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4 | C’était lorsque j’avais 14 ans. Je revenais des courses un après-midi, quand j’aperçus ce garçon. Il était dans mon collège, mais lui avait 16 ans. Il me reconnue et m’interpella dans la rue. Je le connaissais depuis la primaire, ça me faisait assez plaisir de le croiser. J’allais donc vers lui avec mes deux sacs de courses et lui fit un sourire avant de le saluer. Il me demanda s’il pouvait m’aider avec mes sacs, puis je lui dit que non, j’y arrivais toute seule (je n’avais pas envie qu’il me raccompagne jusqu’à chez moi), mais il les prit malgré tout. J’insistais pour les reprendre, mais il ne fit rien. Me disant que ses intentions étaient bonnes, je le laissa les porter jusqu’à ma maison, pensant qu’il partirait, mais ça ne fût pas le cas. Je le remerciais, et lui laissais comprendre qu’il pouvait partir, mais il insistait pour monter. Il n’y avait personne chez moi, et ça m’avait échappé dans la conversation. Il continuait d’insister pour monter, tendis que je commençais à m’énerver en lui demandant de partir, puis il fit mine de partir lorsque j’ouvris la porte. Mais il n’était pas décidé à partir. Il me mit une main aux fesses, puis les serra dans sa paume en essayant de me pousser pour rentrer dans ma maison, mais je me retourna brusquement, le poussa de toutes mes forces, avant de claquer la porte. Aujourd’hui je suis dans un lycée différent du sien, et j’ai la chance de ne l’avoir jamais recroisé. |
4 | J’ai été victime d’atouchements sexuels à partir de mon adolescence. Cela arrivait que je me fasse aborder dans la rue par des hommes plus âgés. Soit disant je faisais plus âgée que mon âge. Je ne connais pas mes agresseurs. Cela m’est arrivé dans les transports en commun.
Je devais être à la fin du collège ou début du lycée. Je voulais aller à la facture de St Lazare. Je m’en souviens vaguement. L’homme en question passait sa main sous mes vêtements. Je ne comprenais rien sur le moment. Il ne voulait pas me laisser tranquille.
Une autre fois c’était dans un hôpital public. C’est dur d’en parler. Je veux voir une association d’aide aux victimes. Je me méfie des hommes. |
4 | J’étais adolescente en train de rentrer chez moi (fort heureusement plus qu’à environ 2mn de marche de la maison).
Un gars de la cinquantaine commence à m’interpeller et à me demander si on peut parler, donc j’accélère le pas en disant que j’ai pas le temps. Non seulement il insiste mais il commence à me suivre de très près en me donnant des surnoms dégueu, j’accélère toujours le pas mais je sens qu’il est toujours à moins d’un mètre derrière moi. Arrivée devant chez moi je panique à l’idée de devoir chercher mes clés, en me demandant s’il va essayer de m’agresser ou même de passer la porte. Pendant que je trouve mes clés et que j’essaie d’ouvrir ma porte il se colle à mes fesses avec son érection, quand je me retourne il ricane en mettant mes mains sur son truc (à ce moment j’arrive pas à savoir si c’est sa vraie érection ou un objet à travers son pantalon, je le saurais jamais mais sur le moment son ricanement me fait penser qu’il fait une “blague” qu’il a prévu depuis le début). Finalement j’arrive à entrer chez moi en claquant la porte. Je l’ai jamais revu même si j’ai souvent empreinté des chemins différents de “à 2mn de chez moi” pour être sûre de pas le recroiser. |
4 | C’était un monsieur âgé à qui je rendait visite car il se sentait seul javai 12-13 ans à ce moment là et à un moment où il voulait “m’apprendre à me défendre contre les hommes” il m’a tripote la poitrine en me disant que ” jai de petits seins c’est mignon “. Je ne suis plus jamais revenue après ça , un an et demie après j’ai su qu’il etait mort. |
4 | J’ai était victime dune agression sexuelle et d’atouchement sexuelle une première fois alors que je n’avais que 13 ans quand je rentrer du collège à pied un groupe d’une quinzaine d’homme commença à me demander des chose horrible il me disait aller soulève ta robe, vien me sucer,etc.
Je leurs est dit laisser moi tranquille s’il vous plait. Ils m’ont dit aller vien j’ai essayer de partir mais ils m’ont atrapper et mon forcer à les sucer mon toucher et ils m’ont ensuite laisser derrière des buisson en état de choc complet. |
4 | Je viens à mon tour témoigner.
J’ai lu un témoignage récent sur une mère qui avait confié à sa fille le jour de la fêtes des mères avoir été abusée enfant.
Ma mère a été également abusée enfant par le docteur de la famille alors qu’elle avait 10 ans. Elle a subi des attouchements à plusieurs reprises lors de ses consultations.
Elle m’en a parlé un jour comme cela. J’ai été stupéfaite. Mon frère, ma soeur et moi même avions toujours été surprotégés lorsque nous étions petits et elle n’avait confiance en personne. Elle me parlait toujours des gens même nos amis ou notre famille comme quoi il fallait toujours se méfier de tout le monde et ne jamais leur faire confiance. Sa vie sentimentale a été ponctuée d’échecs. 3 mariages, 3 divorces. Elle m’a dit n’avoir jamais réellement ressenti de désir avec les hommes et n’avoir jamais été amoureuse follement.
Elle a une relation très complexe avec son corps et a toujours été très pudique et elle va d’ailleurs quasiment jamais chez le médecin.
Je pense que ce viol a laissé des traces et tout traumatisme subi encore plus dans l’enfance reste gravé en mémoire et laisse des séquelles lourdes.
Je pense qu’elle n’en a jamais parlé à ses parents à l’époque des faits et elle s’est construite avec ce poids sur la conscience.
Un jour, j’ai voulu en reparler avec elle. Elle m’a répondu qu’il n’y avait plus rien à dire ni à faire et que l’incident était clos.
J’ai compris que son traumatisme était certes enfoui mais toujours bien présent. |
4 | J’ai 37 ans. Javais 17 ans. Il était médecin généraliste, ami de ma famille d’adoption. Je le voyais très souvent quand j’allais chez mon meilleur ami. J’étais en couple et avais quelques problèmes à me donner sexuellement à mon copain. J’étais inquiète et craignais que quelque chose n’allait pas chez moi. Javais une grande confiance en lui, et me suis confiée. Il ma conseillé de prendre rdv à son cabinet un soir, en fin de journée pour faire un point complet. Je ne me suis doutée de rien, d’autan que sa fille, d’un an de plus que moi était une copine….. Bref, je suis allée à son cabinet à 18h30.. quand il ma reçu, il n’y avait plus personne dans le cabinet, et il a fermé sa salle de consultation à clé. Sur le coup, ça ne ma pas interpellé… Il a voulu l’examiner, me disant que mon hymen n’était peut-être pas rompu, qu’une intervention chirurgicale pouvait être envisagée, mais qu’il fallait m’ausculter…. Il ma demandé de me mettre nue… Ensuite, il y a eu des caresses, des massages pour me détendre c’est ce qu’il ma dit, et des attouchements.. je me souviens juste qu’il me disait tu sens bon, ta peau sent bon…. Et que j’étais tétanisée…… C’est un état qu’il faut absolument comprendre: la tétanisation….. On ne peux rien faire.. je réalisais que ce qui se passait était grave, que la porte était fermée à clé, que j’étais venue de mon plein gré…. Bref, j’étais prisonnière et ma seule issue était d’attendre que ça passe…….. J’ai attendu, détourné ses réflexions comme je le pouvais, et il a arrêté .. ensuite, je ne pensais qu’à partir en courant, mais ma dit déménager rhabiller et de le retrouver devant son bureau.. il ma proposé des soins pour me détendre, j’ai dit que j’allais y réfléchir.. tout ce temps, je voulais juste ne pas le mettre en colère pour qu’il rouvre la porte. Finalement, il a ouvert, je suis partie, polie et reconnaissante ….. Incrédule…. Choquée……. rassurée…. Ulcérée….. J’ai tout de suite raconté à la mère de ma meilleure amie.. mais elle était très gênée…. Comme si ce que je disais pouvait être le fruit de mon imagination….. J’en ai parlé aussi à un ami dont la petite amie allait chez ce médecin… Sa réaction à été violente tu tes fait des idées….. Tu racontes n’importe quoi, c’est impossible….. J’en ai parlé quelques jours plus tard à ma mère. Elle était très choquée et a été d’un grand soutien. Quant à mon père, il ma dit tu sais, cest un homme…… |
4 | J’avais 10 ans et une précocité pubère. Le médecin de famille exerçant à Roubaix dans le Nord (59) m’a palpé les seins longuement, sans mon consentement. J’étais très gênée, je venais de subir des violences sexuelles, il le savait. Il avait pleine autorité sur l’enfant que j’étais. J’étais seule, ma mère dans la pièce à coté, et je n’ai pas su dire non. Était-ce un geste médical de sa part ? Un dépistage de cancer à une fillette de 10 ans ? Si je le déclare aujourd’hui c’est que plus de 15 ans après, même après avoir quitté la région, je me demande s’il continue à faire cela à d’autres jeunes filles. |
4 | J’avais cinq ans et étant considérée comme “différente” j’ai vite commencé à être harcelée par les autres enfants (insultes, coups…). Il y avait notamment deux “grandes” (de 10 ans) qui ne me supportaient pas, sans que je sache exactement pourquoi. Un jour, quelques camarades m’ont proposée de jouer à un jeu avec eux dans un coin de la cour. Etant rarement invitée à jouer avec les autres je les ai suivi dans un coin du préau caché des professeurs qui devaient nous surveiller. Je me souviens qu’il y avait un bénitier contre un des murs et une montagne de tapis de gym contre l’autre. Et puis il y avait beaucoup d’élèves (en général de mon âge ou d’un an plus âgés). Ils m’ont expliquée qu’ils voulaient que je fasse “comme ce que font les grands”. Ils m’ont alors poussée sur un tapis de gym (lui même surélevé par une palette en bois) et un garçon de six ans s’est déshabillé et est monté sur moi (il s’était fait retourné la tête par les deux grandes). On m’a dit de me déshabiller et j’ai fait non de la tête. Le garçon a alors dit aux autres que je ne voulais pas, et on lui a répondu qu’alors c’était à lui de me déshabiller. A ce moment là je suis sortie de ma stupeur et je l’ai poussé en lui disant d’arrêter. Je me suis levée et j’ai essayé de partir mais les autres enfants m’en ont empêchée et je me suis mise à pleurer. Puis ils m’ont déshabillée et le garçon a essayé de rentrer en moi par derrière mais il était trop jeune et ça ne fonctionnait pas donc finalement il a rentré ses doigts. J’avais l’impression d’être une coquille vide. Au bout d’un moment la maîtresse est arrivée, et je ne me souviens plus du reste de la journée. Par contre le lendemain une “amie” (qui avait été présente toute la scène et avait ri avec les autres) m’a dit “Oh ça va, tu va pas faire la tête juste pour ça”. Suite à ça j’ai fait une amnésie traumatique pendant des années (mais le harcèlement a continué et j’avais un profond mal être), jusqu’à ce qu’un jour, sur internet, une jeune fille que j’essayais d’aider à arrêter de se scarifier (je l’ai moi-même fait pendant des années, avant et après l’avoir aidée) m’a raconté qu’elle avait été violée par un autre enfant (pas du tout dans les mêmes circonstances mais la similitude entre nos histoires a suffit à faire tout remonter). Je n’ai pas pu en parler pendant longtemps, ou du moins pas en détail parce que ça semble inimaginable et je me disais que les gens ne me croiraient pas. J’en ai uniquement parlé à ceux avec qui j’ai eu des relations physiques mais j’étais très évasive sur le sujet. Et quand je me suis confiée à un psychologue, il a minimisé les faits. Mais finalement, au regard de la loi, ce que j’ai vécu correspond à la définition d’un viol. Aujourd’hui je n’ai plus honte d’en parler et de dire que je m’en suis sortie, et j’aimerais que les gens qui ont été les victimes d’autres enfants osent parler de ce qu’elles ont vécu, et qu’elles puissent être aidées au même titre que d’autres victimes. |
4 | C’est la première fois que je vais parler de ce qui s’est passé ce jour-là.
J’avais 16 ans, j’étais en route pour le sud de la France pour un voyage scolaire. Dans le car, je m’étais assise à côté d’un garçon de ma classe avec qui je m’entendais bien (amicalement).
Le voyage était long, on faisait Genève – St-Cyprien. J’ai donc décidé de me reposer un peu et je me suis appuyé sur le bord de la fenêtre. Le garçon en question me proposa de m’appuyer sur son épaule, j’accepta me disant qu’il n’y avait pas de mal à ça. Je m’assoupis et ma tête finit sur ses genoux. (Je ne sais pas si c’est lui ou si ma tête a juste glisser pendant mon sommeil.) Je me réveilla en sentant sa main sur ma poitrine (sous mes sous vêtements). Je n’osa rien dire, je ne sais pas pourquoi mais j’avais peur, peur de réagir. Il me pinçait le téton. Je garda les yeux fermés et attendait que ça passe. Mais il alla plus loin. Il glissa sa main dans mon pantalon pour me touche les fesses. Puis, il posa ses doigts sur ma culotte pour me caresser. Là, c’était trop. Je décida de simuler un réveil soudain pour que ça s’arrête sans qu’il ne se rende compte que je savais. Je savais qu’il venait de violer mon intimité. Il enleva rapidement sa main et je me redressa en tournant la tête vers la fenêtre. Et tout ce que je me suis dit à ce moment là c’est que c’était moi la fautive, que je lui avait donné des raisons de croire qu’il avait le droit de me faire ça.
Je me suis rendu compte quelques heures plus tard que des élèves de mon école présent dans le car avait vu cette scène et n’avait rien dit, rien fait. Ça a renforcé mon idée que c’était moi le problème et que je pouvais m’en prendre qu’à moi même. Pendant des années, j’ai refoulé ce moment passé et j’ai minimisé cet acte et l’impact qu’il avait eu sur moi. J’ai encore du mal aujourd’hui à mettre des mots sur ce qu’il s’est passé. |
4 | Il s’est passé deux histoires d’abus sexuels et je vais essayer d’être compréhensible.
Tout d’abord par mon prof de sport. C’était en 6ème, pendant les cours de natation. Je suis sortie de l’eau et j’avais froid. Le prof ne s’est pas gêné à se coller contre moi, “pour me réchauffer”. Ce prof a été accusé plusieurs fois par d’autres élèves filles pour des abus. Sur le moment, je comprenais pas ce qu’il se passait, j’avais juste froid.
La deuxième histoire est celle qui m’affecte le plus. A l’école primaire, mes amis étaient principalement des garçons. Une fois au collège, les choses ont changé. Cette bande de pote est devenu petit à petit plus violente envers moi, ils commençaient à me donner des coups pour rigoler, puis leurs hormones commençaient à les travailler. Un été, on est allé a la piscine; l’établissement venait tout juste d’ouvrir du coup il n’y avait pas beaucoup de personne. Une fois dans l’eau, au bout de 5 min; 2 m’ont tenu les bras et 1 les jambes puis ils m’ont mise sous l’eau. Et pendant que j’étais sous l’eau, j’ai senti qu’on me touchait à l’entrejambe. ça été difficile pour moi de résister à ça et de sortir de l’eau.
J’en ai jamais parlé à l’époque car je me disais que personne n’allait me croire car c’était mes amis.
Suite à cette histoire, j’ai subi un harcèlement scolaire; on me donnait des coups, on m’insultait dès qu’on me voyait, ils disaient que c’était moi la fautif, que j’étais une pute, que je les chauffais.
Je suis restée un bon moment isolée puis j’ai préféré oublier cette histoire car j’avais peur que la situation s’empire. |
4 | Je ne sais pas quoi commencer, tant je me demande encore comment se genre d’histoire et possible ..comment mon histoire est possible meme si evidement il y a bien pire.. mais je ne peu pas comprendre comment deux jeune garcon à peine plus âgés que moi peuvent harcelé une petite fille de 8 ans dans un bus.. jusqu’à la bloquer et mettre la main dans sa culotte .. a quelques millimètre du viol.. comment un chauffeur de bus qui voit une petite fille la supplier du regard d’intervenir , ne fait rien.. ne dit rien.. regarde juste en silence parce que d’autre enfants entre lui et elle l’empêche de passer.. alors oui j’ai finis par reussir à me défendre.. et sortir honteuse.. je n’arrive pas à comprendre comment un garcon
De 15 ans peu voir une enfant de 12 au fond de la classe, un peu craintive, en deuil, et lui mettre la main au fesses avec rire. Comment un jour il peu décider de la bloquer contre un mur dans une file d’attente de cantine. Lui bloquer un bras l’autre etant ecrasé contre le mur .. et glissée sa main dans son dos jusqu’à la violé. Puis la lacher en rigolant, totalement conscient de se qu’il a fait volontairement.. Je n’arrive pas à comprendre comment une jeune fille de 16 ans, en colère. Accepte de monté dans une voiture qui propose de la posé. Pour q’au final le chauffeur lui mette la main sur la cuisse en remontant, elle le repousse. Ils recommence avec force et determination, en lui disant qu’il va l’emmener chez lui dans sa bergerie de montagne ( en corse) et qu’ils vont bien “s’amusé”. Par chance la jeune fille par reflexe c’est jeter sur le volant. Ils à eu peur et là posé. Je ne peu pas comprendre que mon insconscient et bloquer le viol et les garcons pendant 25 ans .. et je ne peu comprendre.. que malgré mes effort.. je n’arrive pas à parler du viol.. trop de trauma.. n’en suis je pas un peu responsables..cela continue à me hanté.. j’ai 45 ans.. |
4 | Je réessaye d’écrire car je n’ai pas vue mon premier témoignage. De toute façon j’étais trop confus. C’est très dur moralement à écrire car j’en ai rarement parler et ça n’a jamais été bien prit. Je suis un homme. J’étais au collège en sixième et un élève de quatrième à essayer de me violer dans la cour devant tout le monde. Il à poser ses mains sur moi puis essayer de me plaquer au sol. Je l’ai repoussé puis il est parti alors je suis allé voir la vie scolaire pour demander de l’aide. Ils m’ont collé quatre heures et m’ont dit que c’était ma faute, que je n’avais pas à me défendre ni à porter plainte. J’aurais dû me laisser faire, là ils m’auraient aidé. Ma famille ne me croyait pas et j’ai subis un harcèlement sexuel jusqu’à ce que d’autre élève me protège. Il s’est fait exclure pour d’autre chose. A chaque fois je me suis défendu où enfuis et les surveillant on m’a puni pour ça. Il n’a jamais réussi à me violer. D’autre élève mon protéger et j’ai pu vivre en sécurité comme ça. Ça fait environs dix ans et j’ai toujours très mal à cause de ça. Je voulais en parler pour dire de ne pas se laisser mettre la pression.
J’écris se témoignage pour vous dire de ne pas se laisser intimider. Allez voir la police. Ils sont là pour ça. |
4 | J’aurai mis 15 ans à sortir du déni. Toutes ces années à vivre dissocié, comme sans enfance. Aujourd’hui je veux parler, partout, les violences faites aux femmes doivent dénoncées, la parole doit continuer de ce libérer.
Ça à bien mal commencé pour moi, et puis il y a eu ce jour, quand j’avais 12 ans, où un groupe de garçons de mon collège m’a coincée dans un couloir. J’avais le profil type de la victime facile, j’ai etudié la victimologie et comme je disposais d’un contexte familiale tendu, sur fond de maltraitance psychologique et parfois physique, j’étais une proie idéal.
Ça va, on ne m’a pas violé ai je entendue plus tard, quand j’ai dénoncé les faits. Non. J’ai juste était entrainée dans un couloir sombre, par 10 garçons, l’un deux m’a tenu les bras, coincée au mur et un autre à tenté de m’embrasser. Un gros trou noir. Et je vois un surveillant, qui nous disperse.
Il aura fallu que je m’effondre en larmes 3h plus tard au pied d’une professeure pour que l’on m’entende.
Une semaine de repos pour moi et mes 2 principaux agresseurs.
Au retour, la descente aux enfers commence. Insultes, isolements, crachats, jets de cailloux, menaces, vol de mes affaires, intimidations, moqueries… Et les conséquences, repli sur moi, idées noires, puis anorexie, automutilations, debut du cannabis, envies suividaires, tricotillomanie, apparitions de TOC. 13 ans.
Suivent les mauvaises fréquentations parfois, dans le desir de m’arracher à ma famille qui au fur et à mesure que ma souffrance se marque, augmentent les maltraitances. Un soir, je vis une idylle avec un mec qui vit en camion, sans domicile fixe. Je ment pour aller le retrouver. On s’embrasse. Il à 33ans, moi 14, et me claronne que les histoires d’amour folles existent Qu’il s’est documenté la veille sur les couples avec un quart de siécle d’écart. On s’enlace, puis il commence à parler trés crument, trop pour une adolescente, je le repousse plusoeurs fois, il insiste, se colle, se frotte, insiste. Il est sale, je n’ai aucune envie d’aller plus loin. Je n’en peux plus de refuser, je capitule, je ne me souviens pas de l’acte.
Je me demande encore comment qualifier ceci.
Je ne l’ai pas revu aprés. Sa grande histoire d’amour avait déjà du s’envoler.
Plus tard en grandissant, tant bien que mal, je pense comme toute jeune fille, j’ai eu la stupeur ( enfin au début ), de rencontrer, des exhibitionnistes, des harceleurs de rue, des mains au fesses dans les bars, de la manipulation de la part de supérieurs hiérarchiques..
J’ai pris conscience de tous ses bagages aprés avoir eu un peu de repis ces dernières années. Ce sont les cauchemars et flash back le point de départ de cette révélation, travail psy, questionnement, et puis finalement diagnostique, je souffre maintenant de syndrome de stress post traumatique complexes.
Consécutifs à plusieurs traumas. Jusqu’ici je ne vivais pas vraiment.
Aujourd’hui je prends la parole pour faire entendre la voix des victimes de violences sexistes, sexuelles mais aussi de toutes les autres de violences en cours dans nos sociétés.
La violence brise des vies. Je pense avoir la légitimité d’en témoigner. |
4 | J’avais 6 ans, j’etaiS dans la cours de récréation, on jouait à trap trap avec d’autres enfants…ce fut mon tour d’etre Attrapée, et je ne sais pas pourquoi cela fut différent pour moi…on me plaque au sol , 3 garçons me tiennent, d’autres enfant sont autour, je crie et me débat…toujours maintenue, on m’enleve Mes sous-vêtement et on me touche, j’ai l’impression que cela dure une éternité, ils sont une dizaine autour de moi, morts de rire et moi je suis brisée pour le reste de ma scolarité. Ce n’est pas un viol mais de simples attouchements qui ont affectés ma confiance en moi, aux autres, a l’ecole. |
4 | Bonjour, j’ai longtemps hésité avant d’écrire ce témoignage. Ça c’est passé il y a longtemps alors que J’étais à l’école élémentaire, j’avais 8 ans. Il y avait un surveillant d’une quarantaine d’années, il était gentil avec moi, il me faisait des compliments et moi j’étais gênée. Parfois il me m’était des tapes sur les fesses ect.. Un jour, il m’a emmener dans les toilettes des filles de mon écoles, il m’a dit qu’il voulais me dire un truc important je l’es donc suivi.. En arrivant il m’a enfermé avec lui dans les toilettes et là il a commencer à me dire qu’il m’aimait, à vouloir m’embrasser, me toucher ect.. Il a enlever son pantalon et a commencé à vouloir aller plus loin. Je l’ai mordu et je suis partie en courant et en pleurant. Le soir je n’en aie pas parlé à mes parents, j’avais trop honte… Une semaine plus tard il a été virée car il avait violée une autre petite fille, je ne l’ai plus jamais revu jusqu’au jour où je me suis promené dans un parc avec mes parents, 5 ans plus tard, je l’ai vu sur un banc ! Il m’a fait coucou et je lui ai pas répondu mais parent mon demandé qui c’était j’ai répondu “je ne sais pas” le soir j’ai fais des cauchemar toute la nuit.
Un an plus tard j’ai réussi à en parler à mes 2 meilleures amies lors d’une soirée. Je pense que je n’en parlerai jamais à mes parents. |
4 | Bonjour, un garçon de mon collège m’a fait des attouchements, il n’a pas eu le temps de continuer car des gens sont arrivés. J’ai mis beaucoup de temps à porter plainte une fois le moment venu je me suis décidée et je suis allée au commissariat. Les policiers m’ont humilié, ils me disaient que de toutes manières maintenant toutes les jeunes filles amplifiaient les faits et que si je n’avais pas mis une robe rien ne se serai passé (parole d’une jeune policière). Je ne juge en aucuns cas le travail des policiers, je ne fais pas de généralité, mais j’ai besoin de dire ce que je pense. Pendant des années j’ai lutée pour que ce garçon soit puni pour ce qu’il m’a fait j’ai faits plusieurs mains courantes ainsi que plusieurs plaintes pour qu’il arrête enfin de me provoquer parce qu’il n’avait rien eu pour ce qu’il m’avait fait. 3 ans plus tard aucuns signes de la justice quand j’appelle mon avocate pour savoir quand sera le jugement, sa réponse , toujours dans un an. Ce matin j’ouvre le journal “Une jeune femme de 24 ans violée par trois garçons”, mon avocate m’appelle : “Bonjour, il est en prison. Il a participé à un viol collectif avec deux de ses amis” ses paroles me broient l’estomac. Si la justice avait réagit avant, il n’y aurait pas pire que ce qu’il y a eu pour moi, il n’y aurait pas eu de victime de plus, aucunes femme détruite par des personnes qui n’ont pas de cœur. |
4 | Voila, j’étais en classe de terminale, et un jour ou je faisais mes devoirs à la cafet’ un des garçon que je connais pas, mais j’ai pas trop envie de les conettre ses cons, me trinbale par la manche jusqu’au toilette, et commence à me prendre, il me désabille, et puis quand je me débat, il me dit que c’est un viol doux et que donc c’est mon fantasme et que je dois aimer sa … que c’est similaire au mari qui bat sa femme … Bon, bref, il m’a laché car je me débatait trop, sa fais du bien d’en parlé … |
4 | A mon entrée en sixième au collège à Montauban, j’ai 10 ans et demie et en paraît plus. Toute l’année scolaire, j’ai été harcelée sexuellement par une bande de garçons beaucoup plus âgés (le chef de la bande avait 17 ans à ce qu’on disait, il était en 3e CPA, sorte de classe-dépotoir où on se débarrassait des adolescents ingérables). Les autres garçons étaient en 4e CPPN. Je passais mon temps de récréation et celui, plus long d’après repas, à tenter de disparaître, à trouver des cachettes, je vivais dans la terreur et surtout, javais honte de moi et de mon corps . Certains jours, j’arrivais à leur échapper. Je ne pouvais en parler à ma famille. Ce qui me paraît le plus dur aujourd’hui, c’est qu’aucun adulte du collège n’est intervenu, peut-être que personne na rien vu mais plus probablement, ils sont restés parfaitement indifférents. Très jeune, j’ai été violée (fellation forcée) à la maison par un voisin et ami de mes parents et grands-parents, il avait toute leur confiance, il est mort tranquillement il y a quelques années. Je n’ai évoqué cela que récemment sans donner son nom à ma famille mais ils n’ont pas voulu me croire. Je n’ai pas insisté. J’ai vécu d’autres agressions : une tentative de viol, du harcèlement encore et des rencontres dégueulasses avec de sordides exhibitionnistes… C’est à la fois une grande tristesse mais aussi un soulagement de taper tous ces mots sur un clavier et de les envoyer au monde entier… |
4 | Un nouvel élève dans la classe, il était plus âgé, et nous étions dans une école primaire au début des années 90.
Cet élève était turbulent, chiant, je me dis aujourd’hui que ça devait être un garçon qui devait manquer de cadre, mais j’avais quoi, autour de 10 ans.
De ce que je me souviens, l’instit’ avait décidé de le coller à une place assignée pour canaliser le cancre. Il avait atterri à côté de moi. Il me caressait la cuisse pendant les leçons. Je me souviens de ma sensation : à la fois, je ne comprenais pas ses agissements, j’étais muette de stupeur, j’avais le coeur qui battait de peur et j’étais incapable de dire non. Ou peut être ai-je dis non, et qu’il continuait quand même. Je ne me souviens pas. J’étais troublée et en tout cas, lui ne me provoquait que du dégoût. Je ne sais pas si il a été longtemps mon voisin de bureau. Je ne me souviens plus dans quel ordre ça s’était passé, mais je me souviens qu’il avait agit de même avec une autre camarade de classe, le jour ou il s’était retrouvée à côté d’elle. Je me souviens aussi, avec toute la rage enfantine, les émotions en construction, en avoir parlée avec elle, et qu’elle pleurait à cause de cela, et moi aussi. Ni elle, ni moi, n’avions été d’accord. Nous avions subi un geste non consenti.
Un soir, fermée, j’avais fini par en parler à ma mère dans la voiture, elle avait dû me tirer les vers du nez pour que je lui dise ce qui n’allait pas. Je me souviens avoir ressenti de la honte, et que je ne savais pas pourquoi, moi, petite fille de 10 ans, avec tous mes complexes déjà bien présents, il me faisait ça.
L’instit avait donc été au courant, je ne sais pas ce qu’il s’était passé (rencontre des parents, mise au point…) mais le gosse avait passé le reste de la scolarité sur un bureau seul à côté du maître.
Il s’appelait Loïc et avait un vrai problème. En faisant cela pour son plaisir, il ne m’a pas violée, il s’agit bien d’attouchement d’un élève sur un autre. Mais c’était tout comme. Je me souviens farouchement de cette sensation de me sentir salie et souillée, abusée, “objetisée “.
Plus tard, j’ai eu d’autres mésaventures avec des hommes, allant du “tu suces ?” balancé dans la rue, au gros lourd dingue à la main baladeuse. Je n’ai pas vécu d’autres situations plus dramatiques. Mais j’en ressors juste la persévérance que c’est dés l’enfance qu’il faut éduquer, et nous en sommes tous responsables… |
4 | Année de troisième dans les années 90. J’ai 14 ans. J’ai des difficultés en maths. Ma mère trouve un professeur particulier, la cinquantaine environ. Je vais à son domicile. Au bout de quelques séances, c’est sa main baladeuse qui se frotte sur ma cuisse et il se colle à moi comme si de rien n’était. “Allez , tu vas y arriver, réfléchis, une équation, c’est facile à résoudre” me dit-il…Tu parles ! Je suis mal à l’aise. Je ne sais pas quoi faire. Je perds tous mes moyens. La séance suivante, ça recommence. Je le repousse violemment. Je n’en ai jamais parlé à ma mère. J’ai eu tort. J’avais honte et peur. Le professeur a fait comme si de rien n’était. “Elle progresse bien” a -t-il eu le culot de lui dire. Quel faux-cul ! Je n’ai plus jamais voulu aller chez lui. Ma mère n’a pas compris pourquoi. Sale porc va ! |
4 | Je sais même pas si ça compte mais quand j’étais en primaire, un élève plus âgé me forçait à des attouchements en utilisant la violence et il incitait d’autres élèves à faire pareil. Je n’étais pas la seule fille concernée mais un jour, je me suis faites surprendre sans pantalon avec la tête d’un garçon entre mes jambes et évidement c’est moi qui me suis faites grondée par la surveillante ! j’ai su que l’instit voulait punir les garçons mais pour la direction, il fallait surtout que ça ne se sache pas, donc on nous a mis une pression terrible pour qu’on ne dise rien “ça ferait de la peine à ta maman” “tes parents seraient fâchés contre toi”. On m’a terriblement culpabilisée et quand j’en ai parlé à un mec des années après, j’ai clairement vu que cette histoire l’excitait. |
4 | A 13 ans au collège, dans les années 80, cela est arrivé plusieurs fois. Le même garçon m’attrapait et me tirait dans un coin à l’abri des regards pour me toucher de force les seins et l’entre-jambe. Je me sentait comme un animal traqué, avec la peur de me faire à nouveau attraper de force. Parfois cela s’est passé devant d’autres élèves qui n’ont rien fait. J’avais tellement honte que je n’en n’ai parlé à personne, ni à mes parents ni aux surveillants. Comme si dans mon inconscient il n’y avait aucune solution pour une femme que de se cacher et subir dans le silence.
Cette expérience, même si ce n’est pas un viol, a paramétré ma vie de femme. J’ai eu de belles histoires d’amour mais j’ai toujours été très méfiantes envers les hommes. Et surtout très consciente que mon corps pouvait être déclencheur de pulsions chez eux, quand bien même ma tenue vestimentaire était très correcte (dans les années 80 les filles étaient en jean et pull donc en plus : rien d’affriolant). Même le fait de marcher dans un endroit ou d’être à proximité d’un homme inconnu mettait une petite alerte dans mon inconscient comme pour me dire “attention à tes gestes , attention à tes regards, contrôle ton attitude pour éviter absolument qu’il s’intéresse à toi pour ton corps”. Pendant de longues années, j’ai occulté cette expérience et je l’ai mise dans un coin de ma tête où je n’y pensais plus. Il y a quelques années, cela est revenu à ma conscience je ne sais pas pourquoi. J’ai réalisé que j’avais été une victime et que cela avait eu quand même des conséquences sur ma vie et ma confiance en moi.
Je n’ai rien contre les hommes et d’ailleurs je ne pourrai pas vivre sans eux, car ils m’apportent beaucoup, mais il faut qu’ils prennent conscience qu’on n’en peut plus d’être à la merci de certains qui sont mal intentionnés et qui profitent de leur force physique pour nous abuser.
Moi j’ai éduqué mon fils dans le respect de la femme. Il faut que chaque parent pense à expliquer tout cela à leurs garçons et leurs filles, car ATTENTION nos enfants sont tous de potentiels violeurs-harceleurs ou victimes. |
4 | j’avais 13 ans, au collège Paul Cezanne à Mantes-la-Jolie dans les Yvelines, il était en Ccpn
il me harcèlent depuis un moment pour sortir avec moi, je ne voulais pas, il m’attendait à chaque fin cours. Je me dépêchais de sortir et m’arrangeais pour ne jamais être seule. Puis un jour, il a réussi à m’isoler et m’a poussé sous un escalier, il m’a fait tait tomber et s’est allongé sur moi. Il a forcé ma bouche, touché mes seins, passé sa main dans ma culotte tout en essayant d’enlever mon pantalon.
Ce qui m’a sauvé du viol : un pantalon ultra slim, mes cris qui ont alerté la salle des profs et la mesure que je lui est infligée.
Il a été exclue 15 jours de l’établissement, point final.
A 47 ans j’ai toujours son acte, son nom et prénom gravés dans ma mémoire. |
4 | 11 ans, classe de neige et le cuisinier qui joue la proximité avec tous les enfants, il rit et blague avec nous. Il me surprend pendant que j’attends au wc, me coince et me plaque contre les portes pour m’embrasser et me pelote en me faisant des propositions indécentes. Frayeur épouvantable, je réussi à m’enfuir. il reviendra à la charge pendant tout le séjour mais la colère m’a probablement sauvée car j’ai réussi à le tenir à l’écart grâce à mon agressivité extraordinaire à son égard. Malgré tout, j’ai eu une énorme culpabilité sur le moment sans savoir pourquoi. Je n’en ai parlé à absolument personne et ai même rayé complètement cet épisode de ma mémoire pendant 20 ans. Ce souvenir m’est revenu avec une violence inouïe juste avant d’être maman et avec une nouvelle culpabilité monstrueuse… de n’avoir rien dit, d’avoir oublié et de lui avoir peut être et certainement permis de refaire peut être même pire, j’en garde encore une culpabilité terrible, presque 40 ans après, je m’en voudrais probablement toute ma vie de ne pas avoir pu protéger d’autres qui auront eu moins de chances que moi avec ce pervers .
Je vous en supplie, Parlez ,Osez dire, Criez haut et fort, et même Hurlez !!! Chaque fois que nous pouvons éviter que cela se reproduise. Ce sont des criminels ! |
4 | Cela fait maintenant bientôt 40 ans que les faits se sont déroulés. J’étais interne en 6ème dans un collège de l’Ain à Belley. Mon professeur d’anglais m’a coincée seule à la fin du cours prétextant un devoir et il m’a embrassée et caressée et touchée, me forçant à le caresser aussi! J’ai été malade durant plusieurs jours , mon corps a réagi violemment. Il a eu peur et venait même me voir à l’infirmerie de l’internat! je n’ai rien dit! La première fois que j’en ai parlé j’avais 35 ans. Je sens encore son odeur et celle de son parfum et quand je croise cette odeur dans la rue, cela me fait encore vomir! je voudrait tellement aujourd’hui crier son nom sur la place publique. cela me ferait un bien fou! Et je sais que je n’ai pas été la seule interne concernée! proie si facile car loin de la famille, milieu rural et excellente élève! bref ce salop à détruit une partie intime de ma vie. |
4 | Bonjour j’ai 12 ans et je passe en 5eme à la Rentrée. En janvier 2022 , j’ai été en “couple” avec un garçon de 5eme . Au début tout se passait bien, car je ne le voyais pas, il avait le Covid. Mais quand il est revenu à l’école, il voulais qu’on reste que tt les deux. Et il se rapprochait bc de moi en marchant dans la cours. Il voulait absolument qu’on s’embrasse, qu’on se donne la à main, mais moi je voulais pas, j’étais pas encore prête. J’ai remarqué que quand on était ensemble, il me caressait le dos avec sa main et baladais sa main plus bas. En gros, il faisait glisser sa main sur mes fesse. Un autre jour il m’a dit “J’voulais savoir, c pas pr que tu m’quitte mais, est ce que t’as des seins ? ” J’ai été choqué et j’ai répondu que non, pas encore, il avais un visage déçu après cette réponse. Il me caressait aussi les cuisses des fois,et voulais juste être avec mon corps,pas avec moi
Cette situation à durée seulement trois jours,je l’ai quitté après . Il assume pas se qu’il a fais,il l’a fais à d’autres fille,pas qu’a moi.J’en ia parlé à ma CPE,la psy scolaire mais il n’ont RIEN fais contre lui ni pr m’aider …J’ai fais des cauchemars où il me violait ect… Est ce que c un agression sexuelle ? |
3 | j’ai subi des agressions sexuelles à répétition de mon frère aîné entre l’âge de 7 ans et 14 ans environ. Tout se passait dans la chambre que nous partagions. Il me demandait de venir dans son lit et abusait de moi. J’étais dans un état second et ne pouvait réagir. Plus tard, lors d’un camp d’ados avec mon lycée en Allemagne, j’ai également été violé par notre hôte : nous étions logés dans des familles et en l’occurrence, j’étais reçu par un monsieur seul apparemment.
Tous ces souvenirs sont remontés à la surface vers l’âge de 50 ans et ont entrainé une dépression. Je pense que ces blessures sont toujours là malgré la psychothérapie qui m’a bien aidé. |
3 | Pas chanceuse en amour mais avenante.
Je reste donc positive, j’étais maman de 3 enfants à l’époque quand je rencontre un homme .(que je vais appeler P)
Complice,à l’écoute, toujours de bon conseil enfin que du bon.
A notre troisième année de relation ,je lui apprend que j’attends un enfant,le notre.
Là, je remarque un changement total,mais indépendante je me laisse pas enfaillir par les émotions et je garde l’enfant.
Au troisième mois de grossesse j’apprends une horrible nouvelle qui change le court des choses .
Ma fille cadette me fait savoir que P lui a proposer lors d’une conversation de se masturber un soir devant lui.
Je porte plainte .
La ,j’observe mon aînée qui est quasi insensible à la situation de sa sœur.
Et je trouve cela étonnant, et c’est à ce moment que je decouvre avec stupeur que mon aînée agée de 14 ans était entrain de subir un viol qui a durer 10 mois jusqu’à ce que je découvre le poteau rose. Second plainte déposée
A ce ce jour Rien n’est fait,je gère cette situation seule avec 4 enfants dont 1 bébé de 9 mois .
En attendant,nous voyons un psychologue familiale, une psycomotricienne pour mon aînée car elle faisait des cauchemars.
Je me sens isolée et je ressens une certaine incompétence juridique volontaire.
Bien evidement, le prévenu dément cette histoire,ce qui étonne personne.
J’ai dénoncer des faits graves qui représentent un délit, est ce normal de ressentir un certain déni?
Je fais appel à votre soutien pour m’aider à mieux comprendre et améliorer mon quotidien. |
2 | J’arrive devant le gynécologue, il ne voudra pas lire le mot du généraliste, et va commencer à me poser des questions insinuant que je mène une vie de dépravée sexuelle avec un ton sévère. Je reste là, sidérée avec la peur au ventre, il va vouloir m’examiner sans savoir pourquoi je viens. Le cul nu sur la table, il ne me parle pas et je prends en moins de trois minutes, le doigt, le spéculum et le tube d’examen d’echographie, qu’il va tour à tour enfoncé en moi en forçant avec un geste rapide l’entrée du vagin, sans gel, il retire tout aussi rapidement le spéculum le doigt et le tube d’echographie, je me relève en état de sidération, il dira que je n’ai rien et après ça il va continuer à me dire que je mène une vie amoureuse deglingandee, je tente de me défendre verbalement il va me foutre à la porte de son cabinet comme si j’étais en faute, en me disant la prochaine fois que vous pensez avoir un problème allez aux urgences, et je realise le lendemain que je n’ai pas entendu le déballage d’instruments propre. Je cours le lendemain aux urgences, raconte l’agression, je suis à 16 de tension, d’habitude j’ai 11, un gentil gynécologue arrive quelques heures plus tard, et utilise le kit agression sexuelle, pour voir si j’ai été contaminée par une MST. Il va détecter aussi une cystocele, et je serai mise sous antibiotiques pour dix jours, on m’envoie passer une échographie qui confirme la cystocele et le kyste vaginal, et on me dirigera vers de la rééducation périnéale. Pour le kyste vaginal il faut que je passe un scanner injecté. Le premier gynécologue a dit que je n’avais rien. J’appelle SOS viol, raconte et fini par déposer plainte pour viol. C’est en cours. Pendant un mois suite à cette agression, je n’arrive plus sortir de chez moi, je n’arrive plus faire mes courses, je n’arrive plus me déshabiller pour passer à la douche, ni pour me coucher. Je dors tout habillée, j’ai des difficultés à manger,je dois consulter une infirmière psy d’un CMP, qui m’aide à retrouver le contact avec mon corps et le plaisir de vivre. Suite au dépôt de plainte, je vais recevoir des mails nocturnes du gynécologue dans lesquels il me menacera de m’obliger à passer une expertise gynécologique avec plusieurs témoins, et une expertise psychiatrique tout ça en pleine nuit et de m’attaquer avec son service juridique. Je réponds qu’il n’y a pas besoin de faire tout ça. Pour être sûre que j’ai bien une cystocele, un kyste vaginal, je retourne voir un gynécologue qui confirme le diagnostic du gynécologue des Urgences. L’ordre des médecins est obligé de s’interposer pour dire à ce gynécologue qu’il n’a pas le droit de me menacer ni de me contacter. De temps en temps, le souvenir de la consultation revient je me pétrifie et ça hurle dans ma tête comme si je m’entendais hurler à l’intérieur de ma tête. Ça passe, je respire, tente de prier, l’infirmière Psy m’a expliqué que ça risquait d’être long pour m’en sortir. Je réalise que je ne serai plus comme avant et je décide de faire de cette agression une force. J’écoute Boris Cylrunik qui fait des conférences sur la résilience, je jeûne et prie pour trouver la force de maintenir ma plainte et le courage d’affronter ce gynécologue qui pour moi est un homme dangereux. Courage à toutes ne vous laissez plus agresser sans rien faire. |
2 | je ne rêve pas je suis assise dans un car et mon voisin de siège est en train de me tripoter la cuisse,je fais quoi?” J’ai finalement pris sa main et l’ai repoussée en le regardant dans les yeux . Il a rigolé, ce porc! |
2 | Sauf qu il ne m entendait pas ou ne m ecoutait pas, je criais non mais il continuait et a fini par rentrer le bout. Je l ai repoussé de toute mes forces et je l’ai engueulé tellement violemment le traitant pratiquement de violeur qu il a finit par pleurer recroquevillé dans la baignoire. |
2 | Je rentrais seule chez moi après minuit à Paris. C’était l’été, j’avais une robe longue rouge. Et par prévoyance, j’avais mis un sweat pour me couvrir au moins un peu et ne pas trop attirer des regards et éviter des problèmes de harcèlement. Parce que oui, j’avais une robe rouge, attention ! Mais bingo, ça n’avait pas suffi.
Je marchais, et je vis deux mecs au loin. Je savais pertinemment qu’il y avait une forte chance que ça soit des harceleurs de rue, ça se voyait à leur démarche de chien errant.
Je ne voulais pas avoir peur, je ne voulais pas changer de chemin à cause d’eux, alors peut être avec insouciance, j’ai marché dans la même rue qu’eux. Erreur ?
L’un des gars commença donc à changer de direction pour venir me parler. Je levai les yeux au ciel mais je gardais mon calme. Il me demanda comment aller à Chatelet. Je lui répondis calmement, et lui donna la direction. Puis, il continua à me parler, à me demander où j’allais, ce que je faisais, (les questions types du harceleurs). Je lui répondis « je rentre chez moi, il est tard et que je veux être tranquille, seule ». Il continua et insista. Je n’écoutais plus et je répétais sans cesse “laisse-moi tranquille”. Il restait à côté de moi comme un parasite. Il ne captait pas qu’il était juste ridicule et qu’il me manquait de respect. Je commençais donc à bouillonner à l’intérieur. Puis, grand final, cerise sur le gâteau, Il me dis “mais t’inquiète pas, je vais pas te violer, je vais pas t’agresser, c’est juste que ta robe rouge, ça me…..humm ” et il n’arriva même pas à exprimer sa pulsion bestiale d’homme répugnant et incivilisé. Il fit juste ce geste avec ces mains, les poings serrés, comme s’il ressentait une imminente envie qu’il essayait de réfréner. C’était ridicule, j’hallucinais. C’était d’une bassesse. Il justifia son manque de respect en accusant mes vêtements. J’étais folle intérieurement. Je me disais, oh non encore un. Je ne suis pas quelqu’un de violente ou de sanguine, mais j’avais vraiment envie de lui faire bouffer le sol. Mais moi, ma pulsion, je savais comment la rationaliser et la canaliser.
Heureusement, on est arrivé sur un carrefour et j’ai pu bifurquer dans un chemin opposé. Son ami m’a crié des conneries en rigolant, parce que la situation le faisait rire. Mais il n’y avait rien de drôle. Ton pote venait clairement de m’agresser verbalement. Il y en a marre des hommes qui ne savent pas respecter les femmes, les humains. |
2 | Alors que je marchait dans la rue un homme m’avais repéré derrière moi, il me paraissait tout à fait normal. C’est alors que je suis passé sous un tunnel, et je l’ai entendu courir par derrière vers moi et m’a littéralement pressé ma fesse en passant sa main sous mon short qui était pas court mais assez large pour laisser passer une main en dessous. Il s’est ensuite enfuis a toute vitesse. Je suis sous le choc, c’est vraiment honteux, je me sent tellement mal, mais le fait d’en parler me soulage un peu |
2 | J’ai besoin d’aide, de parler sûrement. C’est un homme que j’ai rencontré dans la rue. Je ne suis pas fermée à la discussion… j’ai parlé avec lui un moment. Mais quand il a fallu se défendre je n’ai rien su faire que d’aggraver mon cas.
Il n’arrête pas de toucher des filles dans une église apparemment, et se fait traiter de violeurs.
Je viens d’appeler la police, car il est devant chez moi ce soir, à me surveiller. Je n’en peux plus. J’ai peur des représailles j’avoue.
Il avait mal au dos quand je l’ai rencontré et j’ai juste voulu lui donner un coup de main.
Et il m’a touché les seins, il m’a léché la main et il a touché mes lèvres, il a commencé à me caresser sur tout le corps. Et au niveau du ventre. Il s’est mis face à moi et voulait être très proche. J’ai dit d’arrêter que ça ne se fait pas, mais j’ai rien su faire de plus, j’ai pas su me protéger ni violemment m’en écarter. Tout ce que j’ai su faire c’était rentrer chez moi, mais le problème c’est qu’il m’a suivi et manipulée. Je l’ai mis dehors à la porte de chez moi, mais il a ouvert. Il m’a suivie et il est rentré chez moi de force et par la ruse. je n’ai pas su réagir comme j’aurais dû… je suis déçue de moi-même, je me demande comment j’ai pu être si bête.
Je suis restée enfermée avec lui chez moi pendant 3h à le supplier de partir, il s’est mis en caleçon et m’a jeté son tee-shirt dessus, il m’a fait des remarques méchantes. Il avait l’air de perdre totalement la boule. Au bout d’un moment j’ai crié pour qu’il sorte, je lui ai ordonné de sortir de chez moi. Il a élevé la voix contre moi et il n’est pas sorti. J’ai eu peur, je me suis tu, et j’ai accepté.
Puis au bout d’un moment, j’ai fait mine de le laisser chez moi tout seul, je n’en pouvais plus d’être enfermée avec lui. J’avais l’impression que c’était une vraie torture. Je suis sortie, et il a eu peur que je l’enferme chez moi, alors il m’a suivie. Il ne voulait plus me lâcher.
Je suis partie et c’est ce qui l’a fait sortir. Une fois qu’il était dehors, j’ai commencé à marcher vite, puis j’ai couru et il m’a perdue de vue.
J’ai très mal au ventre ce soir et je me dis que vraiment je suis trop bête, je sais pas comment j’ai pu laisser faire tout ça. J’ai peur, c’est tout ce que je sais.
Je l’ai revu avec horreur par ma fenêtre. J’ai peur de porter plainte car ils vont dire forcément que j’ai bien voulu et bien consenti à tout ça. Or c’est totalement faux, c’est juste que je me suis sentie impuissante et incapable de réagir avec intelligence.
En plus il n’a pas arrêté de dire aux filles qui passaient dans la rue qu’elles ne doivent pas s’étonner de se faire violer si elles portent un short, il n’arrête pas de dire à toutes les filles qu’elles sont belles. C’est dégueulasse.
Romane |
2 | Hier soir, c’était juste un homme qui demandait de l’argent et qui en profitait pour me dire que j’étais jolie. La nuit précédente, c’était un homme qui me courait après en centre ville pour me dire que je suis sexy. La semaine dernière, c’était un homme qui me disait que j’étais belle et qu’il voulait me lécher. Je ne compte même plus. |
2 | Il fait chaud, je mets une mini jupe.
4 hommes dans une petite rue deserte : “Humm c’est mignon, je lui mettrai bien une cartouche” |
2 | J’ouvre la fenêtre pour aérer deux de mes voisins à chaque fois dès qu’ils me voient font des gestes obscènes.
Je les ignores mais c’est pas normal et déjà au début quand j’ai emménagé j’ai eu l’impression qu’ils regardait par chez moi à la fenêtre. |
2 | Bonjour j’ai acheté l’année dernière une maison …depuis mon voisin me harcèle…il a franchi récemment la barrière en me faisant des propositions sexuel et ma toucher à plusieurs reprises sur mon corps …il me dit qu’il bande quand il me vois et il surveille mes arrivées chez moi …il se tiens tout les jours devant ma fenêtre..surveille si j’ai un petit ami …la police me dit qu’il ne peuvent rien faire …je me sent perdu faible et sale je ne sais pas quoi faire aider moi svp aider moi je vous en suppli je ne peux plus vivre ainsi |
2 | Pourquoi quand on attends seulement un bus certains homme pensent elle a l’air d’être seule je vais la suivre pour draguer et si on s’en fou, qu’on a peur qu’on choisit pour notre sécurité de s’écouter en ne leurs parlant pas pourquoi certains perssistent?
Est-ce que c’est maladif de leurs part ou étais-ce un moyen du temps de nos grands-parents dans le temps de choper une femme?
Se mettent-ils des fois dans nos têtes qu’on a le droit de ne pas être intéressée.
On est-ce trop tard?
J’ai besoin de me confier car j’en ai marre d’être draguée non-stop dans la rue par des vieux personnages relous. |
2 | j’en ai marre du harcèlement de rue et partout ailleurs, besoin d’écrire et de balancer des porcs . Des hommes de tout âge certains ont l’âge d’être mon père, voir grand père. Ces regards lubriques à vomir, je n’ai que 23 ans et pourtant depuis mes 17 ans j’en ai tellement tellement entendu, je sature.
Le regard malsain qui fixe et analyse de la tête au pied en pleine rue « charmante, quelle corps, hmm corps magnifique… » ou des bruits, se sentir comme un morceau de viande, humiliée. Je ne compte plus les « salope », « grosse salope » suite au refus , on m’a même dit un jour suite à un refus catégorique d’avance de nature sexuelle « tu es faite pour être une salope, tu n’es pas faite pour être en couple ou encore moins le mariage » , cette volonté de descendre à tout prix, d’humilier car leur ego de pauvre type est blessé. ( tu n’es pas une fille bien, tu seras jamais…)
Un exemple parmi d’autre qui m’a marqué : Il y a de cela 4 ans en allant chercher ma commande dans un resto, un homme d’une soixantaine d’année m’aborde, il me dit qu’il est ancien proxénète et qu’une fille comme moi ça peut rapporter 400euros par jour facilement. Il me reluque horriblement, je me suis sentie honteuse alors que je n’ai rien fait , c’est ce qui m’énerve le plus pourquoi se sentir comme ça alors que je suis la victime ?! Ce n’est pas normal d’entendre des propos pareilles à 19 ans (a toute âge d’ailleurs mais je veux dire si jeune ) , et si c’était « que » ça… j’étais choqué j’ai récupéré ma commande et refuser de lui adresser la parole il a crié quand je suis sorti disparaît de ma vue, et que je te croise plus jamais ! Personne n’a réagi et on m’a regardé moi.
La 1ère (et dernière fois) que je me suis rendu en boîte avec des copines j’étais en 1ère année de fac, a peine sur la piste on s’est frotté à moi et d’un coup on m’a retourné et embrassé de force. Je me souviens encore de la sensation d’une langue dégoûtante entrée par surprise dans ma bouche et de mains répugnantes qui me tripotent. J’ai eu envie de vomir, une nausée puissante et je l’ai repoussé de toute mes forces et suis sorti ( j’ai heureusement retrouvé mes copines quelques minutes après).
Dans les emplois étudiants que j’ai pu faire j’ai eu aussi des expériences de porcs. un collègue vicieux ( avait environs 50 ans ) qui frolait mes fesses, quand il faisait la bise il mettait parfois sa main sur ma taille ou me serrait, effleurer mes seins l’air de rien bien sure, faisait des commentaires déguisés « compliments »sur ma tenue.
Dans un autre travail j’ai subi les commentaires sexistes de certains collègues « je te laisse en bonne compagnie » , « t belle comme ça » ou un autre « un corps comme ça c’est parfait au lit » qui a osé m’a proposer une aventure (homme marié de 40 ans avec 4 enfants dont il me parlait en +) . Un autre collègue qui me dit « ah tu as oublié le rouge à lèvres je peux te mordre la lèvre elle sera bien rouge » . Bref après 4 mois j’ai pu enfin quitté ce job.
Il y a 3 ans, un homme qui me plaisait beaucoup au début, on échangeait beaucoup et on commençait à se voir (des sorties à l’extérieur), après 2 mois il m’invite chez lui. On dîne, regarde un film, on s’embrasse sur le lit il me caresse la poitrine et ailleurs, je suis excitée et consentante à ce moment là. Après 10min , il était toujours très excité et désire aller plus loin mais d’un coup j’ai eu la nausée et ça m’a stoppé nette toute envie, alors je lui ai dit que je ne voulais pas aller plus loin que j’avais trop chaud en le repoussant. Il l’a mal pris, il m’a immobilisé brusquement je n’arrivais pas à bouger parce qu’il était bien plus fort que moi. Il s’est frotté, et m’a dit que s’il le voulait il pouvait me violer. J’ai eu très peur et c’est ce qu’il voulait car il a fini par me lâcher. Apres, il m’a donné une fessé et forcé à lui faire un bisou pour pouvoir partir. Quel taré.
Ce n’est qu’un échantillon que j’ai livré ici et j’ai déjà beaucoup écrit …Aujourd’hui, je n’arrive plus à faire confiance aux hommes et n’aime pas qu’on me touche, ça m’écœure. Faites attention à vous, et sachez que vous avez beaucoup de valeur peu importe ce qu’on veut vous faire penser. |
2 | C’était il y a plus d’un an, un vendredi soir d’hiver aux alentours de 23h – minuit. Au bistrot *******, un monsieur d’une trentaine d’années m’a mis une main aux fesses après / avant de tenter de m’embrasser. J’ai d’abord été en colère contre les personnes qui avaient été présentes. J’ai réalisé ensuite que ma réaction avait était insuffisante, que l’argument comparatif en matière de comportements masculins / féminins lui avait donné à penser que j’avais très envie de discuter avec lui. Le lendemain après-midi, il s’est assied à côté de moi. J’ai agi de sorte à mettre un terme rapidement à notre conversation. Néanmoins, ces quelques mots m’ont appris qu’il était agent immobilier. Je reste incertaine de son identité, il est parfois appelé ‘*****’ ou ‘********’ et sa présence est épisodique.
En assistant plusieurs fois à des formes de violences sexistes, à la complicité féminine qui les soutient, à leur inscription dans les intervalles d’un conflit partagé de générations, des cultures (professionnelles, constructions citadines versus provinciales), à la portée des miennes qui taisent longtemps ces agissements : j’ai le sentiment d’y rester permissive sous peine de représailles, de vengeances et d’exclusion sociale
J’ajouterai ce post en complément de plainte |
2 | J’habite une résidence « sécurisée », pourtant j’ai déjà vécu le harcèlement de 2 voisins.
– je fume à l’exterieur, il m’accroche et vu que je l’ignore, il se met à dire mon prénom en se caressant le sexe. Quand je suis allée déposer une main courante, les flics n’avaient « pas le temps ».
– un autre avec lequel j’ai discuté une fois, qui, après m’avoir vue passer avec mon compagnon, s’est mis à me crier « je t’aime **** » systématiquement. Il s’est heureusement arrêté quand je l’ai complètement ignoré.
Je suis obligée d’être vigilante pour les éviter. |
2 | Lors de mes 27, j’ai voulu prendre une photo dans la rue, je demande a un travailleur. Il me demande si il peut prendre une photo de moi nu. |
2 | Je rentrais par la porte de mon immeuble quand un homme s’est approché et est rentré lui aussi dans mon immeuble après moi. Je pensais qu’il devait être mon voisin et habiter dans le même immeuble que moi. J’avais un mauvais pressentiment alors je l’ai laissé passé devant moi. Il a commencé à monter les escaliers en étant devant devant moi puis il fait style qu’il avait oublié un truc alors il a descendu les escaliers et est passé derrière moi et s’est penché pour regarder sous ma robe !! Je l’ai poussé et l’ai viré de mon immeuble avec un coup de pied dans le cul en hurlant par peur qu’il me frappe ou riposte ou tente quelque chose de plus avec moi. Je l’ai traité de pervers et de sale clochard degeulasse, j’allais rentrer chez moi et je n’avais plus aucune batterie, sinon j’aurais appelé me la police …
horrible sensation de se faire mater comme ça le pire c est qu il en souriait… ce genre d’agression dans la cage d’escalier de son propre domicile…. maintenant il sait ou j’habite |
2 | L’an dernier dans un supermarché de ma ville, j’étais au rayon légumes, un concombre à la main pour le mettre dans le sac en papier… Un pervers d’environ 30 à 40 ans en tenue de sport, le regard de prédateur et lubrique puant le désir me demande le calibre… Je l’ignore, tente de partir. Il commence à me caresser l’épaule en regardant ma poitrine… Je suis partie dans un autre rayon, ai attendu qu’il parte, signalé son comportement et vérifié qu’il ne m’attendait pas en sortant. Si je l’avait croisé dans un autre endroit je n’ose imaginer… Il avait ce regard de violeur… |
2 | Apres avoir déposé mon fils à l’école ce matin, je traversais un passage piéton pour rentrer chez moi. Un homme, passager d’une camionnette, a sorti sa tête par la fenêtre en criant “balance ton abricot”. Homme de 40 ans, sourire pervers et niais. J’avais une robe longue, ça a dû l’exciter. J’etais en colère, je lui ai lancé un regard noir, et à la fois, j’ai eu de la peine pour lui… Il doit être frustré ! En même temps, qui voudrait d’un homme aussi mal éduqué ? ! |
2 | Je décide de sortir en jupe pour la première fois de l’été. Je n’ai que cinq minutes de trajet à pieds pour me rendre au centre-ville. Il n’a fallu que deux petites minutes pour que je croise un gars qui me dit en passant juste à côté de moi “Hmm.. j’te mettrais bien une grosse claque !” J’étais choquée.. puis j’ai fini par lui hurler une grosse insulte en guise de réponse. S’il a osé m’afficher avec ses remarques obscènes, alors lui aussi a le droit d’être affiché en pleine rue au même titre que moi ! C’est lui qui devrait avoir honte, pas moi ! |
2 | Une voiture grise s’est garée devant mon lieu de travail, des collègues sont sortis,
le gars dans la voiture fait une proposition à une personne;-Tu veut me toucher?
Elle répond ;-non.
Le lendemain elle en parle à un moniteur, je suis en esat, le moniteur lui dit de faire une photo s’il reviens, il est revenu se garrer devant l’esat.
Le moniteur et le chef d’atelier lui ont dit d’arrêter de l’embêter sinon ils allait le signaler à la police.
Quand j’ai marché le gars s’est mis dans une autre rue et a commencé à me regarder bizarrement, j’avait mon casque sur les oreilles et j’ai fait comme s’il fesait parti du décor c’est un vieux monsieur s’il vous plait n’éffacer pas mon témoignage. |
2 | Faire confiance au garagiste pour une femme, pas d’autre choix. “Le mien” non seulement à mal réparé ma voiture mais a cherché avec une trés lourde insistance à s’occuper plus de mon “châssis” que du moteur de ma voiture. Gestes déplacés, propositions insistantes et gênantes . |
2 | Aujourd’hui il fait beau , il fait chaud , du coup je décide de mettre une jupe en jean avec des baskets et un t-shirt simple , une personne me balance a détour d’un carrefour « petite salope tu aimerais bien que je te lèche la chatte ! » , j’ai répondu , j’ai pris une baffe au visage alors je l’ai frappé moi aussi pendant que les autres autour nous regardaient en silence . Mais je me suis défendu . Je voudrais que ce genre d’acte n’arrive plus , j’aimerais pouvoir m’habillée comme j’ai envie , et j’aimerais voir les gens s’unir contre ce genre de personne . Battez vous ! Défendez vous ! Et portez fièrement une jupe ! |
2 | Je marche sans aucune vulgarité sans gêner personne, lorsque un sal chien aboie “Vous êtes vraiment belle mademoiselle ou madame, vraiment!” Je décide de ne pas répondre quand soudain le chien aboie de plus elle ” vous ne répondez pas? Ce n’est pas grave vous êtes belle et j’aimerai beaucoup faire l’amour avec
vous vraiment” ce à quoi dans une colère noire je décide de risposter et provoquer à mon tour avec assurance et calme mais sur un ton.sec et ferme “ce n’est pas parce que ta mère est une pute que toutes les femmes le sont” et là le.chien devient enragé “ce n’est pas bien de parler des mamans, ma mère est morte je vais te mettre une baigne tu vas voir, ça se fait pas ce que tu dis, je connais tous le monde ici…blabla” j’ai répondu droit dans les yeux ” tu veux.me frapper? Tu me menaces? Alors vas y ! Non seulement.tu m’insultes et me manque de.respect.mais tu me.fais la morale sur ce qu’il faut dire ou pas? Et en plus tu menaces de me.frapper parce que je me défends en me mettant à ton niveau pour te faire comprendre?”
Et je pars pour éviter la “baigne”
Et je me fais traiter de connasse au passage…
J’avais besoin de balancer ce porc du.quartier de Juan les Pins dans le sud. |
2 | Je ne vous raconterez pas que ce soir, 2 mecs dégueulasses m ont “courtisée” à gare du nord. Je ne vous raconterez pas que d après la ratp j avais encore 2 bonnes heures avant d être à court de trains.
Putain j en veux autant à ce fils de pute pour m avoir touchée, qu à la ratp pour ne pas avoir annoncé les derniers trains.
A toutes celles qui veulent se déplacer et avaient confiance aux horaires annoncés, MÉFIANCE.
L appli ratp ne vaut rien. rendez vous sur le site transilien, puis rentrez directement votre ligne SANS RENSEIGNER VOS GARES DE DEPART ET D ARRIVIVEE.
Bonne chance à toutes |
2 | J’ai été agressée dans la rue en rentrant d’une soirée: vol avec extorsion, étranglement, menaces de mort, tentative de viol et atteinte à la vie privée par diffusion de mon image sur les réseaux sociaux. Mon agresseur était mineur, 14 ans, connu pour de nombreux délits graves (vol à main armée, agressions, et j’en passe). Au bout de deux ans et demi d’attente dans le silence, je reçois un courrier de mon avocat m’apprenant que la juge a ordonné un non lieu à l’encontre de mon agresseur. Mon avocat me déconseille fortement de faire appel, alors que je fond en larme et qu’il me soutiens que c’est la justice française et qu’il faut me remettre, en minimisant ce que j’ai pu vivre.
J’ai récupéré l’intégralité de mon dossier pénal et après plusieurs analyses par juriste et avocat, il y a des coquilles dans l’enquête. La justice avait les moyens de condamner mon agresseur et ne l’a pas fait. Mon avocat aurait dû faire appel au vue du contenu de mon dossier, il ne l’a pas fait. J’ai mobilisée beaucoup d’énergie pour faire toutes ces démarches et aujourd’hui je reste seule avec ma colère contre les dysfonctionnements de ce pays. Mon agresseur est aujourd’hui en maison d’arrêt à l’âge de 16 ans. Je n’ose imaginer ce qu’il a pu commettre comme délits suite à mon agression, des délits qui aurait pu être évités si la justice avait fait son travail. |
2 | Bonjour, je viens de rentrer chez moi, un homme m accoste, genre demande de chemin, ensuite il tiens son membre dans ses mains et me demande par deux fois « t’en veux ? ». Je lui ai fait un doigt d’honneur tout en partant.
Je viens d’envoyer un message à mes sœurs, ma mère et copines, j’avais besoin de le raconter tout de suite, pour me libérer. J’avoue que j aurais aimé avoir une autre réaction, l’effet de surprise m’à bloqué! |
2 | En sortant du métro à Rennes (de nuit), un homme d’une vingtaine d’années m’as suivie jusqu’à une place où il m’as arrêtée en me demandant si on pouvait parler. Il était complètement bourré, prise de peur de le contrarié j’ai accepté de discuter avec lui en lui précisant que j’étais pressée et que je devais rejoindre un ami. Il a commencé a se rapprocher de moi en sentant mon parfum, et m’as demandé d’avoir mon contact téléphone, ce que j’ai refusé. Il m’ a alors pris mon téléphone des mains, puis a enregistré son numéro à l’intérieur en me demandant de lui envoyé un message par la suite et qu’il ne fallait pas que je mente en lui disant que j’allais le faire, sur un ton menaçant.
Au moment ou j’ai cru qu’il me laisserais enfin partir il m’as attrapé la main puis l’as embrassé. Après ça je suis partie a toute vitesse rejoindre mon ami. Il n’y avait personne autour de nous, juste son ami qui nous regardait. |
2 | Je me promenais en pleine journée près de Beaubourg à Paris et un inconnu m’a empoigné le bras pour m’embrasser de force sur la joue. |
2 | Je rentrais seule d’une soirée, il était à peu près 23h. Ma mère a préféré aller dormir pour se lever tôt le lendemain que de venir me chercher car mes bus étaient trop longtemps. J’avais seulement 15 minutes de marche et pour me rassurer j’appelle ma sœur pour être moins « seule ». Arrivée à un feu, un homme assis sur son vélo avec une place pour un enfant me sourit, je n’ai pas vraiment compris sans doute pensant que c’était un père de famille. Je marche et me retourne il était derrière moi pendant tout ce temps. Je continue de marcher et là il arrive derrière moi et met sa main en dessous ma robe et repart. Je crie de peur, et il me sourit et repars comme si de rien était. Appeurée, je décide de courir jusqu’à mon domicile et depuis c’est le choc. Flashback, angoisse et peur. Cela fait que 24h mais je pensais pas ressentir ça dans ma vie. J’espère qu’un jour les hommes pourront se rendre compte à quelle point une femme n’est pas un objet sexuel et que vos envies peuvent être contrôlées. Bien évidemment, les filles ne sont pas les seules victimes. Merde, laissez les autres vivent. |
2 | 20h je sors avec mon fils de 3 ans et demi, il est en vélo et moi à pied à côté, on décide de faire une petite balade avant de se coucher. Un ado passe à côté de nous en vélo et me met la main aux fesses. Je mets quelques secondes à percuter de ce qu’il vient de se passer, je lui hurle dessus mais il est déjà loin. Je suis hors de moi, j’aurais voulu lui courir après et lui mettre une correction… et en même temps je ne pouvais pas laisser mon fils seul. Je me sens tellement énervée… Comment expliquer à mon fils ce qui s’est passé ??? J’ai la rage |
2 | Bonjour ce matin un porc attend pour traverser au passage piéton il m aborde timidement en me disant il fait chaud… je suis pas farouche et devant sa gêne je réponds oui très chaud… il engage alors un brin de conversation en me demandant si je connais la région. Puis très rapidement m annonce je suis divorcé et me demande si je suis divorcée. Je réponds non mariée et pas de problème 20 ans avec le même homme…. alors me dit je m ennuie ce n’est pas facile je réponds alors ma cousine est libre elle n’a pas beaucoup de connaissance sur la région car elle arrive de Nice… j’ai rendez-vous avec elle alors il me propose très gentiment de nous offrir un verre… le trouvant sympa et l air triste j appelle ma cousine et lui lance l invitation pour boire un verre. Cette dernière accepte après une conversation animée par des banalités de la vie courante entre nous trois nous échangeons les numéros de portable. Le porc nous quitte en nous disant j’ai rendez-vous au coiffeur et nous demande si nous restons dans le coin. Bref ma cousine et moi partons faire du lèche vitrine… quelques minutes plus tard appel téléphonique du porc à ma cousine il lui demande de pouvoir venir nous retrouver dans cette boutique. Nous l avons trouvé gentil et ma cousine a accepté. Au bout de 5 minutes le porc devient insistant auprès de ma cousine et se colle presque à elle et lui dit je t appelle cet après-midi pour aller à l hôtel !!!! Ma cousine furax lui a répondu sèchement sûrement pas ça va pas !!!! Elle était abasourdie la pauvre. Rien ne laisser présager un tel comportement d un homme de 50 ans. Un porc à abattre par des insultes. C’est inadmissible. Ce porc croyait avoir une relation sexuelle pour avoir déboursé le prix d un verre de coca ! Vraiment lamentable |
2 | aujourd’hui je vais faire des courses à Leader Prince un homme d’une soixantaine d’années lorsque je faisais la qu’eux à la caisse s’est frotté sur mes fesse. |
2 | Bonjour, dans le village de ma mère je sortais fumer en cachette et retrouvait un groupe de garçons de mon âge pour discuter. Quand on était ados, on faisait des conneries mais ras. Mais quand j’ai du rehabiter dans le village de ma mère, il y avait un homme que je ne connaissais pas. Déjà bouc émissaire de ce groupe d’hommes j’y suis quand mémé retournée car finalement ça me faisait rigoler, le cannabis au centre de mon paradis artificiel. On buvait beaucoup, on fumait, ils riaient de moi et je riait aussi. Mais le “nouveau” qui est alcoolique a commencé a dire que j’étais sa femme et a me peloter devant les autres sans réaction de leurs part… Ca a duré plus de 5 ans. Déjà faible psychologiquement, ils se moquaient de moi, me faisaient fumer pour me voir defoncé et rire de moi. C’était très drôle de me voir ivre et qu’alexis me pelote en public pendant que je ne comprenais plus rien. Il dit de moi que je suis sa pute… |
2 | Je me présente je suis un garçon de 21 ans et l’été passé pendant un festival une femme m’a tiré de force dans sa tente pour avoir des relations sexuelles que je refusais bien sûr par conviction religieuse, c’était pendant les Ardentes 2018 ( festival en Belgique) |
2 | Je suis une fille en colère…ma mère a 61 ans et vit à Chanteloup-les-Vignes et hier soir, une bonne de jeunes de 15 à 20 ans maximum sur la place du marché l’ont agressé en voulant l’embrasser de force et lui faire soi-disant des câlins…Elle a été obligée d’arrêter une voiture et le conducteur a accepté de la ramener jusque chez elle…ma mère subit ce genre d’agressions très souvent de la part d’hommes jeunes qui ne respectent même pas son âge…
De plus, elle subit des insultes et des violences de la part de ses voisins tous les jours qui lui ont en 2 mois bouché 5 fois sa serrure…
Elle n’en peut plus malgré les mains courantes les plaintes au bailleur pour qu’elle soit relogée ailleurs rien n’y fait!
Ces messieurs en profitent car elle est seule sans défense, sans moyens financiers et moi, je téléphone,j’envoie des courriers mais je vis à 900 km…
J’ai peur pour ma mère car elle est épuisée nerveusement surtout qu’ella été violée à l’âge de 17 ans et que va t’il lui arriver si cela continue!
Voilà, je voulais témoigner pour elle car nous sommes désespérées… |
2 | Je revenais de mon cour de danse à pied vers 22 heure. Pendant le trajet du retour je croise un homme qui m’interpelle ” excusez moi mademoiselle ?” . Pensant qu’il voulait me demander son chemin , je m’approche sans me méfier. Sans crier garde il m’attrape les seins, me les serre fort, me les pelote …Passé l’état de choc, je frappe ses avants bras pour qu’il me lâche et me barre en courant. Heureusement il n’a pas cherché à me suivre. |
2 | Je sors de chez mon amoureux, à Genève. Une rue à traverser pour rejoindre l arrêt du dernier bus à minuit. Personne dans la rue. A peine la porte de l immeuble fermée, surgit un homme de 50/55 ans qui cherche à me tirer plus loin. Réflexe miraculeux de survie. J envoie plusieurs coups sans trop réfléchir, j hurle au secours en même temps. Un des tout premiers coups arrive dans les testicules. Il me lache, je pars en courant. Salaud. Je suis même pas alleee chez les flics, toute jeune que j étais. |
2 | Lundi matin 8h30, je vais déposer mes enfants à l’école, il fait beau, on va à pied, on croise un homme qui cherche son chemin, il me demande, je lui indique. Je ramène mes enfants à l’école, nous sommes devant l’école, l’un de mes enfants m’indique que l’homme de tout à l’heure est sur le trottoir d’en face et qu’il nous regarde. J’embrasse mes enfants et je leurs dis laisse, va à l’école et travaille bien. Je reprend la route vers la maison, l’homme traverse pour marcher quelques pas derrière moi. Je me retourne, il s’arrête et regarde dans une vitrine pour faire style qu’il ne me suit pas. Je continue d’avancer et je rentre dans la boulangerie. Je le vois passer devant la boulangerie, comme j’ai l’habitude d’aller dans cette boulangerie, je discute un peu avec la vendeuse. Cela fait un peu prés 10 min que je discute, je vois l’homme arriver dans la boulangerie, il me sourit et fait sa commande, moi je m’envais en direction de la maison. Au bout d’un moment, je dois passer dans un petit chemin sans vis-à-vis et ou il y a personne. L’homme se précipite en courant sur moi et me pousse contre les haies, il me dit que depuis tout à l’heure il attend que je suis seule pour pouvoir faire ça. (me tripoter et se frotter à moi) car dés qu’il m’a vu, il était tout exité. J’avais tellement peur que j’avais l’impression que je m’était mise en mode “off” comme les jouets de mes enfants, et il est parti. Aprés cela je n’osais plus sortir de chez moi, c’est mon mari qui allait conduire mes enfants le matin et ma soeur qui allait les chercher le soir. On m’a conseillé d’aller voir un psy ce que j’ai fait et maintenant je me sens mieux, j’ai aussi pris des cours de self défense pour savoir réagir si cela se reproduit. |
2 | Banale sortie dans la rue, au téléphone, un “homme” m’interrompt de manière à ce que je doive raccrocher. Je lui signal que je n’ai ni le temps ni l’envie mais il continu durant près de 5 très longues minutes avec “je fais pas ça d’habitudes mais…” “il faut qu’on se revoit…” blablabla je lui dit que non et que je dois rappeler la personne avec qui j’étais au téléphone, et il me dit “au moins jpeux toucher?” en parlant de mes fesses, et en commençant à le faire, je lui est dit d’aller se faire foutre et je suis partie. Par expérience je lui est répondu poliment dans un premier temps, il vaut peut être mieux envoyer chier les gens directement. Histoire banale, TROP banale, il n’y a pas de petit harcèlement, de petit attouchement, la violence naît dans ce contexte de “C’est pas si grave t’es rentrée chez toi” “ya rien eu” ou “ça t’as pas traumatisé” Non bien sûr je ne suis pas traumatisée, mais suffisamment énervée pour le poster le lendemain, malheureusement ça arrive tous les jours, tous les soirs, A TOUTES LES FEMMES. Imaginez quand c’est votre soeur, votre amie, votre mère, votre fille, ou votre femme qui sort même rien qu’acheter le pain en jogging/basket à 10h, et qui se voit proposer du SEXE en pleine rue, disons les choses, ou insulter, agresser. On est tous concernés donc ne crions pas au féminisme, (qui en soi réclame juste une égalité sans dénigrer personne.) Il m’a juste répondu, “C’est pas ma faute, on est comme ça nous, c’est t’es fesses elles sont trop attirantes, mais t’es qu’une salope, va le vendre ton cul!” On est comme ça qui? Les fins de race dans son genre? oui, c’est pas parce que c’est un homme, c’est parce que c’est un con. |
2 | Marie est la jeune femme qui le 30/07/18 a été harcelée sexuellement dans la rue par un porc, qui l’a violemment giflée, car elle a osé refuser d’être harcelée par lui !
La scène s’est déroulée devant un restaurant et la caméra a filmé l’agression du porc !
La télévision annonce ce jour qu’il est passé aux aveux, a reconnu le harcèlement et la violente agression envers elle !
Champagne mes frères et sœurs!
Portons tous et toutes un toast à Marie qui a eu le courage de porter plainte et de médiatiser son agression !
Bravo Marie ! Toutes les victimes se réjouissent de ta victoire ! |
2 | Diagnostiquée schizophrène puis bipolaire , je rencontre ce psychiatre à l’hopital ***********. Il devient mon sauveur, il a les mots pour me faire croire que non je ne suis pas folle mais plutôt “trop pure pour ce monde”… il est original, il me plaît,il met des musiques tout à fet à mon goût pendant les seances… Un jour subitement il m embrasse, je suis d’abord déboussolée/choquée puis je le laisse faire. J en avait rêvé!.. S en suivent des séances sans discutions, j ai du mal à dire STOP au contraire …jusqu’ à ce qu’ il me demande d être son esclave sexuel… avant de me diriger vers un autre hopital, je fini par parler à une infirmiere du même service sans vraiment le blâmer parce qu apres tout j etais consentante… elle me dit que ca ne l’ “étonne pas” qu’ elle n a jamais entendu parler du histoire pareil à son propos mais qu’elle n est pas étonné que nous ayons pu craquer l un pour l autre.. elle me dit aussi que ca restera entre nous et que si j en parle ca va foutre un sacré bordel.. Je vais donc me faire suivre ailleurs en mettant cette histoire de côté. Quelques mois plus tard je vais voir un gars qui dit pratiquer de la médecine chinoise, j ai des problèmes au niveau de la nuque du coup du dos.. Je fini par lui confier cette histoire. Il se trouve qu il a un ami qui travail avec ce psy et décide de lui en parler… ce dernier lui dit qu’ il y a déjà des plaintes envers ce psy pour ce genre d histoire… J ai fini par porter plainte, je ne comprenais pas pourquoi il exerçait encore tendis qu il y a plusieurs plaintes depuis 201? (Je ne sais plus)… l’enfer commence vraiment maintenant, j ai eu des info horribles sur ses pratiques…
J ai eu besoin de poster ceci parce qu hormis à la psy qui m accompagne, je n en parle pas tendis que ca me met dans des états pas possible
Aussi je me dit qu’ il faut être complètement tebé pour avoir voulu croire en sa bonne foi
Je pense que je vais chercher un association pour en parler
Il aurait violé une nana interné!
Je regrette de ne pas l avoir repoussé, de ne pas être allé en parler directement la direction
Jpense que je peux finir ce message par : si toi aussi ton psy te fait du rentré dedans (voir littéralement) dénonces le, aussi charmant soit-il, ca craint
S il est vraiment amoureux et plutôt saint il te demandera d arrêter les séances pour te voir dans un autre cadre j imagine… Je sais pas |
2 | Une simple consultation de renouvellement de traitement chez mon généraliste…. j’étais habillée, le médecin auscultait ma thyroide quand d’un seul coup sa main est descendu dans mon soutien-gorge, il a caressé mes seins sans aucune explication. Puis il m’a demandé de me mettre en sous-vêtements, ce que j’ai fait avec néanmoins une forte peur… son examen a été très insistant sur le bas du ventre. Il n’est pas allé plus loin… Au final, il m’a dit que j’étais en forme et qu’on avait envie de me taquiner. Je suis restée sidérée…. Cet événement s’est passé il y a environ 20 ans… Aujourd’hui seulement je me rends compte de la violence des faits et j’ose en parler…. |
2 | C’était en 2018, j’avais 22 ans et j’étais en période de grand stress pour mes examens de fin d’études. Je suis allée voir un réfléxologue dans le but de m’aider à traverser ce stress. Il s’est avéré que cet homme été un charlatan et a profité de ma vulnérabilité pour me faire tomber dans ses filets et en arriver à me faire des attouchements sexuels. Il s’est servi de son statut de thérapeute pour me mettre en confiance et progressivement arriver à ses fins en une dizaine de séances. Il me posait des questions sur ma vie privée et sexuelle, était insistant sur le sujet de la sexualité. Il m’a demandé de venir en robe à son cabinet puis au fur et à mesure s’est mis à me faire des “massages” du corps de plus en plus poussés. Il me demandait de me mettre en sous-vêtements, puis d’enlever mon soutien gorge, puis lors de la dernière séance m’a demandé de me mettre nue et m’a touché tout le corps, dont les parties génitales prétextant un “massage de médecine chinoise” en touchant des points soit disant pouvant m’aider à aller mieux. Il m’envoyait des textos tout le temps et était insistant et intrusif. J’étais tétanisée, puis j’ai réussie à stopper la dernière séance en lui disant que ça allait trop loin et que ses gestes me gênait. Il s’est arrêté vexé et je suis partie en me disant que c’était peut être normal dans son travail et que je m’était fait des films. J’ai occulté la chose et fait un déni pendant 1 an, j’ai “oublié” les faits en reprenant une vie normale et en arrêtant d’aller le voir. Mais un an plus tard jour pour jour j’ai commencé peu à peu à avoir des symptômes inquiétants: insomnie, crises d’angoisses violentes, perte d’appétit et de poids, nausées et vomissements… Je faisais une dépression. Je suis restée 2 semaines à ne pas comprendre les raisons de ma dépression puis j’ai eu un déclic, une révélation. Tout m’est revenu en tête et j’ai pu comprendre pourquoi j’étais en dépression. J’ai aussi pu en parler à ma famille et à mon conjoint et porter plainte contre cette ordure ! J’ai tout de même été hospitalisée 1 semaine en psychiatrie et suivi un traitement antidépresseur et anxiolytique pendant plusieurs mois. Depuis, je suis toujours suivie par un psychiatre et une psychologue. J’ai réussi à sortir de la dépression mais je suis toujours très fragile psychologiquement avec encore des angoisses. Mais le fait d’en parler m’a aidé. La procédure judiciaire est encore en cours, cet individu a été placé en garde à vue et j’ai été confronté à lui. Il a reconnu en partie les faits mais il dit que j’étais consentante ce qui est faux, il me fait passer pour folle. J’espère qu’il sera puni même si je n’y crois pas et que la police n’a trouvé aucune autre victime.
J’aimerais dire à toutes les personnes victimes d’abus, d’attouchements sexuels ou de viols qu’il ne faut pas se taire et en parler pour ne pas souffrir de dépression et ne pas laisser ces ordures s’en tirer comme ça. |
2 | J’ai parcouru ce site depuis quelques heures et je dois avouer que je suis heureuse de voir que les femmes et hommes victimes de violences puissent en parler librement et sans se faire juger.
Je dois avouer qu’après des heures de lecture on se sent forcément un peu “brouillée” car ce sont des récits poignant et ne peuvent forcément pas nous laisser indifférent.
Pourquoi suis je venue sur ce site ? J’ai rêvé tout simplement de l’ancien pédiatre de mon enfant….
J’ai vécu une magnifique grossesse (maman solo mais pétillante et pleine d’espoir dans la vie), je suis une femme combative, rien ne me fait peur, rien ne m’empêche d’avancer dans la vie, et je pense que c’est aussi cela qui a fait que j’ai mis de côté cette histoire.
J’ai accouché dans une clinique privée, j’avais un très bon gynécologue mais bon il avait un comportement étrange, je n’avais pas de souvenir particulier mais ma colocataire de chambre de clinique m’avait expliqué qu’il restait me regarder dormir tout les jours ou j’y étais (j’ai laissé passer, par contre je n’ai plus voulu aller dans son cabinet, c’était assez pour moi pour ne pas lui confier encore mon corps), dans cette même clinique il y avait ce pédiatre qui ausculté mon bébé, il était très pro et assez reconnu dans le milieu.
Je décide de ce fait de le garder pour les consultations de suivi, au début tout se passait super bien, calme, patient et des bons conseils car maman solo de 20 ans ce n’est pas évident, un jour j’ouvre le carnet de santé et je vois son numéro mobile dans le carnet, je lui demande pourquoi me le filer ? il m’explique que si il y a quoi que ce soit que je n’hésite pas à le contacter ( j’ai trouvé ceci naïvement bienveillant)
Un jour mon bébé très malade, je l’appelle, il arrive direct s’occuper de mon bébé sauf qu’au moment où il remplit les documents assis sur le canapé, il s’approche de moi et tente de m’embrasser, je l’ai recadré sec, je l’ai fais sortir de chez moi et je n’ai plus voulu le revoir.
Au début je pensais que j’avais peut être eu un comportement qui lui aurait laissé penser qu’il m’ intéressait ou quoi alors que pas du tout.
Alors que finalement c’est lui qui avait voulu profiter du fait que j’étais jeune et seule.
En tout cas je pense d’avoir écrit ceci, m’aura permis de libérer mon esprit de ceci, car je n’y ai jamais repensé sauf ce matin alors c’est qu’il fallait définitivement exorciser ce moment. |
2 | Lors d’une consultation chez mon médecin généraliste . Ce dernier étant positionné derrière moi a pris mes seins dans ses mains. J’ai bien sûr été très choquée. J’ai peur Qu il y ai d autres victimes. |
2 | J’avais 27 ans et je venais d’arriver en France. Lors de ma première et unique visite chez un acupuncturiste, quand j’avais des aiguilles sur mon corps, il a profité pour promener son doigt un peu partout sur moi. Je ne pouvais évidemment pas bouger. En fin de séance, sans savoir quoi faire, j’ai suis juste parti et j’ai eu un sentiment de honte et de saleté. Ma faute ? bien sûr que non ! il m’a téléphoné plusieurs fois après mais je raccrochais. Aujourd’hui, presque 28 ans après, je sens de la rage et à chaque fois que j’entends un cas sur les médias, tout me revient, dans le moindre détail. Monsieur continue à exercer son métier… j’imagine que je n’ai pas été la seule. J’aimerais bien que quelque chose soit faite, mais je ne saurais pas comment m’y prendre. |
2 | venue consulter pour un examen du coeur. il m’a sauté dessus en frootant son sexe en erection violemment contre mes fesses et il y a eu d’autres victimes à qui il a tenté un cunnilingus….. Bref 5 ans de prison avec sursis..et interdiction d’exercer…la defense, dont une femme avocate a evoqué le fait que notre motivation etait l’argent….Le requisitoire n’a meme pas évoqué de la prison ferme….Alors tant de bruit pour rien car la justice ne fait rien. Autant reagir de suite et lui en mettre une ca ira plus vite. Le reste n’est que du bla bla..Je peux aussi entendre la tribune de catherine deneuve… |
2 | Dans un village proche de Toulouse (15 km environ), un médecin généraliste pervers agresseur sexuel et peut-être viol (pénétration) encore en fonction, sous prétexte de visite médicale et de consultation pour un mal de dos et autres, il se permet de palper les seins des femmes vulnérables, il se met derrière elles et colle son sexe sur leur fesse lors de visites, de leur parler vulgairement et les prend pour des prostituées. Ce pervers a été pris en flagrant d’acte de pénétration sur une femme le soir très tard (20h30), il y a de cela 20 jours, non consenti, car fait sur la contrainte et sur intimidation et sur personne vulnérable de longue date (car dépressive au moment des faits) que sa position de docteur lui confère. La personne à qui cela est arrivé n’ose pas porter plainte, par honte de sa famille, de ses enfants elle n’ose aller plus loin, ce pervers détraqué l’a conditionné à ne pas le faire, il lui a dit il faut tout nier ” même sous la torture ” ce sont ces mots à ce pervers. De plus, dans ce cabinet il est peut-être possible que ses confrères associés soient au courant des ces agissements et le couvre par peur d’un scandale pour leurs business florissant, ou ne le savent tout simplement pas, car une fois la porte du cabinet médical fermée, nul ne sait ce qui se passe, mais à travers les cloisons mal isolées on entend tout ! Ce pervers sexuel incite les femmes et où les oblige à visionner des films porno dans son cabinet à l’abri des regards, ils leur parlent comme dans les films X, très crade, veux qu’on lui fasse des fellations sans préservatif, il veut les sodomiser, il demande qu’on le masturbe, les prends pour des jouées sexuelles… On me dit que moi le témoin, je ne peux pas porter plainte, et que je ne peux que faire un ” Procès Verbal de Renseignement Judiciaire “, qui au final autant l’avouer que cela ne servira à rien, et finira à la poubelle, on risque plus lourdement judiciairement de ne pas avoir payé un PV pour stationnement… Les gendarmes se doivent de faire une enquête dans ce village et il découvriront d’eux-mêmes ce docteur coupable des délits ! On me dit que c’est à la personne à qui cela est arrivé de le faire, j‘ai donné les raisons pour lesquelles elle ne peut pas le faire. Si des femmes ont été victimes, ont été abusée, par ce pervers et détraqué sexuel, ça serait bien qu’elles se manifestent et se déclarent, afin d’envoyer ce monstre vicelard devant la justice et qu’il réponde de ses actes ! |
2 | Je connais cet ostéopathe depuis quelques années (il a toujours pignon sur rue). La séance précédent la tentative de viol, il m’avait fait une légère caresse dans le cou avant d’aller me rhabiller, je n’ai rien dit mais je pense que j’étais sur mes gardes. Quand ce jour-là il m’a attrapé en me serrant très fort dans ses bras, en m’embrassant et en essayant de m’allonger sur la table, j’ai réagi très rapidement en me dégageant et j’ai réussi à aller dans la cabine pour me rhabiller et là, il n’a pas pu aller plus loin. Il était tout rouge et soufflait comme un bœuf.
Quand j’ai quitté son bureau, j’ai constaté que la porte était fermée à clef. Sa femme et ses jeunes enfants jouaient dans la cour juste en dessous.
J’ai 74 ans, cela s’est passée dans les années 89/90 dans le Loir-et-Cher. De le voir encore en photo sur Google me donne des hauts le cœur, mais je me dis que malheureusement je ne dois pas être la seule et peut-être continue-t-il encore. |
2 | Ma sœur, porteuse de trisomie 21, a été agressée sexuellement par un éducateur ; 3 de ses amis l’ont entendu crier, ont accouru et l’ont trouvé déculottée, en pleurs au pied de son lit. Mais, les témoins ont été briffés suffisamment pour qu’ils n’aient rien à dire à la Police le jour de la convocation. Ma sœur a été suspectée de fabulations, liés à son handicap !!! L’éducateur est toujours en poste. Le président de l’association propriétaire du centre d’hébergement s’est exclamé : “un viol…ce n’est pas le premier, ce ne sera pas le dernier !”. Un directeur s’est exclamé de son côté : “non, pas cet éducateur… vous vous rendez compte : il a une femme et des enfants !!!”. Le procureur n’a pas daigné répondre au dépôt de plainte. |
2 | Je n’ai pas connu un porc mais plusieurs…
J’avais 19 ans, je sortais de la fac située en centre-ville. Il était 19:30. Un inconnu s’approche, drague, tente d’obtenir mon numéro. Je refuse, cours et il m’attrape. Ses intentions sont claires. Il tente de me violer. Je passe les détails : attouchement, déchire mes vêtements… je parviens à m’enfuir, choquée …
Réponse des flics : « ma fille de votre âge ne sort pas dans des endroits peu fréquentés. Vous n’avez pas été prudente ».
Je sortais de la fac à 19:30 dans le centre-ville…
J’avais 26 ans, stage de juriste dans une grande entreprise. Assistante directe du responsable : harcèlement sexuel continue… « si tu es gentil, on te gardera en CDI ».
Je jette l’éponge, d’autres avaient cédés mais non pas eu le job!
J’avais 27 ans, un grand chirurgien m’examine et se masturbe sur moi…. Pas le courage d’en dire davantage. Quand j’en parle à mon petit ami de l’époque : « cela t’arrive souvent je trouve… Tu es toi même complice de cela ».
Qui sont les complices des coupables ?! Moi parce que j’étais jeune et jolie ou bien les flics et mon compagnon de l’époque ? |
2 | Lorsque j’avais 18 ans, je suis allée à la visite médicale du travail (travail saisonnier). Le médecin du travail m’a dit de me mettre entièrement nue et un passé un très long moment à toucher mes seins en m’expliquant qu’il étaient de tailles différentes. Je dois dire qu’avec la naïveté de la jeunesse j’ai laissé faire pensant réellement avoir un problème.
Plus récemment, ma gynécologue a demandé à avoir un deuxième avis par un praticien hospitalier. J’avais pris rdv avec un femme gynécologue et demandé à mon mari de m’accompagner. En raison d’un retard important dans le service de l’hôpital, j’ai été réorientée vers un autre médecin que a refusé que mon mari soit présent. Il m’a dit de me déshabiller dès le début du rdv, avant même d’aborder la raison de ma venue en le justifiant par le retard dans les rdv. Je me suis sentie vraiment humiliée de me retrouver de devoir m’expliquer nue devant ce médecin. L’examen qui a suivi a été pratiqué sans gants avec beaucoup d’insistance sur et dans mon sexe. Ce médecin a même introduit un doigt dans mon anus.
Entre l’humiliation et la peur sur le jugement qui serait porté sur moi si je contestais, j’ai laissé faire résignée.
A la fin de l’examen, j’ai même du me tenir debout et entièrement nue en faisant des mouvements de bras pour soit disant examiner le mouvement correct de mes seins.
Je suis ressortie de cette épreuve très perturbée. je n’ai pas pu en parler à mon mari tellement j’ai honte de m’être laissée faire. Il n’est pas envisageable de de déposer une plainte car dans notre société , une femme moderne doit se fait examiner sans discuter et fermer sa g……..
J’ai conscience de m’être laissée violer et je m’en veut énormément, j’aurais du insister pour être accompagnée, avec un témoin cela aurait été différent |
2 | Ce que je m’apprête a dire est sans doute un cas malheureusement commun à beaucoup d’entre nous.
À la suite de mon redoublement en terminale j’ai changer de lycée et je suis arriver dans un nouveau lycée, où je ne connaissais personnes. Le pire, j’étais dans une classe uniquement composé de garçons, j’étais donc la seule fille de la classe.
Ça a commencé par des remarques déplacées “est ce que t’es vierge ?” ou encore “tu t’es fait soulevé par qui ce week-end?”. C’était tout les JOURS, il ne se passait pas une journée sans qu’ils me demandent des choses sur ma sexualité.
Puis, un mois après la rentré, quand ils ont commencé à être en confiance c’était monter d’un cran, par exemple ils aller voir le prof en fin de cour pour le prévenir que j’étais enceinte d’un garçon de la classe ou ils faisaient des paris sur qui d’entre eux aller me “sauter” le premier. Sur le groupe de classe ils faisait des montages pornographiques avec ma tête dessus.
À chaque fois je me disait que j’allais réagir, mais comment ?!!! ils étaient 19 gars et moi j’étais seul !! Quand je racontais le peu de ce que vivais à d’autres filles du lycée elles me disait que je devrait être flatté d’avoir autant d’attention sur moi, que c’était des “garçons” que c’était normale, ils étaient comme ça point finale.
J’avais l’impression d’exagérer de me faire des films, ou alors ce que je vivais était normale, en seulement quelques semaines, ils avaient réussit à me faire douter de moi et a me faire croire que c’est moi qui cherchait tout ça. Le pire dans tout ça, c’est qu’ils avaient réussit a banaliser leurs actes.
Et là, deux mois après la rentrée, une barrière a été franchis par deux mecs de la classe, quand ils sont arrivé dans les toilettes et pendant que un faisait le guetteur l’autre s’était glisser derrière moi et commençait à me toucher les fesses et les seins. Ils rigolaient, mais moi, j’étais tétanisée. Je ne savais pas comment réagir, quoi dire, quoi faire. Il me murmurait des choses qu’il rêvait de me faire…
En revenant en classe, comme nous étions arriver tout les trois en même temps, tout de suite les autres gars ont commencé à dire que je venais de coucher avec ces deux garçons dans les toilettes, mais la vérité s’étais que je venais de me faire “AGRESSÉE”. je suis rester muette, pendant qu’ils continuaient de parler de moi.
Ensuite, plus rien ne les arrêtaient, l’effet de groupe devait jouer, ils étaient comme une meutes de loup. Désormais, chaque gestes que je faisait était prétexte à une réflexion sexuelle, je portais un jeans ” eh t’ as un gros cul, parfait pour que je t’encule”, j’allais aux toilettes et je revenait ” ehhh tu viens de sucer un tel aux toilettes” je marchais dans les couloirs ” viens la que je te mette ma main au cul”, je mangeais une pomme en classe et en plein cours devant le prof ” euh ta une bonne bouche de suceuse toi” , de devenir au fil de l’année la fille facile de la classe, la salope qui se fait prendre de tout les cotes par les gars de la classe, tout ça devant les yeux du prof qui reste totalement inerte.
Mais bien sur à ça il faut ajouter toutes les mains au fesses dès que je passe devant eux, des attouchements quotidiens dans les couloirs, des suçons forcer etc…
Le pire, j’étais vierge et je n’étais jamais sorti avec personne dans ma vie.
Pendant 1 ans j’ai dû subir ça en silence, et rester dans mon coins pour ne pas aggraver les choses. Malgré tout ça j’ai eu mon bac avec mention et j’ai réussi a aller a la fac. Mais je n’ai jamais réussit à en parler, de dire a quel point c’était parti trop loin, de dire qu’ils avaient essayer de me faire une fellation forcer dans les toilettes, de dire que j’était devenu un objet sexuelle et rien d’autre à leur yeux, d’avouer que j’avais l’impression d’être violé du regard tout les jours.
Cela reste en moi comme une blessure, silencieuse, mais qui se réveille dès que j’essaye d’avoir une relation sérieuse avec un homme. |
2 | J’ai tellement de choses à dire, mais je vais essayer de vous raconter ce qui m’est arrivé, sans que ce soit trop long.
Déjà, en tant qu’enseignante, j’étais loin de m’imaginer qu’à mon travail, je pouvais être victime d’une agression, encore moins de la part d’un collègue, enfin, je l’appelle comme ça, mais pour moi c’est juste un gros pervers, qui utilise le corps de l’autre pour assouvir ses pulsions malsaines.
Cela est arrivé lors d’une réunion entre professeurs, il a profité de l’effet de surprise, du fait qu’il y ait plein de monde : Il m’a pendant un laps de temps qui m’a paru une éternité, touchait d’abord les fesses, puis caressait la raie des fesses.
Moi, je n’ai pas réagi, mon cerveau s’est juste mis en mode off, et je me suis dit : “ne bouge pas et ça va passer”. Mon médecin m’a expliqué que j’étais en état de sidération, incapable de dire quoi que ce soit. Et surtout pour moi, c’était impensable, comment tu peux te permettre de faire cela en toute liberté, devant tout le monde!! Franchement, ce genre de mecs ne sont rien d’autre que des pervers, et ils sont dans tous les milieux, même le milieu scolaire !!
Je tiens à dire que je ne connaissais pas du tout ce pervers, c’était un nouveau collègue dans l’établissement!
En tout cas, après mûre réflexion, je compte bien porter plainte, même si peut-être que la procédure n’aboutira à rien puisque je n’ai pas de preuve, et que c’est sa parole contre la mienne! qu’importe! il faut que cette violence soit dénoncée !!!
Merci de m’avoir lue, et courage à tous ceux et à toutes celles qui ont vécu des agressions, des violences, des viols!! Courage ! |
2 | Bourgeon naissant, fleur coupée c’était il y a 40 ans !
Merci à toutes celles qui avant moi ont ouvert la parole, elles m’ont rendu la mienne
merci à mes amies femmes qui tout récemment m’ont entendu dans ce chemin de renaissance
merci à celui qui dans son amour de douceur m’a permis de trouver le chemin pour pouvoir dire enfin, j’ai été victime d’un viol .
J’ai vécu la peur au ventre tous les jours pendant la première année de collège parce que j’étais à la merci d’un garçon de ma classe .
Salie par son regard, ses propos, ses gestes .Terrorisée par le risque que je pressentais, le chantage dans lequel j’étais.
Cela a laissé une tâche dans mon corps, mon coeur, une forme de voile gris qui s’est déposé .
J’étais dans ce passage d’un corps d’enfant à un corps de femme en puissance dans ce moment délicat et bouleversant de révélation de la sexualité .L’attente et l’arrivée des premières règles, la poussée des seins qui échauffent le corps. Tout est douloureux, dérangeant.Un émotionnel qui déjà était bien présent coeur qui s’emballait pour des « amoureuseries pures et candides »
Il y avait ce trouble dans le corps, un éveil, des sensations qui étaient en train de naître, je me souviens de la première vibration en grimpant à la corde à la poutre de la grange, les papillons dans le ventre avec la lecture des Lettres de Madame de Sévigné échangées entre copines. Tout cela dans un inconnu total ce que s’appelaient le désir, le plaisir .Je ne savais même pas ce que cela voulait dire ou pouvait être.
Je n’avais jamais regardé mon sexe dans un miroir, jamais exploré sa douceur extérieure ou intérieure . J’étais déjà tellement bouleversée par ce qui se passait dans mon coeur et mon esprit et les manifestations organiques suffisaient à me questionner.
J’ai été victime d’attouchements de harcèlement de moqueries dégradantes pendant toute une année scolaire .Heureusement l’auteur a quitté le lycée à la fin de l’année, j’étais sauvée l’année d’après .
Je n’ai jamais oublié son visage, sa stature, son nom,son prénom, les situations , les lieux, les mots ..
je n’en ai jamais parlé. J’ai enfermé ce souvenir parce que je me sentais coupable de la situation, les mots étaient des insultes, les gestes une intrusion qui venaient déposer sur moi l’image d’une fille facile, qui incitait à …
C’était le premier homme à poser la main sur mes seins sur mon sexe. J’étais transie de peur j’ai encore en mémoire la sensation dans le corps de la terreur .C’est une emprise dans la nuque et le souffle coupé .mes mamelons sont ils restés en dedans à ce moment là pour toujours ??? ce manque de souffle ample vient il de là, du diaphragme bloqué pour empêcher le lien entre le ventre et le cérébral ???
Les faits se déroulaient dans la classe pendant les cours, dans les couloirs pendant la récréation.Il y avait des témoins, camarades de classe, enseignants. Cela rajoutait du pire encore pour moi qui n’arrivait pas à dire non et à me sauver de la situation . La sidération empêche toute parole ou mouvement . Animal traqué, je cherchais à éviter de me retrouver à côté de lui mais il me menaçait de raconter à tout le monde ce qu’il me faisait si je ne m’installais pas à côté de lui en classe.
Je gardais le regard vague fixé sur le tableau quand je sentais qu’il allait poser la main sur ma cuisse J’arrangeais presque la situation je me sentais complice, consentante pour masquer la réalité insupportable. Il me demandait de mettre une jupe pour que je sois plus accessible.
Comment associer alors vêtements, féminité, beauté, je suis devenue transparente, muette. On me disait timide, réservée. Ma mère essayait désespérément de m’habiller en « fille ». Je me sentais déguisée, mal à l’aise le plus souvent ou alors il me fallait de l’extra long pour tout cacher.
Je me souviens de m’être sentie coupée en deux , comme deux vies en même temps, deux mémoires,
je faisais ma corvée en essayant de ne rien ressentir et ensuite je reprenais le cours de ma journée avec mes copines comme si de rien n’était .
J’ai gardé depuis ce jour là une immense considération pour toutes les femmes soumises,tant je connais ce mécanisme de peur et de dissociation qui empêche. |
2 | Les bus du campus de Talence etant (encore )en greves les etudiantes font du stop a l’arret de bus. Il avait une arme cachee dans la boite a gant et l’a mis contre ma taille – et m’a force a le masturber avec la main. Apres m’avoir essuye la main il s’est mis a cogner le volant en hurlant “mais pourquoi je le fais encore” … il se parlait a lui meme comme un fou. Il m’a depose plus loin. J’etais terrifiee et en pleur, j’avais 18 ans. J’ai continue a aller en cours comme un fantome – mais je n’ecoutais rien et je n’etudiais plus… entourer par ce monde violent de mensonges et de vulgarite….la meilleure vengance contre les hommes c’est de ne pas se marier et ne pas avoir d’enfants. Plus tard quand je serai grande je serai “Pirate”. …
Il faut des panneaux signalant “ne pas monter dans les voitures” aux arrets de bus et des centres de SOS sur les Campus pour aider les jeunes – ne pas devenir victimes … |
2 | Je rentrais d’une soirée alcoolisée avec un jeune homme. Je réalisais que je n’avais pas envie de lui que “trop tard”: Arrivée chez lui il me force à le branler. Je feins de m’évanouir pour ne pas avoir a continuer et par peur des représailles. |
2 | J’ai été agressée à mon domicile par un collègue enseignant qui a raté sa tentative de viol, car il ne savait pas que je n’étais pas facile et j’ai réussi à le virer de mon lit. Il s’est retrouvé par terre et j’en ai profité pour m’échapper de mon appartement en prenant les clés juste à côté de la porte d’entrée, et fermer la porte de l’immeuble. Quand la police est arrivée, elle a constaté que le vasistas de l’escalier menant au 2ème étage était ouvert. La femme de cet enseignant a prétendu être là.
J’ai déposé plainte aussitôt et à l’audience, le président Desbordes a dit : “Elle aurait mieux fait de se laisser faire comme ça on aurait eu des preuves”. C’est moi qui avait tord d’avoir écrit pour demander des explications sur son comportement au collège, que les élèves avaient vu.
J’ai perdu mon emploi et je n’ai jamais retravaillé pendant 20 ans. Je suis maintenant en retraite, et limite au dessous du seuil de pauvreté.
Ce que je réprouve, c’est que l’enseignant récidive, car j’ai appris par les élections, que sa femme était décédée. Pire, ce cochon est installé dans l’appartement où il m’a agressée, et personne ne fait rien.
Je vois d’un très bon œil tout ce qui est dit sur les agissements de ces types qui estiment qu’on leur appartient. Ce n’est pas parce qu’un individu se présente devant une femme que c’est forcément celui-là qu’on attendait. Au contraire dans 99% des cas.
Mes anciennes élèves me disaient : ” Vous ne pouvez pas savoir, Madame, ce qui se passe dans les vestiaires des piscines “. Personnellement, j’ai choisi de rester seule et de ne pas me casser les pieds avec un incapable. Mon agresseur n’a pas compris que j’ai fait du parachutisme après son agression. Un conseil les filles, faites du Krav Maga. Cela donne des forces mentales autant que physiques. |
2 | Bonjour jai 19 ans et sa fait 5 moins que je suis avec mon copain cette nuit il a voulu me toucher il a voulu me faire l’amour pendant que j’étais entrain de dormir je me suis réveillé je lui et dit ce qu’il faisait il me dit qu’il avait envi alors que moi même j’avais pas envi en plus de sa je dormais il pense qu’à lui et jamais à moi c est toujours sont plaisir avant tout alors qu’il me dit qu’il m’aime mais il me dit qu’il pense qu’à lui et jamais à moi et quand j’ai pas envi il me dit qu’il me touchera plus jamais mais après sa il me retouche et qu’en je veux pas il essaye de rentrer sont sex en moi pendant que je dort il et vraiment pervers il me touche tous les jour les fesses même en public c est un manque de respect pk il et comme ça ? Alors qu’il me dit qu’il m’aime je le voie qu’il m’aime mais là c est trop je souffre je comprends pas pk ce comportement alors si on aime quelqu’un je suis désolé c est plus aimé c est ce vider les couilles et puis basta excusez -moi du terme est-ce que je dois le quitter ou pas Parce que je considère sa comme du viol je n’étais pas consentante je dormais donc voilà merci de bien vouloir m’aider à ce suje |
2 | J’étais en couple avec un homme. J’ai subi des violences. Jusqu’au jours où j’ai souhaité me séparer. Il a était clair ! « Si tu veux qu’on se dé- pacse. Tu baisses et tout ira bien !!j’accepte la séparation » au début j’ai accepté quand il voulait où il voulait. Je savais qu’il n’aurait plus d’excès de violence et de colère dans ce cas là. Les papiers ont été fait rapidement. Puis le confinement est arrivé dans la foulée. Impossible de démanger. Je ne voulais plus de rapport. Impossible pour moi. Je lui ai dit que c’était fini, je ne veux plus de rapport. Je souhaitais toujours la séparation. Mais il m’a attrapé, m’a poussé sur le lit. Je lui ai dit non, arrête je ne veux pas mais rien, il a continué. Je n’ai pas réussi à fuir. Alors j’ai subi en silence…
J’ai déposé de nombreuses plaintes qui ont toutes étaient classées sans suite malgré mais 21 jours d itts. Rien n’arrête un beau parleur, notre psy le décrit comme un pervers narcissique ! Et oui j’ai tenté la thérapie de couple !
Aujourd’hui encore il harcèle mes parents retraités !cela fait plus de 2 ans que ça dure. Il vit toujours dans notre maison ( je viens d’entamer une procédure pour la vendre) Il passe devant leur domicile pour les insulter. Rien à y faire malgré les témoignages des voisins.. tout est classé sans suite… pour les gendarmes nous sommes fautifs aussi ! Alors que tout se passe devant leur domicile ou devant mon nouveau lieu d’habitation !
Tellement déçu de la gendarmerie qui le couvre (ami au sein de la brigade de campagne) et de la justice qui le conforte dans sa toute puissance..
le plus important est d’avoir réussi à partir et à se reconstruire. Mais pas évident quand l’agresseur fait parti des discussions des repas du dimanche. Qu’il passe 5 fois devant la fenêtre musique à fond et nous insulte. Quand vous regardez dans votre rétroviseur car il vous accompagne jusqu’à votre travail.
Il suit mes parents jusqu’au magasin ..
Bref j’ai refais ma vie. La seul solution pour mes parents et moi même c’est de quitter le département. Car j’ai sollicité une mesure de protection qui n’a pas fonctionné malgré ses messages de menaces de mort ! Il a fallu que je dédommage. La juge n’a pas résisté à son visage d’ange car elle ne connaît pas son visage de démon avec ses yeux exorbitants et son regard de fou…. |
2 | Il m'a dit :"Oh, t’as une belle bouche de pipeuse toi », en rigolant grassement |
2 | Quand j’avais 16 ans, je n’avais pas beaucoup de poitrine… J’étais au supermarché et je soupesais des melons pour en choisir un.
Un client hyper bien habillé, la quarantaine, s’est avancé, je ne me suis pas méfiée.
Et là, il me dit : « oh quel bonheur de soupeser les melons. Je peux faire la même chose avec les vôtres ? » |
2 | Un matin, j'attendais le tramway vers 7 heures à côté d’un petit groupe de trentenaires.
Deux d’entre eux m'ont alors demandé si j'étais du coin, ce à quoi j'ai répondu par l'affirmative.
Un des hommes a ensuite insisté pour savoir si je connaissais un hôtel et si je pouvais les y accompagner. |
2 | Je devais faire un long trajet en taxi. On commence à discuter avec le chauffeur, une soixantaine d’années.
Il m’explique qu’il est grand-père.
Bref, la conversation est plutôt agréable.
Arrivée à destination, il me dit tout d’un coup : « Et si je montais chez vous ? Je pourrai vous montrer ce qu’est un homme, un vrai, vous ne devez pas savoir ce qu’est le plaisir à votre âge ! » |
2 | J’avais pris un taxi pour me rendre à une soirée.
Le chauffeur me parle, plutôt sympa, j’en viens à lui dire que je suis étudiante, que je n’ai pas beaucoup d’argent et que c’est plutôt rare que je prenne un taxi.
Et là, le mec me propose de ne pas payer la course en échange de faveurs sexuelles ! |
2 | Il s’est jeté sur moi dans un ascenseur pour m’embrasser de force quand j’étais jeune stagiaire |
2 | C’était le matin, à l’heure de pointe dans le métro.
Et le métro était blindé et en fait, j’étais tranquille en train de lire.
Et je sens dans mon dos comme quelqu’un qui donne des coups de coudes.
Sur le coup, je ne réagis pas. Puis j'ai constaté, par la suite, que cette personne avait éjaculée sur mon manteau |
2 | J'étais ado.
Un homme est sorti du tram derrière moi et a touché mon sein droit en disant à son copain "ça y est, ça pousse, ça devient bien", puis il m'a lâchée et est parti devant moi |
2 | J’ai été agressée dans la rue, en pleine journée, juste devant ma porte d’entrée.
Un homme m’a plaquée contre la porte avant d’insérer sa main dans ma culotte. |
2 | Un jeune homme a soulevé ma robe dans l'escalator et a filmé sous mes jupes |
2 | C'était en plein jour, un homme m'a suivie de loin pendant dix minutes avant de se rapprocher à moins de deux mètres.
Il a commencé à me suivre et à me poser des questions obscènes, à me dire qu'il était en train de se masturber et que, s’il le pouvait, il "baisserait son froc, là, tout de suite".
Je continuais à marcher, mais plus j'accélérais, plus la distance entre nous diminuait.
Je lui ai hurlé dessus au moment où il se rapprochait vraiment de près et me suis enfuie. |
Subsets and Splits