ne se fait pas sentir tellement les situations sont originales et osées! Un régal qui nous change de l'humour coincé. A noté également le message didactique et juste qui se détache toujours ! Si vous ne connaissez pas les aventures de ces 5 personnes loufoques courez regarder quelques épisodes !!!
Je suis pas très série... mais ce petit bijou visuelle et comique m'a tout de suite plût ! Une sorte de South Park moins offensant et plus porté sur le sexe. Une succession de blagues très noires, si décalé que la lourdeur ne se fait pas sentir tellement les situations sont originales et osées! Un régal qui nous change de l'humour coincé. A noté également le message didactique et juste qui se détache toujours ! Si vous ne connaissez pas les aventures de ces 5 personnes loufoques courez regarder quelques épisodes !!!
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Un second volet au léger goût de réchauffé qui nous reste en travers de la gorge. Un peu de créativité n'aurait fait de mal à personne. Même les effets spéciaux paraissent fade et "Has Been".
Un second volet au léger goût de réchauffé qui nous reste en travers de la gorge. Un peu de créativité n'aurait fait de mal à personne. Même les effets spéciaux paraissent fade et "Has Been".
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C' est du grand n'importe quoi , limite ennuyeux. On dirait les feux de l' amour version francaise.
C' est du grand n'importe quoi , limite ennuyeux. On dirait les feux de l' amour version francaise.
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Rien à voir avec "L'appartement". Ce remake fait ,comme souvent avec les américain, dans la facilité en innovant aucunnement le récit ou la vision des personnages.
Rien à voir avec "L'appartement". Ce remake fait ,comme souvent avec les américain, dans la facilité en innovant aucunnement le récit ou la vision des personnages.
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un chef d'œuvre ! un film sombre une ambiance spécial, une réalisation magnifique, des scènes de combat super bien filmer, des retournement inattendue le final et super !
un chef d'œuvre ! un film sombre une ambiance spécial, une réalisation magnifique, des scènes de combat super bien filmer, des retournement inattendue le final et super !
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Dernière aventure pour l'inspecteur Harry. Enfin ! Il était temps ! Réalisé par le tâcheron Buddy van Horn, déjà "responsable" de Ça va cogner... (et futur auteur du pitoyable Pink Cadillac), le film fait totalement fi des opus précédents. Réalisation soignée mais pas excusable (on est en 1988 quand même) et acteurs bidons malgré un casting alléchant (Liam Neeson, Patricia Clarkson ou encore la courte présence d'un Jim Carrey déjà bien allumé). La déception est le mot d'ordre dans ce navet dont le scénario tient du slasher éculé et dont l'ambiance et les meurtres deviennent vite cartoonesques. Et l'inspecteur Harry dans tout ça ? Un peu bougon au début du film, il finit par devenir rapidement un don juan sympathique qui fait son footing en souriant et sort des vannes d'un ado de douze ans. Pittoresque, le personnage ne convainc plus, devenu un vieux bonhomme courant difficilement et tirant de temps en temps sur des bandits pathétiques croisant sa route. La série s'est vite essoufflée, Dirty Harry aussi.
Dernière aventure pour l'inspecteur Harry. Enfin ! Il était temps ! Réalisé par le tâcheron Buddy van Horn, déjà "responsable" de Ça va cogner... (et futur auteur du pitoyable Pink Cadillac), le film fait totalement fi des opus précédents. Réalisation soignée mais pas excusable (on est en 1988 quand même) et acteurs bidons malgré un casting alléchant (Liam Neeson, Patricia Clarkson ou encore la courte présence d'un Jim Carrey déjà bien allumé). La déception est le mot d'ordre dans ce navet dont le scénario tient du slasher éculé et dont l'ambiance et les meurtres deviennent vite cartoonesques. Et l'inspecteur Harry dans tout ça ? Un peu bougon au début du film, il finit par devenir rapidement un don juan sympathique qui fait son footing en souriant et sort des vannes d'un ado de douze ans. Pittoresque, le personnage ne convainc plus, devenu un vieux bonhomme courant difficilement et tirant de temps en temps sur des bandits pathétiques croisant sa route. La série s'est vite essoufflée, Dirty Harry aussi.
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Bon film. Certes un peu lent mais moins austère que ce qu'on aurait pu craindre, bien réalisé et avec un très bon casting y compris l'enfant. !!!Mais pourquoi on passe n'importe quand-y compris dans une même phrase- de la VO à de la VF [diffusion Canal+?]!!!
Bon film. Certes un peu lent mais moins austère que ce qu'on aurait pu craindre, bien réalisé et avec un très bon casting y compris l'enfant. !!!Mais pourquoi on passe n'importe quand-y compris dans une même phrase- de la VO à de la VF [diffusion Canal+?]!!!
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Faire vrai et parler d'un sujet grave. Voila en gros les deux seuls arguments que possèdent ce "Commis d'office" qui rapidement rentre dans une logique de non-cinéma et de non-plaisir qui va rapidement atteindre des sommets. Car si la première partie, bien qu'assez plate, peut encore se laisser regarder, notamment grâce à la présence de la revenante Sophie Guillemin, c'est un véritable supplice que nous fait engendrer Hannelore Cayre (nouvelle preuve que les auteurs ne sont pas les plus compétents pour adapter leur oeuvre sur grand écran), hésitant systématiquement entre documentaire, reportage et fiction, le scénario apparaissant quant à lui K.O. très rapidement. Car au-delà de l'indescriptible banalité de ce dernier, tout s'avérant d'une prévisibilité à faire palir, c'est cette manière de brasser le vide qui terrifie, et ce jusqu'à un dénouement assez risible. En somme, et même si l'on pourra qualifier ce film d'honnête, cela est toutefois bien insuffisant pour nous intéresser ne serait-ce qu'un seul instant à cette oeuvre assez catastrophique. Un calvaire.
Faire vrai et parler d'un sujet grave. Voila en gros les deux seuls arguments que possèdent ce "Commis d'office" qui rapidement rentre dans une logique de non-cinéma et de non-plaisir qui va rapidement atteindre des sommets. Car si la première partie, bien qu'assez plate, peut encore se laisser regarder, notamment grâce à la présence de la revenante Sophie Guillemin, c'est un véritable supplice que nous fait engendrer Hannelore Cayre (nouvelle preuve que les auteurs ne sont pas les plus compétents pour adapter leur oeuvre sur grand écran), hésitant systématiquement entre documentaire, reportage et fiction, le scénario apparaissant quant à lui K.O. très rapidement. Car au-delà de l'indescriptible banalité de ce dernier, tout s'avérant d'une prévisibilité à faire palir, c'est cette manière de brasser le vide qui terrifie, et ce jusqu'à un dénouement assez risible. En somme, et même si l'on pourra qualifier ce film d'honnête, cela est toutefois bien insuffisant pour nous intéresser ne serait-ce qu'un seul instant à cette oeuvre assez catastrophique. Un calvaire.
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Comment perdre 2 heures de son temps dans un délire qui n'arrive ni à créer l'intérêt, ni à susciter l'émotion ou à être suffisamment bien ficelé pour être vraisemblable. La prestation de Nathalie Portman est toujours aussi parfaite mais mérite mieux.
Comment perdre 2 heures de son temps dans un délire qui n'arrive ni à créer l'intérêt, ni à susciter l'émotion ou à être suffisamment bien ficelé pour être vraisemblable. La prestation de Nathalie Portman est toujours aussi parfaite mais mérite mieux.
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Le genre de film dont on aurait pu se passer quand on voit la qualité du 1er, un film pour le pognon mauvais de bout en bout.
Le genre de film dont on aurait pu se passer quand on voit la qualité du 1er, un film pour le pognon mauvais de bout en bout.
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Alors que j'avais été déçu par monument's men, je suis conquis par celui ci. La performance d'Helen Mirrer n'y est probablement pas étrangère. Un film grave sur la spoliation des biens des juifs par les nazis et la difficulté à pouvoir les récupérer ou se les voir restituer. Plus que les biens, c'est aussi un devoir de mémoire car tous ont perdu plus que des biens matériels.
Alors que j'avais été déçu par monument's men, je suis conquis par celui ci. La performance d'Helen Mirrer n'y est probablement pas étrangère. Un film grave sur la spoliation des biens des juifs par les nazis et la difficulté à pouvoir les récupérer ou se les voir restituer. Plus que les biens, c'est aussi un devoir de mémoire car tous ont perdu plus que des biens matériels.
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Béhémoth La Créature Du Volcan, c'est le genre de film qu'on se mate en famille un soir de pluie et de brouillard ( sic ). Un téléfilm de sci-fi à la réalisation moyenne mais aux acteurs plutôt crédibles, bénéficiant d'effets numériques passables et d'une fausse tension. Une production qui aligne poncifs, lieux communs et hasard hasardeux ( la rencontre des deux anciens amants, le mec qui sait mais que personne ne veut croire - ah ce bon vieux complexe de Cassandre -... ). Hogan semble être le prototype même du réalisateur basique américain suivant un cahier des charges un peu trop consciencieusement. Si la fin est prévisible, le monstre est bien foutu sans être extraordinaire. 2/5
Béhémoth La Créature Du Volcan, c'est le genre de film qu'on se mate en famille un soir de pluie et de brouillard ( sic ). Un téléfilm de sci-fi à la réalisation moyenne mais aux acteurs plutôt crédibles, bénéficiant d'effets numériques passables et d'une fausse tension. Une production qui aligne poncifs, lieux communs et hasard hasardeux ( la rencontre des deux anciens amants, le mec qui sait mais que personne ne veut croire - ah ce bon vieux complexe de Cassandre -... ). Hogan semble être le prototype même du réalisateur basique américain suivant un cahier des charges un peu trop consciencieusement. Si la fin est prévisible, le monstre est bien foutu sans être extraordinaire. 2/5
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Brian De Palma nous démontre une nouvelle fois son talent dans ce film aussi bien mis en scène que scénarisé. Le casting est d'excellente facture mais l'ambiance de la série est, je trouve, peu respectée. A voir au moins une fois.
Brian De Palma nous démontre une nouvelle fois son talent dans ce film aussi bien mis en scène que scénarisé. Le casting est d'excellente facture mais l'ambiance de la série est, je trouve, peu respectée. A voir au moins une fois.
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French Connection de William Friedkin est un des meilleurs polars que j'ai pu voir. Je l'avais vu quand j'avais dans les 10 ans en VHS et je viens de me le procurer en DVD... Ô combien ma surprise fut grande !!! A part une interpétation exceptionelle (Gene Hackman oscarisé, Roy Scheider nommé et Fernando Rey magistral), le film est ponctué de scènes d'action magistrales et inoubliables comme la fillature dans le métro qui se terminera par un coups de cannes inattendu et la poursuite en voitures où la liberté de tournage fut grande (Les accidents de Gene Hackman sont réels et jamais prévus). En outre, la mise en scène choc de Williamn Friedkin fait mouche à tous les coups et le scénario est prenant jusqu'à la dernière minute très dure du film... Cinq oscars ? C'est tout...
French Connection de William Friedkin est un des meilleurs polars que j'ai pu voir. Je l'avais vu quand j'avais dans les 10 ans en VHS et je viens de me le procurer en DVD... Ô combien ma surprise fut grande !!! A part une interpétation exceptionelle (Gene Hackman oscarisé, Roy Scheider nommé et Fernando Rey magistral), le film est ponctué de scènes d'action magistrales et inoubliables comme la fillature dans le métro qui se terminera par un coups de cannes inattendu et la poursuite en voitures où la liberté de tournage fut grande (Les accidents de Gene Hackman sont réels et jamais prévus). En outre, la mise en scène choc de Williamn Friedkin fait mouche à tous les coups et le scénario est prenant jusqu'à la dernière minute très dure du film... Cinq oscars ? C'est tout...
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un film que je pense magnifique mais un peu lent dans l'action.......le style de l'image se rapproche du dernier film de Steve Mac Queen sur l'esclavage.......Cette traversée des grandes plaines du Midwest, avec un nombre restreint de personnages ( Tommy Lee Jones, bougon et célibataire endurci, Hillary Swank hyper sensible et courageuse, et trois "folles" dans un fourgon) va nous faire rencontrer deux ou trois moments dramatiques, dans la plénitude trompeuse des grands espaces.... La vie de cowboy et cowgirl est dure, voire impitoyable, nous dit le film, en s'appuyant sur des dialogues très humains, et des rencontres avec des indiens, des propriétaires terriens, des gens toujours profonds et rustres à la fois..... On est absolument pas dans le lyrisme de la conquête de l'Ouest, mais dans l'âpreté de la vie au 19ème siècle, chez ces gens qui devaient s'installer en terre américaine...... Malgré la lenteur , la force des caractères en présence, la musique rare, la notion subtile de folie (est ce aussi une frontière chez les individus en souffrance); le film est passionnant de bout en bout et émouvant à un moment (je n'en dis pas plus, accrochez vous)..... Tommy Lee Jones qui avait frappé fort dans la réalisation avec le film "trois enterrements" frappe tout aussi fort avec ce film, dont la luminosité est autant physique que morale......(on notera un tout petit rôle pour Meryl Streep à la fin..... On pourrait se dire même que la folie est parfois une souffrance morale d'abord....L'enjeu du film est beau, nous faire palper cette souffrance qui existe chez tous..........Pari réussi donc pour Tommy Lee Jones dans un format de 2heures,certes cinéma indépendant, mais curieusement produit par Luc Besson, étonnant vraiment.... J'ai adoré.......
un film que je pense magnifique mais un peu lent dans l'action.......le style de l'image se rapproche du dernier film de Steve Mac Queen sur l'esclavage.......Cette traversée des grandes plaines du Midwest, avec un nombre restreint de personnages ( Tommy Lee Jones, bougon et célibataire endurci, Hillary Swank hyper sensible et courageuse, et trois "folles" dans un fourgon) va nous faire rencontrer deux ou trois moments dramatiques, dans la plénitude trompeuse des grands espaces.... La vie de cowboy et cowgirl est dure, voire impitoyable, nous dit le film, en s'appuyant sur des dialogues très humains, et des rencontres avec des indiens, des propriétaires terriens, des gens toujours profonds et rustres à la fois..... On est absolument pas dans le lyrisme de la conquête de l'Ouest, mais dans l'âpreté de la vie au 19ème siècle, chez ces gens qui devaient s'installer en terre américaine...... Malgré la lenteur , la force des caractères en présence, la musique rare, la notion subtile de folie (est ce aussi une frontière chez les individus en souffrance); le film est passionnant de bout en bout et émouvant à un moment (je n'en dis pas plus, accrochez vous)..... Tommy Lee Jones qui avait frappé fort dans la réalisation avec le film "trois enterrements" frappe tout aussi fort avec ce film, dont la luminosité est autant physique que morale......(on notera un tout petit rôle pour Meryl Streep à la fin..... On pourrait se dire même que la folie est parfois une souffrance morale d'abord....L'enjeu du film est beau, nous faire palper cette souffrance qui existe chez tous..........Pari réussi donc pour Tommy Lee Jones dans un format de 2heures,certes cinéma indépendant, mais curieusement produit par Luc Besson, étonnant vraiment.... J'ai adoré.......
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Le truc classique des méchants qui discutent avec le héros au lieu de le tuer quand ils en avaient l'occasion. Le surréalisme, que dis-je, l'irréalisme total de certaines scènes fait que la pilule passe très, très mal. Heureusement que y'a du rythme et de la castagne, car c'est à peu près tout ce qu'on peut tirer de ce nanar. Non, c'est à peine un nanar : Le plaisir n'y est pas.
Le truc classique des méchants qui discutent avec le héros au lieu de le tuer quand ils en avaient l'occasion. Le surréalisme, que dis-je, l'irréalisme total de certaines scènes fait que la pilule passe très, très mal. Heureusement que y'a du rythme et de la castagne, car c'est à peu près tout ce qu'on peut tirer de ce nanar. Non, c'est à peine un nanar : Le plaisir n'y est pas.
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La saga Phantasm n'a jamais baisser dans un seul point,parce que le créateur à toujours trouver comment faire une histoire excellent.Ce 4ème épisodes est vraiment sanglant,macabre et horrifique,mais cette fois dans ce film que ça parle des origines du grand homme,le retour de Reggie et Mike voulant combattre le grand homme,toujours un peux gore et vraiment terrifiant.Peut être que ces mauvais sur allociné mais ça ne le mérite pas.
La saga Phantasm n'a jamais baisser dans un seul point,parce que le créateur à toujours trouver comment faire une histoire excellent.Ce 4ème épisodes est vraiment sanglant,macabre et horrifique,mais cette fois dans ce film que ça parle des origines du grand homme,le retour de Reggie et Mike voulant combattre le grand homme,toujours un peux gore et vraiment terrifiant.Peut être que ces mauvais sur allociné mais ça ne le mérite pas.
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L'histoire de ce psychopathe obsédé par tony Mareno, pret a tout pour gagner un concours de sosie, est déroutante et passionnante. Alfredo Castro, l'acteur principal de ce film est impressionnant. Un film noir, Une ambiance lourde, tendue, certaines scènes sont dérangeantes. tout cela sous fond de dictature ! a voir bien sur
L'histoire de ce psychopathe obsédé par tony Mareno, pret a tout pour gagner un concours de sosie, est déroutante et passionnante. Alfredo Castro, l'acteur principal de ce film est impressionnant. Un film noir, Une ambiance lourde, tendue, certaines scènes sont dérangeantes. tout cela sous fond de dictature ! a voir bien sur
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super bon film!! on passe vraiment un super bon moment devant se film. le film est drôle et romantique. une belle preuve d'amours!!! les acteurs sont exellent
super bon film!! on passe vraiment un super bon moment devant se film. le film est drôle et romantique. une belle preuve d'amours!!! les acteurs sont exellent
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[5.62540852e-04 9.99437459e-01]
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Bof bof bof, me suis ennuyé. C'est la preuve que toutes les adaptations, même de bons bouquins, ne font pas toujours de supers films. Là entre le thème du nazisme (pas des plus passionnants pour moi), la mollesse générale (scénario, rythme, jeu d'acteur, musique), l'apathie de l'héroïne et son côté irréel car prendre autant pour si peusoit moisir et mourir en tôle pour ne pas dire qu'on ne sait pas lire, en gros c'est çac'est d'un ridicule affligeant. J'ai pas trouvé grand chose de bien, à part que les 2 stars jouent bien et que la maquillage final de Kate est bien fait, allez l'histoire change un peu, mais vraiment ça vaut pas tripette, et c'est pas tant le côté intellectuel qui broute, comme quoi...
Bof bof bof, me suis ennuyé. C'est la preuve que toutes les adaptations, même de bons bouquins, ne font pas toujours de supers films. Là entre le thème du nazisme (pas des plus passionnants pour moi), la mollesse générale (scénario, rythme, jeu d'acteur, musique), l'apathie de l'héroïne et son côté irréel car prendre autant pour si peusoit moisir et mourir en tôle pour ne pas dire qu'on ne sait pas lire, en gros c'est çac'est d'un ridicule affligeant. J'ai pas trouvé grand chose de bien, à part que les 2 stars jouent bien et que la maquillage final de Kate est bien fait, allez l'histoire change un peu, mais vraiment ça vaut pas tripette, et c'est pas tant le côté intellectuel qui broute, comme quoi...
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[9.99791976e-01 2.08024364e-04]
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Un scénario qui aurait pu être plus sympa encore (même si mon entourage a aimé), avec un José Garcia un peu lourd par moment de par son style… mais peu importe la qualité du film, je trouve regrettable pour un film "tout public", que l'on va voir avec des enfants, qu'il y ai des phrases "salasses"… et pourtant je suis loin d'être coincée !
Un scénario qui aurait pu être plus sympa encore (même si mon entourage a aimé), avec un José Garcia un peu lourd par moment de par son style… mais peu importe la qualité du film, je trouve regrettable pour un film "tout public", que l'on va voir avec des enfants, qu'il y ai des phrases "salasses"… et pourtant je suis loin d'être coincée !
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Cette satire sur le fuhrer est drôle, un humour "juif" ironique. Une fois vu, bon...
Cette satire sur le fuhrer est drôle, un humour "juif" ironique. Une fois vu, bon...
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Ce documentaire m'a complètement retournée. Une jeune homme (asperger?) extrêmement doué en programmation, plein de curiosité, et cherchant à rendre le monde meilleur, qui se butte à la société. Donne à réfléchir sur la société. Un bel hommage à ce jeune homme.
Ce documentaire m'a complètement retournée. Une jeune homme (asperger?) extrêmement doué en programmation, plein de curiosité, et cherchant à rendre le monde meilleur, qui se butte à la société. Donne à réfléchir sur la société. Un bel hommage à ce jeune homme.
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[6.93964124e-04 9.99306036e-01]
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97
Nul. Vraiment nul. Même si le synopsis peut être allèchant, on est très vite déçu par le film en lui même. Le film est complètement aberrant, en dehors de tout réalisme. Les jeux d'acteurs et les répliques sont minables, encore plus accentués par les doublures francophones au ras des paquerettes. La seules chose que l'on peut retenir, et c'est ce qui m'a poussé à regarder ce navet jusqu'au bout, c'est que ce passe-t-il à la fin de ces 88 maudites minutes.Et bien, pour rester dans la continuité : Rien.
Nul. Vraiment nul. Même si le synopsis peut être allèchant, on est très vite déçu par le film en lui même. Le film est complètement aberrant, en dehors de tout réalisme. Les jeux d'acteurs et les répliques sont minables, encore plus accentués par les doublures francophones au ras des paquerettes. La seules chose que l'on peut retenir, et c'est ce qui m'a poussé à regarder ce navet jusqu'au bout, c'est que ce passe-t-il à la fin de ces 88 maudites minutes.Et bien, pour rester dans la continuité : Rien.
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[9.99801938e-01 1.98061984e-04]
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Le point négatif c'est que ce film n'est pas un film d'horreur ni de frisson, mais plutôt des histoires dramatiques et qui dans leur genre existent schizophrénie, paranoïa ... Donc point positif, très bon casting, agréable visuellement, et forcement 3 bonnes histoires bien tournés afin de renverser les situations et les remettre en question, appuyés par une triste réalité que sont les maladies psychologiques, Ce n'est pas un film à regarder pour rigoler ou avoir peur entre amis.
Le point négatif c'est que ce film n'est pas un film d'horreur ni de frisson, mais plutôt des histoires dramatiques et qui dans leur genre existent schizophrénie, paranoïa ... Donc point positif, très bon casting, agréable visuellement, et forcement 3 bonnes histoires bien tournés afin de renverser les situations et les remettre en question, appuyés par une triste réalité que sont les maladies psychologiques, Ce n'est pas un film à regarder pour rigoler ou avoir peur entre amis.
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02 / 20 Mon dieux ! Un film vraiment hideux , ignioble et débile ! Je deteste ! Une réalisation infâme ! Une serie Z inqualifiable ! Alors naturellement j'ai bien sur trouvé ça honteux ! Les scènes d'action sont pathétique ! C'est mal filmé ! Un film esthètiquement répugniant ! Mais c'est un film fait pour ça de toute façon ! Le but du long métrage est de ce montré stupide donc c'est parfaitement reussis ! Evidament je déconseille ce film a tous ! c'est vraiment MAUVAIS ! un navet
02 / 20 Mon dieux ! Un film vraiment hideux , ignioble et débile ! Je deteste ! Une réalisation infâme ! Une serie Z inqualifiable ! Alors naturellement j'ai bien sur trouvé ça honteux ! Les scènes d'action sont pathétique ! C'est mal filmé ! Un film esthètiquement répugniant ! Mais c'est un film fait pour ça de toute façon ! Le but du long métrage est de ce montré stupide donc c'est parfaitement reussis ! Evidament je déconseille ce film a tous ! c'est vraiment MAUVAIS ! un navet
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