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Indiquer les mots clés du texte : Mali : des citoyens appellent à libérer le nord du pays Environ 2 000 citoyens maliens du nord en colère contre les exactions des groupes armés, particulièrement les islamistes, qui contrôlent le nord du pays depuis trois mois ont manifestés aujourd'hui à Bamako. Ils revendiquent notamment l'obtention d'armes pour libérer le nord du pays. « Si l'armée ne veut pas faire la guerre, qu'on nous donne les moyens de libérer nos terres ! [...] Nous demandons la libération de notre pays » a déclaré Oumar Maïga, l'un des responsables de la manifestation. Nock Ag Attia, député touareg, a précisé que les milices qui contrôlent actuellement le nord du pays ne représentent pas les maliens : « Au Mali, les Touareg, les Peul, les Songhoï ne partagent pas les bêtises du MNLA, du Mujao, et d'Al-Qaïda ». Le gouvernement malien multiplie les voyages dans le monde et les déclarations pour plaider la cause du pays sans obtenir de résultats concrets. En conséquence, la population se sent lâchée par les pouvoirs publics : « Les discours, les voyages ne vont pas résoudre les problèmes du Mali, il faut des actions concrètes », déclare Fatoumata Maïga, présidente d'une ONG féminine pour la paix. Face à l'impuissance du gouvernement malien, la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a organisée un sommet à Ougadougou avec des représentants du Mali pour mettre en place un gouvernement malien fort. La CEDEAO est prête a effectuer une intervention armée, mais attend le feu vert du gouvernement malien et de l'ONU. De l'autre côté, les islamistes se préparent à d'éventuelles contre-offensives et ont minés les alentours de la ville de Gao.
mali, citoyens, libération, nord du pays, exactions des groupes armés, armée, islamistes, manifestation, gouvernement, actions concrètes, impuissance, cedeao
Extraire les mots clés importants du texte suivant : Syrie : nouvelle avancée des rebelles L’armée syrienne et les rebelles se battent depuis plusieurs jours pour le contrôle des deux autoroutes menant à Alep. La capture de Saraqeb est un sérieux revers pour le gouvernement, affirme Rami Abd al-Rahman de l’Observatoire syrien des droits de l'homme. « Saraqeb est un passage obligé entre Damas et Lattaquié sur la côte en allant vers Alep, et les rebelles vont bloquer les voies d’approvisionnement du plus grand centre commercial syrien. Le gouvernement doit maintenant utiliser de longs et dangereux détours pour réapprovisionner Alep » a-t-il souligné. Rami Abd al-Rahman a fait état de l’exécution, jeudi, par les rebelles, de 28 soldats gouvernementaux lors des combats ayant abouti à la prise de Saraqeb. Une vidéo circulant sur YouTube semble montrer comment les rebelles ont procédé à l’exécution des soldats qui, dit-on, s’étaient rendus. L’authenticité de la vidéo n’a pas été confirmée de source indépendante, mais le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a fait savoir qu’il pourrait s’agir de crimes contre l’humanité. Les groupes de défense des droits humains, dont Amnesty International, ont condamné ces attaques. Il n’y a pas eu de réaction immédiate du gouvernement syrien. L’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie, Timor Goksel, aujourd’hui professeur à l’université américaine de Beyrouth, a indiqué que les exécutions sommaires ne sont pas inhabituelles au Moyen-Orient. Toutefois, si il s'avérait que celles d’hier aient bien eu lieu, elles seraient particulièrement cavalières, dit-il. « Durant la guerre civile au Liban, nous avons vu tant de massacres similaires. Mais personne n’allait crier partout : regardez ce que nous avons fait. Ici, vous avez affaire à un groupe de gens très dangereux, à même de faire n’importe quoi » a expliqué Timor Goksel. Plusieurs leaders de la rébellion syrienne accusent le Front Nusrat, un groupe lié à Al-Qaïda, d’être responsables des exécutions en question. Mais l’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie fait remarquer que les combattants dans les conflits peuvent agir de manière débridée. Selon l’AFP, le Conseil national syrien, principale coalition de l’opposition, a appelé à ce que les rebelles qui commettent ces exécutions en soient tenus responsables. Dans une interview à Radio Sawa, le chef du Conseil a critiqué la suggestion de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton de constituer un front élargi de l’opposition syrienne ; c’est un exemple d’ingérence étrangère, a déclaré Abdel Basset Sayda.
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Extrais les mots clés importants du texte suivant : Syrie : nouvelle avancée des rebelles L’armée syrienne et les rebelles se battent depuis plusieurs jours pour le contrôle des deux autoroutes menant à Alep. La capture de Saraqeb est un sérieux revers pour le gouvernement, affirme Rami Abd al-Rahman de l’Observatoire syrien des droits de l'homme. « Saraqeb est un passage obligé entre Damas et Lattaquié sur la côte en allant vers Alep, et les rebelles vont bloquer les voies d’approvisionnement du plus grand centre commercial syrien. Le gouvernement doit maintenant utiliser de longs et dangereux détours pour réapprovisionner Alep » a-t-il souligné. Rami Abd al-Rahman a fait état de l’exécution, jeudi, par les rebelles, de 28 soldats gouvernementaux lors des combats ayant abouti à la prise de Saraqeb. Une vidéo circulant sur YouTube semble montrer comment les rebelles ont procédé à l’exécution des soldats qui, dit-on, s’étaient rendus. L’authenticité de la vidéo n’a pas été confirmée de source indépendante, mais le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a fait savoir qu’il pourrait s’agir de crimes contre l’humanité. Les groupes de défense des droits humains, dont Amnesty International, ont condamné ces attaques. Il n’y a pas eu de réaction immédiate du gouvernement syrien. L’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie, Timor Goksel, aujourd’hui professeur à l’université américaine de Beyrouth, a indiqué que les exécutions sommaires ne sont pas inhabituelles au Moyen-Orient. Toutefois, si il s'avérait que celles d’hier aient bien eu lieu, elles seraient particulièrement cavalières, dit-il. « Durant la guerre civile au Liban, nous avons vu tant de massacres similaires. Mais personne n’allait crier partout : regardez ce que nous avons fait. Ici, vous avez affaire à un groupe de gens très dangereux, à même de faire n’importe quoi » a expliqué Timor Goksel. Plusieurs leaders de la rébellion syrienne accusent le Front Nusrat, un groupe lié à Al-Qaïda, d’être responsables des exécutions en question. Mais l’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie fait remarquer que les combattants dans les conflits peuvent agir de manière débridée. Selon l’AFP, le Conseil national syrien, principale coalition de l’opposition, a appelé à ce que les rebelles qui commettent ces exécutions en soient tenus responsables. Dans une interview à Radio Sawa, le chef du Conseil a critiqué la suggestion de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton de constituer un front élargi de l’opposition syrienne ; c’est un exemple d’ingérence étrangère, a déclaré Abdel Basset Sayda.
syrie, rebelles, armée syrienne, alep, saraqeb, gouvernement, droits de l'homme, exécution, prise, exécution des soldats, crimes contre l’humanité
Extrayez les mots clés importants du texte suivant : Syrie : nouvelle avancée des rebelles L’armée syrienne et les rebelles se battent depuis plusieurs jours pour le contrôle des deux autoroutes menant à Alep. La capture de Saraqeb est un sérieux revers pour le gouvernement, affirme Rami Abd al-Rahman de l’Observatoire syrien des droits de l'homme. « Saraqeb est un passage obligé entre Damas et Lattaquié sur la côte en allant vers Alep, et les rebelles vont bloquer les voies d’approvisionnement du plus grand centre commercial syrien. Le gouvernement doit maintenant utiliser de longs et dangereux détours pour réapprovisionner Alep » a-t-il souligné. Rami Abd al-Rahman a fait état de l’exécution, jeudi, par les rebelles, de 28 soldats gouvernementaux lors des combats ayant abouti à la prise de Saraqeb. Une vidéo circulant sur YouTube semble montrer comment les rebelles ont procédé à l’exécution des soldats qui, dit-on, s’étaient rendus. L’authenticité de la vidéo n’a pas été confirmée de source indépendante, mais le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a fait savoir qu’il pourrait s’agir de crimes contre l’humanité. Les groupes de défense des droits humains, dont Amnesty International, ont condamné ces attaques. Il n’y a pas eu de réaction immédiate du gouvernement syrien. L’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie, Timor Goksel, aujourd’hui professeur à l’université américaine de Beyrouth, a indiqué que les exécutions sommaires ne sont pas inhabituelles au Moyen-Orient. Toutefois, si il s'avérait que celles d’hier aient bien eu lieu, elles seraient particulièrement cavalières, dit-il. « Durant la guerre civile au Liban, nous avons vu tant de massacres similaires. Mais personne n’allait crier partout : regardez ce que nous avons fait. Ici, vous avez affaire à un groupe de gens très dangereux, à même de faire n’importe quoi » a expliqué Timor Goksel. Plusieurs leaders de la rébellion syrienne accusent le Front Nusrat, un groupe lié à Al-Qaïda, d’être responsables des exécutions en question. Mais l’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie fait remarquer que les combattants dans les conflits peuvent agir de manière débridée. Selon l’AFP, le Conseil national syrien, principale coalition de l’opposition, a appelé à ce que les rebelles qui commettent ces exécutions en soient tenus responsables. Dans une interview à Radio Sawa, le chef du Conseil a critiqué la suggestion de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton de constituer un front élargi de l’opposition syrienne ; c’est un exemple d’ingérence étrangère, a déclaré Abdel Basset Sayda.
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Isoler les mots clés importants du texte suivant : Syrie : nouvelle avancée des rebelles L’armée syrienne et les rebelles se battent depuis plusieurs jours pour le contrôle des deux autoroutes menant à Alep. La capture de Saraqeb est un sérieux revers pour le gouvernement, affirme Rami Abd al-Rahman de l’Observatoire syrien des droits de l'homme. « Saraqeb est un passage obligé entre Damas et Lattaquié sur la côte en allant vers Alep, et les rebelles vont bloquer les voies d’approvisionnement du plus grand centre commercial syrien. Le gouvernement doit maintenant utiliser de longs et dangereux détours pour réapprovisionner Alep » a-t-il souligné. Rami Abd al-Rahman a fait état de l’exécution, jeudi, par les rebelles, de 28 soldats gouvernementaux lors des combats ayant abouti à la prise de Saraqeb. Une vidéo circulant sur YouTube semble montrer comment les rebelles ont procédé à l’exécution des soldats qui, dit-on, s’étaient rendus. L’authenticité de la vidéo n’a pas été confirmée de source indépendante, mais le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a fait savoir qu’il pourrait s’agir de crimes contre l’humanité. Les groupes de défense des droits humains, dont Amnesty International, ont condamné ces attaques. Il n’y a pas eu de réaction immédiate du gouvernement syrien. L’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie, Timor Goksel, aujourd’hui professeur à l’université américaine de Beyrouth, a indiqué que les exécutions sommaires ne sont pas inhabituelles au Moyen-Orient. Toutefois, si il s'avérait que celles d’hier aient bien eu lieu, elles seraient particulièrement cavalières, dit-il. « Durant la guerre civile au Liban, nous avons vu tant de massacres similaires. Mais personne n’allait crier partout : regardez ce que nous avons fait. Ici, vous avez affaire à un groupe de gens très dangereux, à même de faire n’importe quoi » a expliqué Timor Goksel. Plusieurs leaders de la rébellion syrienne accusent le Front Nusrat, un groupe lié à Al-Qaïda, d’être responsables des exécutions en question. Mais l’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie fait remarquer que les combattants dans les conflits peuvent agir de manière débridée. Selon l’AFP, le Conseil national syrien, principale coalition de l’opposition, a appelé à ce que les rebelles qui commettent ces exécutions en soient tenus responsables. Dans une interview à Radio Sawa, le chef du Conseil a critiqué la suggestion de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton de constituer un front élargi de l’opposition syrienne ; c’est un exemple d’ingérence étrangère, a déclaré Abdel Basset Sayda.
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Isole les mots clés importants du texte suivant : Syrie : nouvelle avancée des rebelles L’armée syrienne et les rebelles se battent depuis plusieurs jours pour le contrôle des deux autoroutes menant à Alep. La capture de Saraqeb est un sérieux revers pour le gouvernement, affirme Rami Abd al-Rahman de l’Observatoire syrien des droits de l'homme. « Saraqeb est un passage obligé entre Damas et Lattaquié sur la côte en allant vers Alep, et les rebelles vont bloquer les voies d’approvisionnement du plus grand centre commercial syrien. Le gouvernement doit maintenant utiliser de longs et dangereux détours pour réapprovisionner Alep » a-t-il souligné. Rami Abd al-Rahman a fait état de l’exécution, jeudi, par les rebelles, de 28 soldats gouvernementaux lors des combats ayant abouti à la prise de Saraqeb. Une vidéo circulant sur YouTube semble montrer comment les rebelles ont procédé à l’exécution des soldats qui, dit-on, s’étaient rendus. L’authenticité de la vidéo n’a pas été confirmée de source indépendante, mais le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a fait savoir qu’il pourrait s’agir de crimes contre l’humanité. Les groupes de défense des droits humains, dont Amnesty International, ont condamné ces attaques. Il n’y a pas eu de réaction immédiate du gouvernement syrien. L’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie, Timor Goksel, aujourd’hui professeur à l’université américaine de Beyrouth, a indiqué que les exécutions sommaires ne sont pas inhabituelles au Moyen-Orient. Toutefois, si il s'avérait que celles d’hier aient bien eu lieu, elles seraient particulièrement cavalières, dit-il. « Durant la guerre civile au Liban, nous avons vu tant de massacres similaires. Mais personne n’allait crier partout : regardez ce que nous avons fait. Ici, vous avez affaire à un groupe de gens très dangereux, à même de faire n’importe quoi » a expliqué Timor Goksel. Plusieurs leaders de la rébellion syrienne accusent le Front Nusrat, un groupe lié à Al-Qaïda, d’être responsables des exécutions en question. Mais l’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie fait remarquer que les combattants dans les conflits peuvent agir de manière débridée. Selon l’AFP, le Conseil national syrien, principale coalition de l’opposition, a appelé à ce que les rebelles qui commettent ces exécutions en soient tenus responsables. Dans une interview à Radio Sawa, le chef du Conseil a critiqué la suggestion de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton de constituer un front élargi de l’opposition syrienne ; c’est un exemple d’ingérence étrangère, a déclaré Abdel Basset Sayda.
syrie, rebelles, armée syrienne, alep, saraqeb, gouvernement, droits de l'homme, exécution, prise, exécution des soldats, crimes contre l’humanité
Isolez les mots clés importants du texte suivant : Syrie : nouvelle avancée des rebelles L’armée syrienne et les rebelles se battent depuis plusieurs jours pour le contrôle des deux autoroutes menant à Alep. La capture de Saraqeb est un sérieux revers pour le gouvernement, affirme Rami Abd al-Rahman de l’Observatoire syrien des droits de l'homme. « Saraqeb est un passage obligé entre Damas et Lattaquié sur la côte en allant vers Alep, et les rebelles vont bloquer les voies d’approvisionnement du plus grand centre commercial syrien. Le gouvernement doit maintenant utiliser de longs et dangereux détours pour réapprovisionner Alep » a-t-il souligné. Rami Abd al-Rahman a fait état de l’exécution, jeudi, par les rebelles, de 28 soldats gouvernementaux lors des combats ayant abouti à la prise de Saraqeb. Une vidéo circulant sur YouTube semble montrer comment les rebelles ont procédé à l’exécution des soldats qui, dit-on, s’étaient rendus. L’authenticité de la vidéo n’a pas été confirmée de source indépendante, mais le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a fait savoir qu’il pourrait s’agir de crimes contre l’humanité. Les groupes de défense des droits humains, dont Amnesty International, ont condamné ces attaques. Il n’y a pas eu de réaction immédiate du gouvernement syrien. L’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie, Timor Goksel, aujourd’hui professeur à l’université américaine de Beyrouth, a indiqué que les exécutions sommaires ne sont pas inhabituelles au Moyen-Orient. Toutefois, si il s'avérait que celles d’hier aient bien eu lieu, elles seraient particulièrement cavalières, dit-il. « Durant la guerre civile au Liban, nous avons vu tant de massacres similaires. Mais personne n’allait crier partout : regardez ce que nous avons fait. Ici, vous avez affaire à un groupe de gens très dangereux, à même de faire n’importe quoi » a expliqué Timor Goksel. Plusieurs leaders de la rébellion syrienne accusent le Front Nusrat, un groupe lié à Al-Qaïda, d’être responsables des exécutions en question. Mais l’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie fait remarquer que les combattants dans les conflits peuvent agir de manière débridée. Selon l’AFP, le Conseil national syrien, principale coalition de l’opposition, a appelé à ce que les rebelles qui commettent ces exécutions en soient tenus responsables. Dans une interview à Radio Sawa, le chef du Conseil a critiqué la suggestion de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton de constituer un front élargi de l’opposition syrienne ; c’est un exemple d’ingérence étrangère, a déclaré Abdel Basset Sayda.
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Dégager des mots clés dans le texte : Syrie : nouvelle avancée des rebelles L’armée syrienne et les rebelles se battent depuis plusieurs jours pour le contrôle des deux autoroutes menant à Alep. La capture de Saraqeb est un sérieux revers pour le gouvernement, affirme Rami Abd al-Rahman de l’Observatoire syrien des droits de l'homme. « Saraqeb est un passage obligé entre Damas et Lattaquié sur la côte en allant vers Alep, et les rebelles vont bloquer les voies d’approvisionnement du plus grand centre commercial syrien. Le gouvernement doit maintenant utiliser de longs et dangereux détours pour réapprovisionner Alep » a-t-il souligné. Rami Abd al-Rahman a fait état de l’exécution, jeudi, par les rebelles, de 28 soldats gouvernementaux lors des combats ayant abouti à la prise de Saraqeb. Une vidéo circulant sur YouTube semble montrer comment les rebelles ont procédé à l’exécution des soldats qui, dit-on, s’étaient rendus. L’authenticité de la vidéo n’a pas été confirmée de source indépendante, mais le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a fait savoir qu’il pourrait s’agir de crimes contre l’humanité. Les groupes de défense des droits humains, dont Amnesty International, ont condamné ces attaques. Il n’y a pas eu de réaction immédiate du gouvernement syrien. L’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie, Timor Goksel, aujourd’hui professeur à l’université américaine de Beyrouth, a indiqué que les exécutions sommaires ne sont pas inhabituelles au Moyen-Orient. Toutefois, si il s'avérait que celles d’hier aient bien eu lieu, elles seraient particulièrement cavalières, dit-il. « Durant la guerre civile au Liban, nous avons vu tant de massacres similaires. Mais personne n’allait crier partout : regardez ce que nous avons fait. Ici, vous avez affaire à un groupe de gens très dangereux, à même de faire n’importe quoi » a expliqué Timor Goksel. Plusieurs leaders de la rébellion syrienne accusent le Front Nusrat, un groupe lié à Al-Qaïda, d’être responsables des exécutions en question. Mais l’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie fait remarquer que les combattants dans les conflits peuvent agir de manière débridée. Selon l’AFP, le Conseil national syrien, principale coalition de l’opposition, a appelé à ce que les rebelles qui commettent ces exécutions en soient tenus responsables. Dans une interview à Radio Sawa, le chef du Conseil a critiqué la suggestion de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton de constituer un front élargi de l’opposition syrienne ; c’est un exemple d’ingérence étrangère, a déclaré Abdel Basset Sayda.
syrie, rebelles, armée syrienne, alep, saraqeb, gouvernement, droits de l'homme, exécution, prise, exécution des soldats, crimes contre l’humanité
Dégage des mots clés dans le texte : Syrie : nouvelle avancée des rebelles L’armée syrienne et les rebelles se battent depuis plusieurs jours pour le contrôle des deux autoroutes menant à Alep. La capture de Saraqeb est un sérieux revers pour le gouvernement, affirme Rami Abd al-Rahman de l’Observatoire syrien des droits de l'homme. « Saraqeb est un passage obligé entre Damas et Lattaquié sur la côte en allant vers Alep, et les rebelles vont bloquer les voies d’approvisionnement du plus grand centre commercial syrien. Le gouvernement doit maintenant utiliser de longs et dangereux détours pour réapprovisionner Alep » a-t-il souligné. Rami Abd al-Rahman a fait état de l’exécution, jeudi, par les rebelles, de 28 soldats gouvernementaux lors des combats ayant abouti à la prise de Saraqeb. Une vidéo circulant sur YouTube semble montrer comment les rebelles ont procédé à l’exécution des soldats qui, dit-on, s’étaient rendus. L’authenticité de la vidéo n’a pas été confirmée de source indépendante, mais le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a fait savoir qu’il pourrait s’agir de crimes contre l’humanité. Les groupes de défense des droits humains, dont Amnesty International, ont condamné ces attaques. Il n’y a pas eu de réaction immédiate du gouvernement syrien. L’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie, Timor Goksel, aujourd’hui professeur à l’université américaine de Beyrouth, a indiqué que les exécutions sommaires ne sont pas inhabituelles au Moyen-Orient. Toutefois, si il s'avérait que celles d’hier aient bien eu lieu, elles seraient particulièrement cavalières, dit-il. « Durant la guerre civile au Liban, nous avons vu tant de massacres similaires. Mais personne n’allait crier partout : regardez ce que nous avons fait. Ici, vous avez affaire à un groupe de gens très dangereux, à même de faire n’importe quoi » a expliqué Timor Goksel. Plusieurs leaders de la rébellion syrienne accusent le Front Nusrat, un groupe lié à Al-Qaïda, d’être responsables des exécutions en question. Mais l’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie fait remarquer que les combattants dans les conflits peuvent agir de manière débridée. Selon l’AFP, le Conseil national syrien, principale coalition de l’opposition, a appelé à ce que les rebelles qui commettent ces exécutions en soient tenus responsables. Dans une interview à Radio Sawa, le chef du Conseil a critiqué la suggestion de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton de constituer un front élargi de l’opposition syrienne ; c’est un exemple d’ingérence étrangère, a déclaré Abdel Basset Sayda.
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Dégagez des mots clés dans le texte : Syrie : nouvelle avancée des rebelles L’armée syrienne et les rebelles se battent depuis plusieurs jours pour le contrôle des deux autoroutes menant à Alep. La capture de Saraqeb est un sérieux revers pour le gouvernement, affirme Rami Abd al-Rahman de l’Observatoire syrien des droits de l'homme. « Saraqeb est un passage obligé entre Damas et Lattaquié sur la côte en allant vers Alep, et les rebelles vont bloquer les voies d’approvisionnement du plus grand centre commercial syrien. Le gouvernement doit maintenant utiliser de longs et dangereux détours pour réapprovisionner Alep » a-t-il souligné. Rami Abd al-Rahman a fait état de l’exécution, jeudi, par les rebelles, de 28 soldats gouvernementaux lors des combats ayant abouti à la prise de Saraqeb. Une vidéo circulant sur YouTube semble montrer comment les rebelles ont procédé à l’exécution des soldats qui, dit-on, s’étaient rendus. L’authenticité de la vidéo n’a pas été confirmée de source indépendante, mais le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a fait savoir qu’il pourrait s’agir de crimes contre l’humanité. Les groupes de défense des droits humains, dont Amnesty International, ont condamné ces attaques. Il n’y a pas eu de réaction immédiate du gouvernement syrien. L’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie, Timor Goksel, aujourd’hui professeur à l’université américaine de Beyrouth, a indiqué que les exécutions sommaires ne sont pas inhabituelles au Moyen-Orient. Toutefois, si il s'avérait que celles d’hier aient bien eu lieu, elles seraient particulièrement cavalières, dit-il. « Durant la guerre civile au Liban, nous avons vu tant de massacres similaires. Mais personne n’allait crier partout : regardez ce que nous avons fait. Ici, vous avez affaire à un groupe de gens très dangereux, à même de faire n’importe quoi » a expliqué Timor Goksel. Plusieurs leaders de la rébellion syrienne accusent le Front Nusrat, un groupe lié à Al-Qaïda, d’être responsables des exécutions en question. Mais l’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie fait remarquer que les combattants dans les conflits peuvent agir de manière débridée. Selon l’AFP, le Conseil national syrien, principale coalition de l’opposition, a appelé à ce que les rebelles qui commettent ces exécutions en soient tenus responsables. Dans une interview à Radio Sawa, le chef du Conseil a critiqué la suggestion de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton de constituer un front élargi de l’opposition syrienne ; c’est un exemple d’ingérence étrangère, a déclaré Abdel Basset Sayda.
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Générer des mots clés issus du texte suivant : Syrie : nouvelle avancée des rebelles L’armée syrienne et les rebelles se battent depuis plusieurs jours pour le contrôle des deux autoroutes menant à Alep. La capture de Saraqeb est un sérieux revers pour le gouvernement, affirme Rami Abd al-Rahman de l’Observatoire syrien des droits de l'homme. « Saraqeb est un passage obligé entre Damas et Lattaquié sur la côte en allant vers Alep, et les rebelles vont bloquer les voies d’approvisionnement du plus grand centre commercial syrien. Le gouvernement doit maintenant utiliser de longs et dangereux détours pour réapprovisionner Alep » a-t-il souligné. Rami Abd al-Rahman a fait état de l’exécution, jeudi, par les rebelles, de 28 soldats gouvernementaux lors des combats ayant abouti à la prise de Saraqeb. Une vidéo circulant sur YouTube semble montrer comment les rebelles ont procédé à l’exécution des soldats qui, dit-on, s’étaient rendus. L’authenticité de la vidéo n’a pas été confirmée de source indépendante, mais le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a fait savoir qu’il pourrait s’agir de crimes contre l’humanité. Les groupes de défense des droits humains, dont Amnesty International, ont condamné ces attaques. Il n’y a pas eu de réaction immédiate du gouvernement syrien. L’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie, Timor Goksel, aujourd’hui professeur à l’université américaine de Beyrouth, a indiqué que les exécutions sommaires ne sont pas inhabituelles au Moyen-Orient. Toutefois, si il s'avérait que celles d’hier aient bien eu lieu, elles seraient particulièrement cavalières, dit-il. « Durant la guerre civile au Liban, nous avons vu tant de massacres similaires. Mais personne n’allait crier partout : regardez ce que nous avons fait. Ici, vous avez affaire à un groupe de gens très dangereux, à même de faire n’importe quoi » a expliqué Timor Goksel. Plusieurs leaders de la rébellion syrienne accusent le Front Nusrat, un groupe lié à Al-Qaïda, d’être responsables des exécutions en question. Mais l’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie fait remarquer que les combattants dans les conflits peuvent agir de manière débridée. Selon l’AFP, le Conseil national syrien, principale coalition de l’opposition, a appelé à ce que les rebelles qui commettent ces exécutions en soient tenus responsables. Dans une interview à Radio Sawa, le chef du Conseil a critiqué la suggestion de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton de constituer un front élargi de l’opposition syrienne ; c’est un exemple d’ingérence étrangère, a déclaré Abdel Basset Sayda.
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Génère des mots clés issus du texte suivant : Syrie : nouvelle avancée des rebelles L’armée syrienne et les rebelles se battent depuis plusieurs jours pour le contrôle des deux autoroutes menant à Alep. La capture de Saraqeb est un sérieux revers pour le gouvernement, affirme Rami Abd al-Rahman de l’Observatoire syrien des droits de l'homme. « Saraqeb est un passage obligé entre Damas et Lattaquié sur la côte en allant vers Alep, et les rebelles vont bloquer les voies d’approvisionnement du plus grand centre commercial syrien. Le gouvernement doit maintenant utiliser de longs et dangereux détours pour réapprovisionner Alep » a-t-il souligné. Rami Abd al-Rahman a fait état de l’exécution, jeudi, par les rebelles, de 28 soldats gouvernementaux lors des combats ayant abouti à la prise de Saraqeb. Une vidéo circulant sur YouTube semble montrer comment les rebelles ont procédé à l’exécution des soldats qui, dit-on, s’étaient rendus. L’authenticité de la vidéo n’a pas été confirmée de source indépendante, mais le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a fait savoir qu’il pourrait s’agir de crimes contre l’humanité. Les groupes de défense des droits humains, dont Amnesty International, ont condamné ces attaques. Il n’y a pas eu de réaction immédiate du gouvernement syrien. L’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie, Timor Goksel, aujourd’hui professeur à l’université américaine de Beyrouth, a indiqué que les exécutions sommaires ne sont pas inhabituelles au Moyen-Orient. Toutefois, si il s'avérait que celles d’hier aient bien eu lieu, elles seraient particulièrement cavalières, dit-il. « Durant la guerre civile au Liban, nous avons vu tant de massacres similaires. Mais personne n’allait crier partout : regardez ce que nous avons fait. Ici, vous avez affaire à un groupe de gens très dangereux, à même de faire n’importe quoi » a expliqué Timor Goksel. Plusieurs leaders de la rébellion syrienne accusent le Front Nusrat, un groupe lié à Al-Qaïda, d’être responsables des exécutions en question. Mais l’ancien porte-parole de la mission onusienne en Syrie fait remarquer que les combattants dans les conflits peuvent agir de manière débridée. Selon l’AFP, le Conseil national syrien, principale coalition de l’opposition, a appelé à ce que les rebelles qui commettent ces exécutions en soient tenus responsables. Dans une interview à Radio Sawa, le chef du Conseil a critiqué la suggestion de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton de constituer un front élargi de l’opposition syrienne ; c’est un exemple d’ingérence étrangère, a déclaré Abdel Basset Sayda.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : WikiLeaks : l’Équateur accorde l'asile politique à Julian Assange Rafael Correa, président de la république équatorienne, a décidé hier, jeudi 16 août 2012, d'accorder l'asile politique, au fondateur de WikiLeaks Julian Assange. Le Royaume-Uni avait menacé la veille d'envahir l'ambassade équatorienne pour capturer Julian Assange. En réponse, l'Équateur lui a donc officiellement accordé l'asile politique. Que le Royaume-Uni ait porté l'affaire à ce niveau semble prouver, de façon assez concluante, l'existence du projet de remettre Assange aux États-Unis. C'est d'ailleurs l'avis de Craig Murray, pour qui, selon ses propres sources, les États-Unis ont intimé l'ordre au premier ministre britannique de le faire. Quoiqu'il en soit, Julian Assange n'est plus entré aux États-Unis depuis l'arrestation de Bradley Manning et la diffusion de documents classés secret défense par le gouvernement américain, notamment par la diffusion de la vidéo « Collateral Murder ». Aux États-Unis, ces faits sont passibles de la peine de mort ou, selon les juridictions, de l'emprisonnement à vie. WikiLeaks s'est malgré tout imposé comme un nouveau symbole de la liberté d'expression. La décision de Rafael Correa semble s'inscrire dans une démarche de soutien au monde libre lorsqu'on se remémore sa rencontre de décembre 2006 avec Richard Stallman, le chantre du logiciel libre. Julian Assange est probablement la première icône occidentale depuis la fin de la Guerre froide dont la liberté est menacée par une démocratie occidentale. Il y a quelques années, le Royaume-Uni avait par ailleurs protégé le général Pinochet en refusant de l'extrader.
wikileaks, équateur, asile politique, julian assange, président de la république équatorienne, symbole de la liberté d'expression
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Indiquer les mots clés du texte : WikiLeaks : l’Équateur accorde l'asile politique à Julian Assange Rafael Correa, président de la république équatorienne, a décidé hier, jeudi 16 août 2012, d'accorder l'asile politique, au fondateur de WikiLeaks Julian Assange. Le Royaume-Uni avait menacé la veille d'envahir l'ambassade équatorienne pour capturer Julian Assange. En réponse, l'Équateur lui a donc officiellement accordé l'asile politique. Que le Royaume-Uni ait porté l'affaire à ce niveau semble prouver, de façon assez concluante, l'existence du projet de remettre Assange aux États-Unis. C'est d'ailleurs l'avis de Craig Murray, pour qui, selon ses propres sources, les États-Unis ont intimé l'ordre au premier ministre britannique de le faire. Quoiqu'il en soit, Julian Assange n'est plus entré aux États-Unis depuis l'arrestation de Bradley Manning et la diffusion de documents classés secret défense par le gouvernement américain, notamment par la diffusion de la vidéo « Collateral Murder ». Aux États-Unis, ces faits sont passibles de la peine de mort ou, selon les juridictions, de l'emprisonnement à vie. WikiLeaks s'est malgré tout imposé comme un nouveau symbole de la liberté d'expression. La décision de Rafael Correa semble s'inscrire dans une démarche de soutien au monde libre lorsqu'on se remémore sa rencontre de décembre 2006 avec Richard Stallman, le chantre du logiciel libre. Julian Assange est probablement la première icône occidentale depuis la fin de la Guerre froide dont la liberté est menacée par une démocratie occidentale. Il y a quelques années, le Royaume-Uni avait par ailleurs protégé le général Pinochet en refusant de l'extrader.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Météo du 19 août 2012 : alerte à la canicule sur la Belgique et le Luxembourg A l'exception de la province de Luxembourg, en alerte jaune, l'ensemble de la Belgique est en vigilance orange à la canicule. Le Luxembourg n'est pas épargné par la vague du chaleur : le nord du pays est en alerte orange, tandis que le sud a était placé en alerte rouge. En Belgique, la température n'est pas descendue en dessous des 23°C cette nuit, ce qui constitue la deuxième nuit la plus chaude jamais enregistrée dans le royaume. Il se pourrait que ce dimanche soit la journée la plus chaude de l'année. Les températures seront comprises entre 33 et 38°C. Une légère brise de côte pourra faiblement rafraichir l'atmosphère. Des orages de chaleur sont a prévoir dans la soirée et en début de nuit. Au Luxembourg, le mercure devrait atteindre 32°C ce dimanche sur l'Oesling et jusqu'à 36°C sur le sud du pays, et 31 à 32°C lundi. Une baisse devrait intervenir pour le reste de la semaine. Néanmoins, le record d'août 2003 (37,9°C) ne devrait pas être atteint.
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Extrais les mots clés importants du texte suivant : Météo du 19 août 2012 : alerte à la canicule sur la Belgique et le Luxembourg A l'exception de la province de Luxembourg, en alerte jaune, l'ensemble de la Belgique est en vigilance orange à la canicule. Le Luxembourg n'est pas épargné par la vague du chaleur : le nord du pays est en alerte orange, tandis que le sud a était placé en alerte rouge. En Belgique, la température n'est pas descendue en dessous des 23°C cette nuit, ce qui constitue la deuxième nuit la plus chaude jamais enregistrée dans le royaume. Il se pourrait que ce dimanche soit la journée la plus chaude de l'année. Les températures seront comprises entre 33 et 38°C. Une légère brise de côte pourra faiblement rafraichir l'atmosphère. Des orages de chaleur sont a prévoir dans la soirée et en début de nuit. Au Luxembourg, le mercure devrait atteindre 32°C ce dimanche sur l'Oesling et jusqu'à 36°C sur le sud du pays, et 31 à 32°C lundi. Une baisse devrait intervenir pour le reste de la semaine. Néanmoins, le record d'août 2003 (37,9°C) ne devrait pas être atteint.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Madrid : trois morts piétinés à Halloween Trois jeunes femmes agées de 18 à 25 ans sont mortes piétinées et deux autres ont été grièvement blessées la nuit dernière lors d'une célébration de Halloween dans un stade transformé en salle de fêtes dans la capitale espagnole, a indiqué la police. L'alerte a été donnée aux alentours de quatre heures et demie du matin « quand nous avons reçu des appels au sujet d'une bousculade dans le stade couvert appelé Madrid Arena » qui peut contenir jusqu'à 12 000 personnes, lors d'une festivité de Halloween, a indiqué un porte-parole de la police. Il semblerait que la bousculade meurtrière ait été provoquée « par un feu de Bengale lancé par quelqu'un dans l'enceinte du stade » a-t-il précisé. La police a procédé à l'évacuation du bâtiment. L'opération s'est achevée sans incident vers 7 heures. La police a ouvert une enquête. « Nous sommes en ce moment même en train de recueillir des témoignages » a ajouté le porte-parole de la police madrilène.
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Extraire les mots clés importants du texte suivant : Croatie : publication des noms des plus gros fraudeurs La Croatie a décidé de rendre public les noms de ses plus gros fraudeurs. Une liste de 102 000 contribuables, allant du simple particulier à la grosse entreprise, en passant par la PME, qui ne s'étaient pas acquittés de leurs impôts vient d'être publiée. Le fisc défend cette publication, parlant d'un « effort de transparence ». Selon plusieurs associations croates, cette publication flirte avec la démagogie. « Ils auraient dû s’inquiéter de la façon dont on peut contracter de telles dettes, c’est-à-dire des dysfonctionnements de nos institutions. Nous devons nous battre contre cela et ce n’est pas cette mesure populiste qui va nous y aider » a déclaré Zlatko Zeljko, représentant de l’association de protection légale. Cette publication pourrait de surcroît s'avérer inutile car bon nombre des entreprises présentes dans cette liste ont déjà fait faillite.
croatie, publication, publication des noms, plus gros fraudeurs, fraudeurs, liste, impôts, effort de transparence
Extrais les mots clés importants du texte suivant : Croatie : publication des noms des plus gros fraudeurs La Croatie a décidé de rendre public les noms de ses plus gros fraudeurs. Une liste de 102 000 contribuables, allant du simple particulier à la grosse entreprise, en passant par la PME, qui ne s'étaient pas acquittés de leurs impôts vient d'être publiée. Le fisc défend cette publication, parlant d'un « effort de transparence ». Selon plusieurs associations croates, cette publication flirte avec la démagogie. « Ils auraient dû s’inquiéter de la façon dont on peut contracter de telles dettes, c’est-à-dire des dysfonctionnements de nos institutions. Nous devons nous battre contre cela et ce n’est pas cette mesure populiste qui va nous y aider » a déclaré Zlatko Zeljko, représentant de l’association de protection légale. Cette publication pourrait de surcroît s'avérer inutile car bon nombre des entreprises présentes dans cette liste ont déjà fait faillite.
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Dégage des mots clés dans le texte : Croatie : publication des noms des plus gros fraudeurs La Croatie a décidé de rendre public les noms de ses plus gros fraudeurs. Une liste de 102 000 contribuables, allant du simple particulier à la grosse entreprise, en passant par la PME, qui ne s'étaient pas acquittés de leurs impôts vient d'être publiée. Le fisc défend cette publication, parlant d'un « effort de transparence ». Selon plusieurs associations croates, cette publication flirte avec la démagogie. « Ils auraient dû s’inquiéter de la façon dont on peut contracter de telles dettes, c’est-à-dire des dysfonctionnements de nos institutions. Nous devons nous battre contre cela et ce n’est pas cette mesure populiste qui va nous y aider » a déclaré Zlatko Zeljko, représentant de l’association de protection légale. Cette publication pourrait de surcroît s'avérer inutile car bon nombre des entreprises présentes dans cette liste ont déjà fait faillite.
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