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Résume le texte suivant en quelques mots : ""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
" | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : ""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
" | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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Condenser le texte à l'essentiel :"Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
| Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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Condense le texte à l'essentiel :"Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
| Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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Condensez le texte à l'essentiel :"Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
| Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
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Maintenant, rédiger un court résumé. | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
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Maintenant, rédige un court résumé. | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
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Maintenant, rédigez un court résumé. | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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Article : ""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
"/n Résumé : | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
Comment reformuler cela en quelques mots ? | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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Résumer ce document : ""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
" Résumé : | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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Résume ce document : ""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
" Résumé : | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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Résumez ce document : ""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
" Résumé : | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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""Tout le monde aimait mon frère", a dit Philonese Floyd mardi, au lendemain de ce décès qui a provoqué des manifestations dans plusieurs villes et ravivé les appels à en finir avec un racisme "systémique" en Amérique."C'est un doux géant", a-t-il affirmé à CNN. "Il ne fait jamais de mal à personne". Le défunt, qui avait 46 ans, avait d'abord trouvé du travail comme camionneur dans le Minnesota, puis comme agent de sécurité dans un restaurant, le Conga Latin Bistro, avant que le confinement ne porte un coup aux affaires."Il nous faisait nous sentir en sécurité", a témoigné Luz Maria Gonzalez, une cliente régulière de l'établissement, auprès de la radio publique NPR. "En fin de soirée il disait +Hé Luz, je vais attendre avec toi jusqu'à ce que tu montes dans le taxi."D'autres ont évoqué les pas que faisait George Floyd pour améliorer sa vie."Je me souviens qu'il disait vouloir toucher le monde. Il voulait avoir un impact sur le monde", a raconté Jonathan Veal, un ami d'enfance, à la chaîne KPRC à Houston, où ils sont allés ensemble au lycée Jack Yates.Du haut de ses deux mètres, George Floyd avait brillé dans le basket et le football américain, et s'était aussi essayé au hip-hop.Mais il avait fini par quitter Houston faute de pouvoir y trouver un travail.M. Veal a dit avoir échangé avec son ami pour la dernière fois en janvier, par SMS.Il y a "des petites choses que je dois régler pour mes petits", avait alors écrit George Floyd. "Ma foi est en train de revenir là où elle doit être."Mais le 25 mai, comme le montre une vidéo de plusieurs minutes devenue virale, George Floyd est mort après qu'un policier a pressé son genou sur son cou alors qu'il était à terre dans la rue, non armé et menotté."S'il vous plaît, s'il vous plaît, je n'arrive pas à respirer", l'entend-on dire.La police le soupçonnait d'avoir utilisé un faux billet de 20 dollars pour acheter des cigarettes, après que l'employé d'une épicerie eut appelé le numéro d'urgence 911.- "Changer sa vie" -Pour Bridgett Floyd, la mort de son frère ainsi, aux mains de la police, "est à briser le coeur"."C'est exactement ce qu'ils ont fait. Ils ont tué mon frère. Il criait à l'aide", a-t-elle dit à NBC News.Quatre policiers ont été licenciés après le décès de George Floyd. Derek Chauvin, celui qui a maintenu son genou sur son cou, a été arrêté vendredi et inculpé d'homicide involontaire. George Floyd "n'était rien de moins qu'un ange envoyé sur terre", a réagi sa petite amie, Courtney Ross, auprès de CBS News."Et nous l'avons diabolisé, et nous l'avons tué", a-t-elle dit.George Floyd avait, selon les médias américains, deux enfants. Roxie Washington, la mère de sa fille de six ans à Houston, l'a décrit comme un père dévoué."Parce qu'il était si grand, les gens pensaient qu'il cherchait la bagarre", a-t-elle dit, citée par le Houston Chronicle."Mais c'était une personne aimante, et il aimait sa fille."L'un des amis de longue date de George Floyd, Stephen Jackson, est devenu une vedette de la NBA. Ce qui n'a pas changé leur amitié, assure le sportif."On s'appelait Twin (Jumeau)", a raconté M. Jackson, visiblement ému, dans une vidéo sur Instagram."Il était en train de changer sa vie", déménageant au Minnesota pour le travail afin de subvenir aux besoins de ses enfants, a-t-il expliqué."Mon gars faisait tout ce qu'il fallait, et ils me l'ont tué."
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Il avait quitté le Texas pour commencer une nouvelle vie à Minneapolis, dans le nord des Etats-Unis. Mais George Floyd, cet Américain noir décrit comme un homme généreux, qui a perdu son emploi pendant la crise due à la pandémie, est mort face contre terre, le cou sous le genou d'un policier blanc.
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Résumer le texte suivant : "Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
" | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Résume le texte suivant : "Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
" | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Résumez le texte suivant : "Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
" | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
" | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
" | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
" | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Condenser le texte à l'essentiel :Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
| Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Condense le texte à l'essentiel :Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
| Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Condensez le texte à l'essentiel :Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
| Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
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Maintenant, rédiger un court résumé. | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
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Maintenant, rédige un court résumé. | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
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Maintenant, rédigez un court résumé. | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Article : "Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
"/n Résumé : | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
Comment reformuler cela en quelques mots ? | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Résumer ce document : "Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
" Résumé : | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Résume ce document : "Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
" Résumé : | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Résumez ce document : "Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
" Résumé : | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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"Le feu a pris jeudi dans un entrepôt utilisé notamment par la Croix-Rouge internationale pour stocker des milliers de colis alimentaires et un demi-million de litres d'huile. Dans la nourriture se trouvaient notamment des pâtes, du sucre, du thé, des lentilles et des pois chiches, selon un communiqué de l'organisation."L'explosion et l'incendie auront indéniablement un impact sur l'aide humanitaire du CICR, que se soit au Liban ou en Syrie" voisine, a averti la Croix-Rouge.La défense civile libanaise a assuré que le feu avait été éteint, précisant que les opérations "de refroidissement se poursuivent sur le site pour empêcher l'incendie de repartir".De son côté, le chef de l'Etat, Michel Aoun, qui a imputé jeudi soir l'incendie à un acte de "sabotage", "une erreur technique" ou "une négligence", a rencontré vendredi le commandant en chef de l'armée ainsi que plusieurs officiers concernés par les travaux menés au port.M. Aoun a assuré la poursuite du déblaiement et de l'assistance humanitaire en dépit de l'incendie. Quelques 15.000 tonnes de décombres ont déjà été déblayées jusqu'ici et un million de mètres carrés nettoyés, selon un officier ayant assisté à cette réunion. Jeudi, les habitants de la capitale avaient découvert effarés une fumée noire opaque visible depuis plusieurs quartiers, provoquée par l'incendie de cet entrepôt où étaient stockés les aides mais aussi des bidons d'huile et des pneus.Des "réparations" étaient menées sur le site avec une scie électrique, et des "étincelles" ont entraîné le feu, selon des "informations préliminaires" du gouvernement.Ce nouvel incident au Port a provoqué l'ire des Libanais. "La République toxique", titrait vendredi le quotidien francophone L'Orient-Le Jour.- "Terreur" -L'incident a rappelé la funeste journée du 4 août, quand une énorme quantité de nitrate d'ammonium stockée au port a explosé. Ce drame, la tragédie de trop pour une population déjà mise à genoux par une grave crise économique, a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés, ravageant des quartiers entiers.Dans un pays confronté à une dépréciation inédite de sa monnaie et des suppressions d'emplois à grande échelle, cette explosion a attisé la colère de la population, qui fustige depuis près d'un an une classe dirigeante jugée corrompue et incompétente.Le ras-le-bol populaire a été accentué davantage par la faible mobilisation de l'Etat après l'explosion du 4 août pour venir en aide aux populations sinistrées, une tâche assumée principalement par la société civile, des ONG et des volontaires.Antoine Assaad, habitant du quartier de Mar Mikhaël jouxtant le port et dévasté par l'explosion, n'en revient pas du manque de mesures de sécurité. Il rapporte les scènes de chaos autour de lui la veille."Ce qui s'est passé hier est une répétition du 4 août. Les gens ont vécu la terreur, ils se bousculaient en fuyant", raconte-t-il.L'explosion du 4 août avait été provoquée par une importante quantité de nitrate d'ammonium stockée depuis plus de six ans "sans mesures de précaution", de l'aveu même des autorités. Quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium avaient été initialement entreposées.Les principaux dirigeants de l'Etat, en premier lieu le président Michel Aoun et le Premier ministre démissionnaire Hassan Diab, avaient été avertis des dangers que représentait cette cargaison."L'incendie (de jeudi) ne peut en aucun cas être justifié", a estimé vendredi sur Twitter le Premier ministre libanais désigné Moustapha Adib, qui planche sur la formation d'un nouveau gouvernement, le précédent ayant démissionné dans la foulée de l'explosion.L'entreprise BCC logistics, chargée de la gestion de l'entrepôt qui a pris feu, a rejeté toute responsabilité dans le nouveau drame, appelant dans un communiqué à "déterminer les causes de l'incendie", et disant se réserver "le droit de porter plainte".
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Les pompiers libanais ont éteint vendredi les dernières flammes de l'énorme incendie la veille au port de Beyrouth, qui a décimé une partie de l'aide humanitaire acheminée au pays et ravivé le douloureux traumatisme d'une population sous le choc après l'explosion dévastatrice début août.
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Résumer le texte suivant : "La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
" | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Résume le texte suivant : "La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
" | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Résumez le texte suivant : "La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
" | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
" | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Résume le texte suivant en quelques mots : "La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
" | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
" | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Condenser le texte à l'essentiel :La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
| Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Condense le texte à l'essentiel :La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
| Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Condensez le texte à l'essentiel :La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
| Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
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"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
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Maintenant, rédiger un court résumé. | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
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Maintenant, rédige un court résumé. | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
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Article : "La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
"/n Résumé : | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Résumer ce document : "La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
" Résumé : | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Résume ce document : "La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
" Résumé : | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Résumez ce document : "La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
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"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
Compte tenu du document ci-dessus, écrire une phrase pour le résumer : | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
Compte tenu du document ci-dessus, écris une phrase pour le résumer : | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
Compte tenu du document ci-dessus, écrivez une phrase pour le résumer : | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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"La fin de vacances tourne au drame en Savoie. Une famille de Versailles, partie faire une randonnée à Valloire, a été emportée par un éboulement en se rendant au refuge des Aiguilles d'Arves, rapporte France Bleu Pays de Savoie. Une information confirmée par le maire de la commune Jean-Pierre Rougeaux. Sur ce lieu-dit, appelé "Le mauvais pas", les rochers sont tombés de 2.200 mètres d'altitude, sur le plateau situé en contrebas et où se trouvait la famille de randonneurs, composée de grands-parents et de leurs deux petits-enfants. L'alerte a été donnée à 17 heures. Six secouristes de la CRS Alpes de Modane se sont alors rendus sur place pour porter assistance à la famille, alors que les conditions météorologiques étaient compliquées. À cause de la pluie et du brouillard, les secouristes n'ont pu accéder aux victimes qu'à pied.Le grand-père a été blessé aux côtes, la petite-fille au dos. Mais la plus sérieuse blessure est à déplorer sur le petit-fils, un adolescent de 15 ans. Sa jambe a été écrasée par une roche lors de l'éboulement. Il risque l'amputation. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble. Les autres membres de la famille ont été évacués vers le CHU de Saint-Jean-de-Maurienne.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Une famille, en vacances en Savoie, a été emportée par un éboulement, samedi 29 août alors qu'elle tentait de regagner un refuge, explique France Bleu.
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Résumer le texte suivant : "Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
" | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Résume le texte suivant : "Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
" | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Résumez le texte suivant : "Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
" | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Résumer le texte suivant en quelques mots : "Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
" | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Résume le texte suivant en quelques mots : "Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
" | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Résumez le texte suivant en quelques mots : "Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
" | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Condenser le texte à l'essentiel :Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
| Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Condense le texte à l'essentiel :Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
| Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Condensez le texte à l'essentiel :Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
| Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
Rédiger un résumé du texte ci-dessus : | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
Rédige un résumé du texte ci-dessus : | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
Rédigez un résumé du texte ci-dessus : | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Premièrement, lire le texte ci-dessous.
"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
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Maintenant, rédiger un court résumé. | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Premièrement, lis le texte ci-dessous.
"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
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Premièrement, lisez le texte ci-dessous.
"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
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Maintenant, rédigez un court résumé. | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Article : "Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
"/n Résumé : | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
Comment reformuler cela en quelques mots ? | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
Comment peux-tu reformuler cela en quelques mots ? | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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"Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
Comment pouvez-vous reformuler cela en quelques mots ? | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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Résumer ce document : "Eric Schnur, le PDG de Lubrizol, a été remis à sa place dimanche par Emmanuelle Wargon. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique =1ema estimé dans une interview à LCI que ce n'était pas au PDG de Lubrizol de commenter la dangerosité des produits et jugé "prématuré" de dire que l'usine allait rouvrir "très vite". "Le PDG de Lubrizol je lui dis : ce n'est pas à lui de commenter la dangerosité des produits (...) ça appartient aux autorités de santé, aux autorités indépendantes", a-t-elle affirmé.Des contrôles renforcés "Il s'est engagé à indemniser et c'est bien, il faut que le principe pollueur payeur joue, on attend de lui qu'il indemnise tout ce qu'il a à indemniser. Quant à la réouverture ce sera quand c'est possible, quand on est sûr, quand le site a été déblayé, quand toutes les questions posées seront traitées, quand on a compris d'où venait le départ de feu... Donc c'est peut-être un peu prématuré de dire qu'on va faire ça très vite", a-t-elle poursuivi. Vendredi, un mois après l'incendie de son usine à Rouen, le PDG de Lubrizol Corporation Eric Schnur avait annoncé qu'il espérait redémarrer l'usine "aussi rapidement que possible".Interrogée sur la sécurité des sites Seveso en général en France, Emmanuelle Wargon a assuré avoir "déjà commencé à s'adresser aux services pour leur demander de renforcer les contrôles sur les sites Seveso seuil haut, c'est-à-dire les plus dangereux". "Les restrictions d'effectifs (...) ne toucheront pas ces services-là", a-t-elle assuré.
" Résumé : | Le PDG de Lubrizol a dit vendredi espérer redémarrer l'usine de Rouen "aussi rapidement que possible".
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