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Donner un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Donne un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Donnez un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Donner un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Donne un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Donnez un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Donner un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Donne un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Donnez un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Noter avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Note avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Notez avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Noter avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Note avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Notez avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Noter avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Note avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Notez avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ». | 5 |
Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ».Pour ce texte, je donne la note de | 5 |
Texte : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ».
Étoiles : | 5 |
Texte : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ».
Note (entre 1 et 5) : | 5 |
Commentaire : Ce n'est pas le premier roman à aborder les thèmes lourds de l'inceste et de l'enfance martyre, mais il le fait avec une audace et un brio incomparables qui rendent ce livre marquant dans une vie de lecteur. On y sent à quel point l'auteur n'a pas cherché à "faire quelque chose", on ne sent jamais l'intention, on sent juste l'urgence, incandescente, à raconter la vérité d'un homme maltraité par la vie au point de dire à la nuit « tu ne me feras pas peur j'ai plus de noir que toi dans mon enfance ».
Sur une échelle de 1 à 5, je donnerais une note de : | 5 |
Donner un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Donne un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Donnez un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Donner un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Donne un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Donnez un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Donner un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Donne un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Donnez un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Noter avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Note avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Notez avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Noter avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Note avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Notez avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Noter avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Note avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Notez avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé ! | 4 |
Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé !Pour ce texte, je donne la note de | 4 |
Texte : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé !
Étoiles : | 4 |
Texte : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé !
Note (entre 1 et 5) : | 4 |
Commentaire : Simple, alias Barnabé, est un jeune homme de 22 ans qui a l’âge mental d’un enfant de 3 ans. Kléber, son frère de 17 ans, entre en terminale au lycée, mais décide de s’occuper lui-même de son frère. Leur mère étant morte et leur père refusant de s’encombrer de sa progéniture afin de vivre pleinement sa nouvelle vie, Kléber refuse d’abandonner son frère à Malicroix, l’institution où il dépérissait. Se mettant tant bien que mal à la recherche d’un appartement pour vivre avec son frère, Kléber tombe sur un logement en colocation où d’autres étudiants vont vite découvrir que vivre avec Simple n’est pas toujours… aisé !
Sur une échelle de 1 à 5, je donnerais une note de : | 4 |
Donner un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs. | 4 |
Donne un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs. | 4 |
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Donne un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs. | 4 |
Donnez un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs. | 4 |
Donner un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs. | 4 |
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Donnez un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs. | 4 |
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Notez avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs. | 4 |
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Notez avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs. | 4 |
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Note avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs. | 4 |
Notez avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs. | 4 |
Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs.Pour ce texte, je donne la note de | 4 |
Texte : Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs.
Étoiles : | 4 |
Texte : Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs.
Note (entre 1 et 5) : | 4 |
Commentaire : Pour écrire La plus secrète mémoire des hommes, Mohamed Mbougar Sarr s'est inspiré du destin brisé de Yambo Ouologuem, premier écrivain africain à remporter le Prix Renaudot en 1968 avec Le devoir de violence, à 28 ans. Il a connu la gloire, puis l’opprobre, finissant sa vie reclus, honni par ses pairs.
Sur une échelle de 1 à 5, je donnerais une note de : | 4 |
Donner un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Donne un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Donnez un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Donner un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Donne un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Donnez un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Donner un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Donne un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Donnez un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Noter avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Note avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Notez avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Noter avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Note avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Notez avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Noter avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Note avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
Notez avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » » | 3.5 |
« La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » »Pour ce texte, je donne la note de | 3.5 |
Texte : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » »
Étoiles : | 3.5 |
Texte : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » »
Note (entre 1 et 5) : | 3.5 |
Commentaire : « La violence d'Aurélien est revenue. Par la fenêtre, peut-être bien. C'est une surprise qui te foudroie. Depuis l'épisode des miettes, ses mots te fauchent comme une gifle. T'écorchent et t'humilient. Sa main ne se lève pas, mais de sa bouche les torgnoles tombent de nouveau. Et c'est une claque au coeur, chaque fois. Tu tournes le thermostat de la douche à fond. Mais cela ne suffit pas. Ça fait des jours que tu as froid. Il y a en toi quelque chose de glacé que rien ne parvient à réchauffer. Et dans ta tête, la phrase assassine qui a tué tes pauvres rêves de paix et de petits bonheurs tranquilles n'en finit plus de tourner. « Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes. » »
Sur une échelle de 1 à 5, je donnerais une note de : | 3.5 |
Donner un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Dans ce second album de La Guerre d’Alan, Emmanuel Guibert m’a fait suivre à nouveau les pas de cet homme, Alan Cope, jeune soldat étasunien de vingt ans qui vient de débarquer en France. | 5 |
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Donnez un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Dans ce second album de La Guerre d’Alan, Emmanuel Guibert m’a fait suivre à nouveau les pas de cet homme, Alan Cope, jeune soldat étasunien de vingt ans qui vient de débarquer en France. | 5 |
Donner un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Dans ce second album de La Guerre d’Alan, Emmanuel Guibert m’a fait suivre à nouveau les pas de cet homme, Alan Cope, jeune soldat étasunien de vingt ans qui vient de débarquer en France. | 5 |
Donne un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Dans ce second album de La Guerre d’Alan, Emmanuel Guibert m’a fait suivre à nouveau les pas de cet homme, Alan Cope, jeune soldat étasunien de vingt ans qui vient de débarquer en France. | 5 |
Donnez un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Dans ce second album de La Guerre d’Alan, Emmanuel Guibert m’a fait suivre à nouveau les pas de cet homme, Alan Cope, jeune soldat étasunien de vingt ans qui vient de débarquer en France. | 5 |
Donner un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Dans ce second album de La Guerre d’Alan, Emmanuel Guibert m’a fait suivre à nouveau les pas de cet homme, Alan Cope, jeune soldat étasunien de vingt ans qui vient de débarquer en France. | 5 |
Donne un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Dans ce second album de La Guerre d’Alan, Emmanuel Guibert m’a fait suivre à nouveau les pas de cet homme, Alan Cope, jeune soldat étasunien de vingt ans qui vient de débarquer en France. | 5 |
Donnez un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Dans ce second album de La Guerre d’Alan, Emmanuel Guibert m’a fait suivre à nouveau les pas de cet homme, Alan Cope, jeune soldat étasunien de vingt ans qui vient de débarquer en France. | 5 |
Noter avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Dans ce second album de La Guerre d’Alan, Emmanuel Guibert m’a fait suivre à nouveau les pas de cet homme, Alan Cope, jeune soldat étasunien de vingt ans qui vient de débarquer en France. | 5 |
Note avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Dans ce second album de La Guerre d’Alan, Emmanuel Guibert m’a fait suivre à nouveau les pas de cet homme, Alan Cope, jeune soldat étasunien de vingt ans qui vient de débarquer en France. | 5 |
Notez avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : Dans ce second album de La Guerre d’Alan, Emmanuel Guibert m’a fait suivre à nouveau les pas de cet homme, Alan Cope, jeune soldat étasunien de vingt ans qui vient de débarquer en France. | 5 |
french_book_reviews_fr_prompt_stars_classification
Summary
french_book_reviews_fr_prompt_stars_classification is a subset of the Dataset of French Prompts (DFP).
It contains 270,424 rows that can be used for a stars-classification sentiment analysis task.
The original data (without prompts) comes from the dataset french_book_reviews by Eltaief.
A list of prompts (see below) was then applied in order to build the input and target columns and thus obtain the same format as the xP3 dataset by Muennighoff et al.
Prompts used
List
22 prompts were created for this dataset. The logic applied consists in proposing prompts in the indicative tense, in the form of tutoiement and in the form of vouvoiement.
"""Donner un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Donne un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Donnez un nombre d'étoiles à l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Donner un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Donne un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Donnez un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Donner un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Donne un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Donnez un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Noter avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Note avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Notez avec un nombre d'étoiles l'avis ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Noter avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Note avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Notez avec un nombre d'étoiles le commentaire ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Noter avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Note avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
"""Notez avec un nombre d'étoiles la critique ci-dessous (1 étant le plus bas et 5 le plus haut) : """+review,
review+'Pour ce texte, je donne la note de ',
'Texte : '+review+'\n Étoiles :',
'Texte : '+review+'\n Note (entre 1 et 5) :',
'Commentaire : '+review+'\n Sur une échelle de 1 à 5, je donnerais une note de :'
Features used in the prompts
In the prompt list above, review
and targets
have been constructed from:
fbr = load_dataset('Abirate/french_book_reviews')
review = fbr['train']['reader_review'][i]
targets = fbr['train']['rating'][i]
Splits
train
with 270,424 samples- no
valid
split - no
test
split
How to use?
from datasets import load_dataset
dataset = load_dataset("CATIE-AQ/french_book_reviews_fr_prompt_stars_classification")
Citation
Original data
@misc {abir_eltaief_2023,
author = { {Abir ELTAIEF} },
title = { french_book_reviews (Revision 534725e) },
year = 2023,
url = { https://huggingface.co/datasets/Abirate/french_book_reviews },
doi = { 10.57967/hf/1052 },
publisher = { Hugging Face }}
This Dataset
@misc {centre_aquitain_des_technologies_de_l'information_et_electroniques_2023,
author = { {Centre Aquitain des Technologies de l'Information et Electroniques} },
title = { DFP (Revision 1d24c09) },
year = 2023,
url = { https://huggingface.co/datasets/CATIE-AQ/DFP },
doi = { 10.57967/hf/1200 },
publisher = { Hugging Face }
}
License
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